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| ANECDOTE MICHAUX | |
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+23vannier dany67 sandor mich nelson carlier freitas DCD Audace Giant-kouka DCD lorak REPFIRST j-yves theo DCD escadre decedé ALOYS AAMUNCH MAGALI jeany martine damien DIEUF NENESS MICHAUX DCD 27 participants | |
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MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: Femmes dans la guerre (6) Ven 17 Aoû - 18:33:27 | |
| LES DAMES AUX DOIGTS DE FEE. --------------------------------- La bataille faisait rage à Dien Bien Phu. Des tonnes de matériel,chaque jour,chaque nui,étaient larguées. Des bataillns étaient lancés dans la cuvette,descendant du ciel au bout de leurs "pépins" multicolores. Au S.E.P. (Service Entretien des Parachutes) de la base aéroportée Nord,inlassablement,les filles plaient,à un rythme toujours plus rapide. Dix heures de travail par jour,plus le dimanche. Les siestes écourtées,la fatigue qui les courbait,qui sciait les reins,qui agaçait les nerfs.Et cela dura 2 mois. Mais la bonne humeur ne cessa de régner.Elles avaient onscience de leur responsabilité,de ce qu'on attendai d'elles et du rôle important qu'elles jouaient dans cette grande affaire.Et le béret rouge (les plieuses de parachutes arboraient le béret amarante )penait des allures encore plus "crânes".Comme elles avaient raisons Les gestes 100 fois répétés,sous la chaleur écrasante de l'été Tonkinois. Un peu de leur âme s'envole avec chaque pépin,un peu de tendresse aussi,et beaucoup dadmiration pour leurs camarades qui sont de tous les coups durs de cette guerre d'Indochine. "Bravo les plieuses!". Et ces plieuses,petites dames aux dogts de fée,méritent bien qu'on parle d'elles. Spécialistes peu connues,mais pourtant d'ue importance primordiale,n'ont-elles pas une tâche ardue ? Les opérations d'Indochine réclamait l'utilisation d'un grand nombre de parachutes,dont l'entretien fut,confié aux A.F.A.T. Les parachutes sot transportés au magasin du camp. Là,il faut les répartir.Ceux qui sont edommagés vont dans l'atelier de répartions,les autres,dns les salles dites de "pliage".Dûment vérifiés et réparés,ils sont ensutes pliés. Avez-vous déjà évalué le poids et les dimensions d'un parachute ? Imainez les travailleuses devant les tables spéciales.Elles sont debout,manient avec une extrême délicatesse ces lourds engins. Avec quels soin,attention méticuleuse elles répètent toujours les mêmes mouvements.Il faut que le résulat soit parfait - c'est une obligation absolue - et ce qui semble si peu de chose: "plier de a soie" est un véritable métier. La plus etite erreur,la moinde distraction entrainerait une catastrophe. Le travail est pénible,monotone,fastidieux, et pourtant lles l'accomplissent avecle sourire,de tout leur coeur,simplement. Et le pls bel hommage qu'on puisse leur rendre est de révéler que pas un accident n'eut pour cause une faute de pliage. Ces fille arrivées toutes fraîches de France,repartaient pour la métrooe avec de pauvre visages aux traits tirés,ayant parcourus des kilomètres autour des tables de pliage - des mois durant - ces modeste plieuses de parachuts, petites dames aux doigts de fée. | |
| | | DIEUF
Nombre de messages : 21233 Date de naissance : 17/03/1964 Age : 60 Localisation : cessenon Date d'inscription : 24/10/2006
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Sam 18 Aoû - 9:45:23 | |
| :merc: michaux pour cette aspect trops souvent négliger voir ignorer :oke: :respect: | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: l'attaque du village de PHAM-THON. Jeu 23 Aoû - 21:40:42 | |
| Le 8 février 1954, le 3/5 REI après avoir traversé plusieurs villages,isolés dans la rizière, et ce sans encombre, arrive à la lisière de celui ou il se trouve. dans le village, la 11 et 12 éme cies, partant vers la droite la 9et vers la gauche la 10, en face donc PHAM-THON. elon les renseignements il seaiet occupé par les viets.La distance à parcourir en sortant du village, est de +/- 150 m, dans la rizière boueuse, sans aucuns abri. Les Cies stoppent en attendant les ordres. Ceux-ci arrivent. La 11 en avant, sous la protection des FM de la 12 et du mortier de 81 et la 12/7 de la CCB. le 11 débouche et entre dans la rizière;à peine a t'elle parcouru une vingtaine de mètres, que les viets ouvent le feu. La 11, seplanque comme elle peut, derrière les diguettes et couchés dans la boue et flotte. Les FM de la 12, lemortier et la 12/7 entre dans la danse. Demande d'ordre. réponse du Chef de Bton, la 12 en avant, et a 11 suit dèsque arrivce à sa hauteur. les légionnaires avancent péniblement, boue au dessus des mollets et flotte jusqu'au cuisses (pur les grands), et plus les 2 cies avancent, des hommes commncent à tomber. STAUB, caporal FERNANDEZ, et d'autres. REICHT le tireur au FM dela 4éme section, avance en tirant sans arret, le FM à la hanche, FONTANA, le chargeur à ses cotés remplacent les cargeurs vidés au fur et à mesure. Soudain le pourvoyeur tombe blessé, le chef de pièces prend ses chargeurs et avance. Soudain,il s'écroule en avant, un choc au ventre, la boucle deson ceinturon (américain, donc avec les chargeurs de son PM, le pognard et le bidon)cisaillée,, par quoi ???. A cemoment, marchant presque debout sur une diguette, le légionnaire ORALEK (yougoslave) s'arrête et crie, xxxxx tu est blessé ?. Le che de pièce le voyant debout, lui crie de se baisser et de ne pas rester sur la diguette, trop tard, ORALEK s'écroule, une balle dans la hanche. L'infirmier qui n'éait pas loin fait u plus vite pour le secourir, mais trop tard. Et les 2 cies avancent, des hommes tombent encore, quand ils arrivent à portées, ils lancent les grenades. Les 2 cies réussissent (à quel prix) à entrer dans le village,fouille minutieuse,car doit y avoir de nombruses caches; en effet, un viet sort son buste d'une d'elle pour balancer ue grenade, d'une rafale, un légionnaire,le renvoie tué dans son trou.Dès lors, à chaque trou, finis les : RA NGOAI (sortir, dehors) ou LAÏ (venir) on soulève la trappe, et une grenade.l'assaut avait débuté vers 11H, le ratissage ne fut terminé que un peu plus après 13 H,lorsqu la jonction fut faite avec la 9 et a 10 qui avaient elles contournésle village par derrière. le bilan fut lourd pour les viets + de 60 tués, des blessés et prsonniers. De nombreuses ares récupérées. Mais à la 11 et 12 cies, au total 15 tués et plus de 20 blessés. | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: Femmes dans la guerre (7) Dim 26 Aoû - 21:55:26 | |
| - KHANG L'AVENTURIERE. ----------------------------------------------- Tour hôtel qui se dit "chinois" est un lieu de la plus haute discrétion;dans le cas contraire,l'établissement perdrait sa réputaion et du meme coup trèsbrapidement sa clientèle. L'hôtel chinois est dans tout l'Extrême-Orient, une solide institution où se traient les choses les plus bizarres. On y fumel'opium,bien sûr on y écoute les chanteuses chinoises : on y passele temps avec les petites fleurs de la rue ou en ouant au mâ-jong. L"hôtel se trouvait à Cholon, on y fisait de bon repas: d'abord la soupe chinoise,véritable ébauche de poulets,crevettes et long vermicelles. Puis les ailerons de requins, du pigeon au cresson,les traditionnels nids d'hirondelles et enfin des gâteaux sucrés au miel.Le tout arosé de Kampé,l'alcoll de riz qui asène sur la nuque une barre douloureuse. Le atron,était devenus quelqu'un sur le marché de la piraterie,il s'appelait Nguyen,c'est lui qu fit connaitre KHANG. Elle était toute menue dans son costume de fillette anamite en log pantalon noir. Elle promenait son buffle. Lebanditisme régnait partout.Attirée par l'aventure KHANG réussit à se faire admettre dans une ande de Ngoc trstement célèbre,qui terrorisait la région de Dong-Trieu. KHANG appri à se battre.Elle dvint experte aussi bien au maniement d fusil que du poignard. Qiand vint le coup de forces des Japonais en 1945,elle e retourna contre eux.Elle miltipliait les attaques contre les postes tenus par les Japs dans le Delta Tonkinois. Un jour,elle s'introsuisit seule dans un poste Jap,et sou la menace d'une mine qu'elle était prête à faire sauter ,elle désarma toute la garnison. 'histoire fut joyeusement fétêe dans toute la région, car la mine était simplement une simple papaye. En l'honneur d'étranger qu'ele reçu dans son village, elle organisat une fête, les jeunes filles dansaient , un succulent repas fur servis aux hôtes.Près des jarres les vieux (et les jeunes fatigués par la danse) aspiraient l'alcoll par de ongues tiges de bambous creux. Des musiciens firent vibrer les instruments à cordes - genre de violon -et une jeune voix s'éleva : "Co kia ma do Hong Kong, Chi Chua Lay Chong con doï cho aï ?" " Charmante demoiselle aux joues roses, Qu'atendz-vous pour voys mariez ?". Par NGUYEN, l'on apprit que KHANG avait abandonné sa bande,pour combattre les rebeles viets. Elle était admirée par tous, on parlait d'elle et on l'admiraéit, excepté bien sir les viets. Après larmistice de juillet 1954, elle s'st réinstallée dans son village, et a repris le grand chemin, ceui du banditisme. | |
| | | NENESS
Nombre de messages : 45326 Date de naissance : 16/08/1948 Age : 76 Localisation : MARCK Date d'inscription : 21/04/2007
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Dim 26 Aoû - 23:28:29 | |
| quel dommage que les ravages de la guerre et as t'on depuis des nouvelles de khang ou du moins ce quelle est devenu ? | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: Anecdote MICHAUX Lun 27 Aoû - 17:41:36 | |
| Non, il parait que plus peronne n'a entendu parler d'elle APRES juillet 1954. Si elle vit encore elle doit avoir +/- 73 ans. | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: Le commando de MATTEI poursuit HO-CHI-MINH. Ven 7 Sep - 20:19:28 | |
| Le groupe comprenait 15 volontaires, plus les Sgts/chef OSLING et KLAUS,de même que Fernandez l'ordonnance du Lieutenant et Ickewitz son garde du corps, n géant de plus de 1 m 9O. Klaus progresse en tête, soudain il s'arrête, devant un village qui lui parait trop tranquille. Mattéi murmure, Ickewitz ? le Hongois relève la tête et Mattéi lui fait signe d'aller reconnaître le village. L'attente dure pluseurs minutes uis Ickewitz réapparait. Il est pâle. Mattéi lui demane s'il a eus peur. Le géant hausse les épaules et dit, allez voir vous même, c'est une véritable boucherie, tout y a passé : les femmes, les gossses, ls animaux. L'odeur est écoeurante, les suppliciès les mains liées ont étés égorgés,les ns devant les autres. Mattéi donne l'ordre de les enterrer dans un grand trou. Le légionnaire Santini, blanc comme un suaire,demande s'il peut s'éloigner, le lieutenant lui dit d'accord, mais qu'ilne s'éloigne pas. Santini se trouve à une centaine de mètres,quand il entend un froissement, il est parti sans arme, aors il sort son couteau de vendetta à cran d'arrêt,il s'approche, et stupéfait contemple ce u'ilvient de découvrir : un bébé. L'italien part en courant vers ses compagnons et interpelle Clary (un Corse). Qu'est-ce qui va pas encore dit ce dernier agacé. - Te fâche pas Antoine! j'ai trouvé un " bambino" - Et alors ? amène-le,on va l'enterrer avec les aures. - Non, il est pas mort. Pour trouver un prétexte pour s'éloigner, Clary crie à Klaus - Je vai chier chef ? - fait toi accompagner et soyer prudents. Ils arrivent tous deux près du bébé - Clar - c'est un garçon ou une fille ? - Santini, - je sait pas - Clary se penche et vérifie, il dit - c'est une fille - Santini; - qu'est-ce qu'on va foutre - on ne vas riens dire, dit Clary, on va la mettre dans mon sac - Santini, oui mais elle gueule ? Clary, et bien tu chanteras pour couvir sa voix. Tout se passa bien, jusq'à leur arrivée à l'étape reos, ou elle fut découverte par Osling. quelques temps plus tard, Santini, Clay et Ickewitz jouent les nourrices. Santini es le plus volubile ,l promet au béé de l'emmener dans sa ville natale " Naples" Cela ne plait pas à Clary, qui apostrohe Santini en lu disant - T'as pas fini ton cirque, pauvre con, tu vois pas que l'emmerd cette gosse. Tu vas la faire dégueuler si tu continue à lui parler de ta ville de clochrds. E puis autant que tu le sache de suite,si on doit la ramener, ce sera chez moi en Corse chez ma mère. Sntini saute sur ses pieds et sort sont couteau et fait jailir la lame. - Les Corses,c'est tous des maquereaux,si! tu crois que je vais te laisser emmener la gosse que j'ai trouvée pour que tu la foute dans un claque,quand elle aura 13 ans,tu rèves.Je vais d'bord te saigner. Clary,lu aussi s'est relevé, il est sur ses gardes et déclare en souriant -Ca,je voudrais bien voir. Antoine Clary de Bastia se faire saigne par une petite tante . Ickewitz,n'a qu'a étendre sa longue jambepour déséquilibrer Santini et saisir son couteau. - C'es drôle, ls mecs! constate t'il. Plus s sont petits,plus ils sont teigneux. Allzz plutôt dormir, voous aurez besoins de vos forces si demain vous voulez trimballer votre pisseusse Chinoise en plus de vos armes. A SUIVRE. | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: Le commando de MATTEI poursuit HO-CHI-MINH. (2) Mar 2 Oct - 16:57:55 | |
| Le commando a repris sa marche à laube du 24 juin. La résence de la fillette,oblige le commando à s'arrêter souvent.Une nouvelle altercation entre CLARY et SANTINI, ce, concernant le prénom à donner à la gamine. - SANTINI, on l'appellera GIOVANNA - CLARY , non MARTHE, comme ma mère. - KLAUS, a tranché, ce sera ANNE-MARIE. et tous d'accord. et la marche a repris. La colonnne, grâce l'instinc de KLAUS, évite de tomber dans une embuscade. En effet, il a repréré un FM viet, et le signale à MATTEI, disant, que TOUS doivent dans un seul mouvement, se mettre à l'abris. MATTEI, gueule instantanémment : - Tous à couvert sur la gauche. - Tous les hommes habitués réagissent dans u ensemble parfait, tous, saud un, Adrien LEMOINE, un vieux Français ,il est resté désemparé debout sur la piste, et se fait hacher par le FM viet. KLAUS,lui avait situé l'arme viet, et li s'est jeté sur la droite, faisant feu sur les 2 viets, les criblant de balles, puis, en deux bonds il a rejoint les autres sur la gauche. Ils attendant, et KLAUS dit, - cela bouge là-bas! En effet, à l'endroit ou KLAUS a abattu les viets, et après avoir certifié que LA, il n'y en avaient pas d'autres, ils voient le FM qui est tiré en arrière, et quelques temps après, elle se remet à tirer. MATTEI ordonne - Mortier., et au 4 éme obus les nouveaux servants viets du FM sont liquidé, mais..... à nouveau, ils voientle FM qui recule, et de nouveau tir de mortier, les viets, tentent de le hisser sur un sommet, mais ils n'y pazrviendront pas. MATTEI et KLAUS vont voir, et sont ébahis de voir l'astuce des viets, pour tirer le FMen arrière,lorsque les servants sont hors de combat. KLAUS - J'avoue que je n'y aurais pas pensé. MATTEI, Qu'est-ce qu'ils ont dans le citrons, ces diablotins, quand ils'agit de nous faie des vacheries -Chapeau dit MATTEI, c'est l'astuce la plus acharde que personne 'ai jamais imaginé. Et la colonnne repredn sa route. l'eau commence à manquer. MATTEI consulte sa carte, et dit - il doit y avoir un village par là, et je le suppose, donc un puit, mais...il demande à KLAUS, que feriez-vous, si vous étiez à leur place ? - Evidemment, je saboterais le puit. - ATTEI, pas forcément rélisable., alors ? - Alors, j'aurais planque une dizaine de types enarrière, bien disposés à ous interdire l'accès au puit. A mon avis il ont dus sacrifier 2/3 hommes pas plus, car ils en avaient déjà sacrifier d'autes avant. - KLAUS, compred tout à coup. Ah la nuit, et y a que moi, capable de trouver le chemin. Nous allons marcher jusqu'à la collinne, nous tablirons un camp, et la nuit tombée, vous prendez 2 hommes et vous ferez ce que vous pourrez. A suivre......... JE SIGNALE QUE DANS LA SUITE? IL Y AURA 2 NOMS DE CITES, et ILS sont réels. certains peuvent le confirmer " page 156 " donc ce ne sera une invention de a part. | |
| | | damien
Nombre de messages : 6083 Date de naissance : 11/09/1980 Age : 44 Localisation : Cessenon/Orb Date d'inscription : 21/11/2006
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Mar 2 Oct - 17:17:32 | |
| un régal! :merc: Michaux la suite !! la suite!! :oke: | |
| | | NENESS
Nombre de messages : 45326 Date de naissance : 16/08/1948 Age : 76 Localisation : MARCK Date d'inscription : 21/04/2007
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Mar 2 Oct - 17:22:24 | |
| superbe michaux même plus besoin de rouvrir le bouquin :bavo: :bavo: :bavo: | |
| | | damien
Nombre de messages : 6083 Date de naissance : 11/09/1980 Age : 44 Localisation : Cessenon/Orb Date d'inscription : 21/11/2006
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Mar 2 Oct - 18:13:52 | |
| oui et surtout de les payer!!! au musée d Aubagne jusqu a 60 euros le bouquin!!!! (voulais en prendre un pour le grand pere mais connaissant pas les titres....) | |
| | | DIEUF
Nombre de messages : 21233 Date de naissance : 17/03/1964 Age : 60 Localisation : cessenon Date d'inscription : 24/10/2006
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Mar 2 Oct - 19:37:12 | |
| :merc: michaux :baba: :po5: | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: Le commando de MATTEI poursuit HO-CHI-MINH. (3) Mer 3 Oct - 17:06:32 | |
| Le commando s'installe e KLAUS désigne 2 égionnaires Allemands pour le suivre : MUNCH, un tout jeune Munichois, et WOLFRAM, un ex-capitaine des SS. Ls 3 hommes quitent le leurs compagnons vers 21 heure . Ils ont chaussés des espadrilles de corde (qui se trouvent ans tout équipement de commando). Ils sot bardés de grenades,mais n'emporte q'un PM pour eux 3. Les 3 hommes observent scrupuleusement les règlesde sécurités qui régissent ce genre d'opération.Pas un bruit. Si l'un deux par exemple se brsait la chevlle, il se laisserait tomber sans la moindre plainte. La découverte du village se révèle plus aisée u'ils ne le croyaient. Couchés à plat venre, ils observent. Après un temp, KLAUS presse l'épaule de MUNCH.Aussitôt ce dernier part en rampant, tous les ses en alerte,contrôlant sa respiration,ilavance comme ujn serpent. KLAUS ne l'a pas choisi au hasard.Il sait qu'il peut compter sur lui,car il est capable de tuer un ennemi avec sang froid etsans remords. MUNCH est alerté par ds ronflements qui sortent d'une cagna. Il sait qu'un homme dort, et de ce fait un autre guette quelque part.S'attaquer de suite au ronfleur, serait une erreur.Donc il guette et est servi par la chance A moins de 5 mètres de lui,1 homme se lève ranquillement, bien dessiné dans le clair de lune,et se met à pisser. D'un bond slencieux,MUNCH est sur lui.Il ui plaque sa main gauche sur la bouche,tandis que de la droite,il frappe,enfonçant sn poignard jusqu'à la garde dans les reins du petit viet. En souplesse, il repose le corp.Il guette un instant,et après quelques minutes, il est persuadé qu'il n'y en a pas d'auttre à part le ronfleur. Par acquis, il inspecte quand même quelques paillotes.Ensuite,il se dirige dans la direction du ronflement. Il contemple longuement l'homme étend a terre, pour s'assurer qu'il est bien seul,puis avance lentement,et se laisse tomber à genoux sur le ventre du viet, et d'un seul coup, ui enfonce son poignad dans la gorge. Il sort, et par précaution, il lance une grenade devant lui. L'explosion ne suscite aucune réaction,donc, il n'y avait que ces 2 viets. Alors il crie d'une voix forte - ça va chef,vous pouvez passer. KLAUS envoie WOLFRAM pour prévenir le caitaine MATTEI que la voie est libre. En attendant ,ils va vers le puit. KLAUS, jette un caillou.Il ne percçoit en retour qu'un bruit mat. - Nom de Dieu, il y a pas de flotte lance MUNCH. - C'est érange,ce villge devait être habité,je pense que les habitants ont du aler se planquer dans la nature, et les viets n'on pas pu boucher le puit en quelques heures. A son our MUNCH jette une pierre qui renvoie le même son mat. - Si on avait une corde,on piurrait descendre dit'il. - Pas question avant l'arrivée de MATTEI. Ce ernier arrive vers minuit, il juge la situation après avoir lui aussi lancé quelques pierres dans le puit . Endin,il ordonne - balancez une grenade dans le puit. L'explosion ne déclenche aucun dispositif,mais pour plus de sécurité, KLAUS, vide deux chargeurs de PM . MATTEI ordonne alors - faites descendre un homme ,il faut aller voir. SANTINI se désigne de lui même pour decendrte. 3 légionnaires tiennent la corde pour controler la descente de l'Itaien, qui tient la corde de la main doite et une lampe torche de la main gauche. Il y a ennviron 4 mètres de descente de SANTINI, il se penche et crie . - Tu vois quelque chose ? Je distingue mal, descendez moi encore. Les légionnaires laissent filer la corde, quand un grand cri déchirant de SANTINI - remontez-moi, emontez-moi..... MATTEI et KLAUS se précipitent pour aider les légionaires et, ils arrachent littérallemet SANTINI hors du puit. Arrîver prés du bord, il s'éjecte lu même, s laisse tomber à 4 pattes et se met à vomir, avec des hoquets. A suivre..... - MAIS QU'Y A T'IL DON DANS CE PUITS ?? | |
| | | damien
Nombre de messages : 6083 Date de naissance : 11/09/1980 Age : 44 Localisation : Cessenon/Orb Date d'inscription : 21/11/2006
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Mer 3 Oct - 17:43:48 | |
| :monstres: c est pire que la coupure pub pendant un film!!!! :ri: (j aurais mis un caiman dedans!)mais peut etre y a t il trouvé les corps des villageois??? | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: Le commando de MATTEI poursuit HO-CHI-MINH. (4 et fin) Jeu 4 Oct - 20:15:27 | |
| Après avoirrepris ses esprits , SANTINI parvient à dire : - C'est plein de macchabées dnsle fond, tous entasssés. - S'il y avait de la flotte,ils seraient au fond dit OSLING - En principe, approuve MATTEI. Mais il faut se rendre compte. Et pour ça il n'y a qu'une solution, c'est de les remonter - Pas moi dit SANTINI, je descend plus. - D'accord SANTINI,on va y aller chacun à notre tour,ce qui m'étonne c'est qu'on ai rien senti.Ca puait pas dans le fond ? - Je crois pas,j'ai pas remarqué - C'est qu'ils ne sont pas là depuis longtemps. Qu'un homme descende. Il passera le pieds des morts dans un noeud coulant et on les hisseras. Toujours aussi blasé MUNCH descend le premier. Les deux filins se déroulent de 5 mètres environ qund l'allemand crie : -stop . Une minute plus tard,il lance d'une voix neutre : - Tirez la 2éme corde et renvoyez la, je reste en bas. Un premier corps est hissé et la corde renvoyée au fond. MUNCH patauge dans le charnier. Après le 4 éme corps MATTEI le hèle, tu veux qu'on te relaye ? - Non, ca va, ne perdons pas de temps. Il y avait 9 cadavres , 6 femmes et 3 hommes. Tous des vieilards. 2 madriers avaient étés dsposés en croix la surface de l'eau,pour empécher les corps de s'enfoncer. - OSLING crie à MUNCH, il y a de l'eau ? - Oui, mais elle n'est pas appétissante. Les légionnaires eux, contemplent les cadvres. Tous ont étés égorgés, et ils comprennent qu'ils ont étés vidés de leur sang,qui s'est donc entièrment répandu dans l'eau. - L'un dit, moi, je préfère crever de soif, je ne tpuche pas à cette flotte. Il est approuvé par la plupart des autreslégionnaires.. MATTEI, décide de jouer une dernière carte, il éclate de rire et dit : - Ah, il est beau mon commando, vous êtes des ignorants, comme les imbéciles qui ont essayés de nous dégouter. Il affirme avec une parfaite mauvaise foi. - Vous ne savez pas que le sang est beaucoup plus légerque l'eau,et qu'il est donc demeuré à la surface. E lestant nos bidons de cailloux et en les envoyant au "fond" on recueillera de l'eau aussi limpide que celle d'une source. Et il montre l'exemple, des cailloux dans son bidons, attaché à ne ficelle, il le lance, attend 1 minute, e le retire aussi vite qu'il le peut. OSLING, tire une pastille antiseptique et la tend à MATTEI. Mais celi-ci refuse, il veut sa démonstration éclatante, il dit : - C'est inutile, je suis prersuadé que cette eau est parfitement potable. Surmontant sa répulsion,il commence à boire à larges gorgées, puis éclatant d'un rire satisfait, il tend sa gourde à OSLING. - Vous êtes chic avec moi lancece dernier,avant d'imiter MATTEI. KLAUS entre dans le jeu - Eh vieux, part à trois, laisse m'en. Il n'en faut pas plus pour convaincre les légionnnaires Quand tous on remplis leur bidon et bu, MATTEI questionne OSLING, qui rappelons le, était médecin dans la Wermacht. - Au fait OSLING, qu'elle est a densité u sang humain ? - OSLING : Pensez à autre chose, c'est mieux. - Oui vous avez eaison, mais avez vous trouvez un goût à cette eau ? - Je n'en sait rien, jai bu en contractant mon estomac. - KLAUS, le goût c'est rien, c'est la couleur.Je crois que dans un verre, je me serais dégonfer. Cette nuit là, les hommes n(ont dormi que 2 heures, et le commando repart.Vers 10 H du matin, c'est le drame. Le 6éme homme de la colonne, saute sur une mine, pourtant MATTEI,KLAUS et 3 légionnaires étaient passés avant lui. L'homme un Belge,a été tué sur le coup, et derrière lui un Français est tombé. Il s'appelle François DESCOLA,un de ces hommes qui s'engage à la Légion par désespoir d'amour. Onenterre le elge sur place, OSLING, sait que le Français est perdu, vu la gravité de la blessure. DESCOLA le sent, il demande àMATTEI, lapeomesse, qu'ine sera pas enterré comme le Belge.MATTEI promet. Le Français eurt en ours de route, ce que lui signale un des légionnaires qui portait a civière. MATTEI répond, on continue à le porter jusqu'au prochain village, ou on l'enterrera. et la poursuite reprend. Mais, apr!ès une semaine, ils ne sont plus que 14, aprs 2 semaines 6, à encore pouvoir suivre : OSLING,KLAUS, MUNH,CLARY,WOLFAM et SANTINIqui porte toujours la petite Anne-Marie Le 20 juillet,près de 1 mois après le début e la poursuite, les rescapés arrivent à BAÏ-NAÏ, à vol d'oiseau ils ne sont qu'a 50 km de leur point de départ. Au centre du village, ils trouvent le car, qu'a abandonné HO-CHI-MINH et ses comparses. MATTEI comprend qu'il na plus aucune chance de rattraper les fuyards. Et miracle de la Légion, tous ont conservés ne tenue propre au fon de leur paquetage,en moins 'une heure, seul leur visage creusé par la fatique est encore décelable, on ne dirait pas qu'ils ont pacouru près de 150 kms.Le bataillon les rejoinra 6jours plus tard, en ayant récupérés en cours de route, ceux qui n'avaient pu suivre la cadence.a volonté rageuse de l'officier Corse n'aura pas changé le cours de l'histoire, et a guerre d'Indochine se poursuivra, implacable,jusqu'a ce qu'il y ai Dien-Bien-Phu. | |
| | | DIEUF
Nombre de messages : 21233 Date de naissance : 17/03/1964 Age : 60 Localisation : cessenon Date d'inscription : 24/10/2006
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Ven 5 Oct - 9:07:11 | |
| :merc: michaux :respect: :x1: :oke: | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: Des anecdotes légionnaires (en vrac) Dim 21 Oct - 17:09:56 | |
| Au vu du compteur visites de cette rubriques, pour les "admirateurs " de la Légion, je vais placer des séries d'anecdotes qui ont eus lieu depuis la création de la Légion. Elle seront placées sans ordres chronologiques. -------------------------------------------------------------------- Jean VANDENBROUCK, ex-comptable, sétait engagé par désespoir d'amour,25 ans de légion,tué à El Mers le 24 juin 1923 juste à côté de son Lieutenant,tué lui aussi; le Capitaine fouille les deux portefeuilleset que trouve t'il ? 2 photos de la même femme; jeune dans le portefeuille de VANDENBROUCK, c'était sa maitresse ; âgée dans le prtefeuille du Lieutrenant , c'était sa mère, encore un père et un fils. ------------------------------------------------------------------- Un légionnaire alleman, 6 ans de campagne,ancien professeur de grec au lycée de Francfort-sur-le-Main,boit pour oublier.Un jour,au "Chat Noir" de Bl-Abbès,il devient fou d'une danseuse espagnole de 23 ans,se bat pour elle,l'épouse;dès lors sérieux et rangé,plus de boisson,plus de B.M.C.;entre à l'école des sous/offs,devient sergent.Elle,tirée du ruisseau,est manucure;amour parfait. Quand le sergent et tué au Maroc, elle se tue de'un cup de poignard ------------------------------------------------------------------- Un lieutenant arrivé à la force du oignet, sa mère faisant des ménages pour payer ses études. Héros de la grande guerre,Légion d'Honneur, croix de guerre.Après l'armistice ne sait pas ceréadapter, alors folles nuits à Lyon,des dettes, condamnés pour avoir bazardé des armes,u seul refuse, la Légion. A Bel-Abbès il est 2éme classe. Le Colonel lui dit, tu peu te racheter,pense à ta mère,à ta soeur.Mais rien à faire. Il se rmet à boire, et un jour on le trouve mort,un coup de fusil dans la bouche. Sur sa poitrineun billet, libellé comm suit : Mon Lieutenant,je vous adresse au nom de Dieu,de ma mère,de ma soeur,ne dernière prière.Cacher,je vous prie,la vérité à ces deux pauvres femmes. Dites leur que je suis mort pour la France. --------------------------------------------------------------- | |
| | | damien
Nombre de messages : 6083 Date de naissance : 11/09/1980 Age : 44 Localisation : Cessenon/Orb Date d'inscription : 21/11/2006
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Lun 22 Oct - 7:36:00 | |
| :bavo: merci Michaux toujours un régal!!! :bavo: le coup des photos ca c est fort! | |
| | | DIEUF
Nombre de messages : 21233 Date de naissance : 17/03/1964 Age : 60 Localisation : cessenon Date d'inscription : 24/10/2006
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Lun 22 Oct - 18:38:18 | |
| :merc: michaux :respect: :oke: | |
| | | AAMUNCH
Nombre de messages : 66003 Date de naissance : 10/08/1958 Age : 66 Localisation : HAUTE CORSE CALENZANA Date d'inscription : 03/09/2006
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Lun 22 Oct - 19:01:08 | |
| oui michaux
bien lu :ric: :ric: MON SITE
http://munchexmoser.e-monsite.com/ | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: en vrac donc : Lég. GLOCKNER,Cal.MORIUBALDINI Jeu 25 Oct - 17:17:26 | |
| GLOCKNER avait été vctime de vieills rumeurs et de rêves ,comme quoi les déserteurs étaien,t accueillis par l'ennemi comm des princes. En fait, à peine arrivé chez ABD-EL-KADER,les Arabes en avaient fait un misérable esclave. Evadé,il avait pris du service chez le marabout TEDJINI,un rival d'ABD-EL-KADER, puis on ne sait pourquoi, il était retouner chez ce dernier,qui lui avait pardonné sa "désertion". GLOCKNER servit dans les rangs des rebelles pendant les campagnes de 1839 à 1840, il fut capturé par les françaisdu Général CAVAIGNAC. Son compte était bon. Mais, qui a beaucoup VU chez l'ennemi, peut aussi avoir beaucoup"retenu",et monnayer ses renseignements. CAVAIGNAC avait autorisé le déserteur à servir à nouveau à la Légion,sous une autre identité: JOUSSEF. Le transfuge chevronné aait alors 21 ans;timide,il rougissait comme une jeune fille, allez comprendre ? En garnison à Mascara, il avait encore déserté et gagné le Maroc. Le Consul de France l'avait faitarrêter à Tanger,et un autre Général , BEDLAU,l'avait sauvé du peloton (pourquoi, ? conre quels renseignements, le secret a été bien gardé) et fait engager commpe Spahi au titre étranger . Mais, une ombre patiente de loin suivait GLOCKNER,l'homme qui en avait trop vu et trop dit. Le cavalier rouge d'ABD-EL-KADER chergé de l'exécution n'a pas manqué son coup -------------------------------------------------------------------- Pendant la bataille de Ichéridèn (Kabylies) un des légionnaires qui s'était le plus distingué au combat, était le Caporal MORIUBALDINI. Comme il portait déjà la médaille militaire (gagnée à Sébastpol) ses chefs le proposèrent pour la Légion dHonneur. Or à l'époque il fallait pour l'obtenir faire connaître sa véritable identité. Le Caporal hésita longuement,enre l'incognito et le ruban; puis se décidant,il tira de son sac des papiers indicutablement authentiques. Il s'agissait du Prince UBALDINI,de la noblesse romaine. On vit même qu'il avait été ' Evêque". Il possédait toujours en Italie,un château et une immense fortune. Il resta cependant à la Légion,t ne rentra en Italie qu'atteint par lalimite d'âge, avec le grade de Capitaine. | |
| | | damien
Nombre de messages : 6083 Date de naissance : 11/09/1980 Age : 44 Localisation : Cessenon/Orb Date d'inscription : 21/11/2006
| Sujet: Re: ANECDOTE MICHAUX Jeu 25 Oct - 17:20:28 | |
| :ric: toujours un réel plaisir Michaux merci! :calva: | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: RMLE - 14/18 - Alan SEEGER Mer 7 Nov - 20:20:57 | |
| Pendant la gurre 14/18, le Général BEDOULAT désigne l'objectif n° 1,peu engageant,un village mis en défense depuis des mois par les allemands ,au surplus, isolé par un glacis de 800 m : Belloy en Santerre. ll désigne pour ce morceau de choix, le RMLELes 1er et 2éme ayant suffisamment fondu,ils ne forment plus qu'un seul régiment, sans n°. Il pleuvait,Asservilliers et Belloy étaient vraiment un terrain sinistre;plat,sans abris ni couverts,défoncé par les obus, mais pas pelé de partout,une parie étant couverte de hautes herbes, mais dans lesquelles, il était impossible de courir. Tous les hommes de la 1ére vague, étirée,savaient su'une bonbe partie d'entre eux,seraient morts avat d'avoir parcouru les 800 m. Prêt les hommes de la 9éme Cie s'alignent, le claieon sonne la charge - En avant la Légion : Les hommes s'élancent, pas u coup de feu ? ils avancent, évaluent la distance parcourue, plus de la moitiédes 800m, quand soudain,les mitrailleuses allemandes crépitent. E moins d'une minute, le glacis est jonché de corps. -En avant la Légion, les survivant repartent,courbés en deux, et non,l'infranchissable réseau de la mort les arrêtent, il était tendu à 40 centimètres du sol, de ce fait, ils devaient s'applatir. La deuxième vague se prépare à s'élancer .Elle avait devant les yeux l'image de leur propre mort. - En avant la Légion. Rien à faire, infranchissable, les blessés se terraient comme ilsle pouvaient. Les brancardiers ne pouraient arriver jusqu'à eux. - On va tous crever ici ! - Vos gueules, écoutez ! Une sonnerie de clairon, de chrge, mais du côté de Belloy. Le blessés se redrassaient, plus de tirs, la Légion avait pris Belloy. 15 officiers allemands prisonniers regardaient avec quelques surprises,lesquelques officiers de la légion survivants;élégants,distingués,couvrts de boue. L'un d'eux reconnait un habituéde chez Maxim,le Lieutenant MAZADE-AGA,filsde l'ambasadeur à Paris du Shah de Perse. Parmi les blessés gisant sur le glacis,l Capitainede l'armée Suisse,Albert de TASCHNER et, un autre blessé que qualité, un légionnaire, le Caporal Alan SEEGER, célèbre poète. Peu de temp avant, il avaitécrit ce poème: Estimant infime le paiement de sa dette Pour que son drapeau puisse,l'honneur intact Flotter sur les tours de la liberté, De sa poitrine le sodat fit rempart Et de son sang combla le fossé.
Avait'il imaginé à quel point il était prophète de son propre destin. Il attendait les secours comme ses copains blessés. Et en attendant,il chantait,des refrains populaires Français,teintés deson accent américain, il chantait, il chantait,mais; hélas! a petit jour son refrain se brisa, et la voix s'éteignit. ----------------------------------------------------------------------------- Sa photo se trouve au musé de Aubagne, avec celles de : Prince Aage - Cole Porter - Fernand Gravey, etc...... | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: leg. MURAti un ex.para Allemand + un Ex.Ministre Ven 16 Nov - 17:16:40 | |
| En Indochine, un chef de Province Vietnamien, avaitinvité des officiers à l'occasion de la fête du Têt. Mais, il avait demandés à chaque officier, d'amener avec eux un simple légionnaire. Les légionnaires désignés se présentèrent en grande tenue . Parmi eux, un simple léfionnaire, se nommait : MURATI. Diner raffiné,is discuèrent de tout, et surtout de l'art. Les légionnaires avaient aussi droit à la parole. Mais l'annmite, remarqua que MORATI écoutait attenivement et avec intérêt.Il ui demanda qu'elle était sa patrie d'origine =l'Allemagne. Il lui depanda s'il s'intéressait à l'art Vietnamien t en particulier aux laques. L'officier qui avait amené,MORATI, le regard, tout en se demandant, si seulement il savait ce qu'était un laque.. Oui,il savait. Et à partir de ce moment, au fur et à mesure de la conversation, ce fut l'é"tonnement puis l'admiration parmi les Officiers (parmi lesquels se trouvait le médecin-Commandant GRAUWIN).il parlait encore à la fin du diner. Cet homme s'était tu trop longtemps. Io s'était engagé directement après la fin dela seconde guerre mondiale. Comme simple légionnaire,il avait salué les gradés deux cents fois par jour, dans oa cour du quarier Viénot de SBA,il avat fait la tournée des bordels avec les copains. La question de l'annamite sur les laqus, lui avaient rappelé ce que peut'être il savait depuis des années.Il avait pour une raison connue de lui seul désiré oublié,qui il était en réalité. Il s'agissait du Kapitän Zur see Horst von Murati,ex commandant de U BOOT (sous marins allemand.) --------------------------------------------------------------- Lors de la constition d'unités parachutistes légionaires. Des officiers craignaient qu'ile se forme des castes.Le para,par nature combattanthors série,se veut une sorte de surhomme. Le pas ôur former des légionnaires pars, fut franchi le 1/4/1948,jou ou le colonel commandant le 3 éme Etranher, publia une note de service, demandant 50 volontaires ,pour constituer une Cie para. 80 légionnaires ayant servis dans des armées étreangères se préentèrent,ilfallu refuser du monde,faute de matériel. Parmi l'un des élus, jusque là caporal infirmier , il se trouva un ex Lieutenant para de l'armée Allemande, qui avait sauté dans les Abruzzes avec Otto SKORZENY, pur délivrer MUSSOLINI. ------------------------------------------------------------------ A la fin de la guerre 40/45,des officiers Français circulaient dans les camp de prisonniers, en vue de recrutement pour la Légion. Tous ceucx qui voulaient s'engager, étaient immédiatement séparés des autres prisonniers. Pour obtenir le plus d'engagement posible, les officies discutaient familièrement avec les engagés, leur tapaient sur l'épaule etc.Les Anglais et les Américains rouspétaient ,car selon eux, la Légion allaient engagés de vrais Nazis et des SS ce qui est exclus pour ces derniers,car ils étaient reconnaissables grâce à leurs tatouages. Ma Légion avait auss recruté en Italie, amalgant sans efforts,des Fascites et des antifascistes. Et de ce fait une des recrues de l'époque, fur celle de : Giusepp BOTTAI,ancien Ministre de l'ducation nationale sous MUSSOLINI. ------------------------------------------------------------------ | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: Hasard et Destins Mar 27 Nov - 23:14:44 | |
| En 1945, Léon MEUlEMANS,belge,originaire de Bouffioulx,s'engage à la Légion, il servira quelques années dans une CSPLE. Fin 1949, Jean DEBOES, belge, originaire de Bouffioulx,s'engage à la Légion. En janvier 1951, JE m'engage à la légion. J'irai faire mon instruction en Tunisie, jusqu'en juillet de la même année. Nouvion, en Algérie, grand camp de rassemblement pour légionnaires devant être envoés en renfort en Indochine. Nouvion, le légionnaire Antoine HORENBACH, belge, vient me trouver, discusions. - Tu est Bien MICHAUX ? - Oui, pourquoi ? - Tu est réellment belge ? - Bien sur, je sis de la région de Charleroi. - Ton village, le nom c'est bin Bouffioulx ? - Oui, mais pourquoi ? tu est assi belge et de la reégion ? - Non, je suis Liégeois, je viens te voir, pour te dire,que je travaille au bureau des effectifs,et en lisant les livrets militaires, j'airemarqué que vous étiez 3 ici,et tous les de Bouffioulx. - 3,avec moi ? dans les 2 autres, il n'y en aurait pas un du nom de Jean DEBOES ? car si oui, lui je le connais, nous avons été à l'école ensemble. Mais l'autre ????? - Oui, il y a DEBOES, l'autreson nom MEULEMANS , vient j vais te les faires rensontrer. C'est ainsi que je retrouvai DEBOES et fit la connaissance de MEULEMANS. Tous les 3 nous sommes partis pour Alger, nous avons embarqués sur le Wisconsin, nous somme descendus à Djibouti en perm. de quelques heures. Arivés à Saïgon, nous sommes allés au camp à Cay-May, ou ont lieu les mutations. c'est ainsi que : DEBOES fut muté au centre Annam dans la région de Tourane, MEULEMANS, àla 13 éme DBLE dansla région de Bien Hoa à une cinquantaire de Kms de Saïgon, et moi à la 40éme CCB à Gia-Dinh, à 8 Kms de Saïgon. Décembre 1951, je sort du BMC de Saïgon, et quivois-je qui y entrait, DEBOES, qui ayant reçu une rafale de mitraillette dans la jambe, était rapatriable sanitaire. Gian-Dinh, debut de l'année 1953, par lettre, mon père m'informe qu'il y en a un 4 éme de Bouffioulx, donc à lalégion. Qu'il est au Tonkin, et que sa grand mère (sa seule famille) est inquiéte,car ellen'a plus reçu de lettres de lui, depuis plus de 1 mois. Mon pèe me donne le nom : Paulin HIERNAUX, que je ne connais pas, il me donne aussi le n° du SP (Secteur Postal). J'écrit donc à HIERNAUX. Il ne me répond pas, mais quelques temps plus tard, mon père m'informe qu'il a donné de ses nouvelles, et que s'il était resté si longtemps sans écrie, c'est qu'il en était dans l'impossibilité d'envoyer le courrier. octobre 1953, la 40 éme CC, ne sera plus légionnaire, elle sera remplacée par des Vietnamiens et des Français volontaires pour 6 mois en Indo. Je suis donc dans les derniers à quitter la Cie,début décembre, et je suis muté au 3/5 REI au Tonkin. Fin mars 1954, je reçois de nouveau dans ue lettre de mon père,une demande,sil m'est possible d'avoir des nouvlles de Léon MEULEMANS, qui était à DBP et au 3/13 DBLE. Mopère m'écrit qu'il savent à Bouffioulx ce qui se pase à DBP, et les parents de MEULEMANS sont inquiets, car sans nouvelles. Je répond que je suis dans l'imposibilité de savoir quoi que ce soit. Arrive fin juillet 1954, le ceseze feu en Indo. Toujours par mon père, j'apprendrai quelquestemlps plus tard, que l'Ambassade de France à prévenu! la famille de MEULEMANS que ce dernier avait été tué le 13 mlars 1954 à DBP, et que Paulin HIERNAUX, lui avait été tué quelques jours avat le cessez le feu. 4 du même village, 2 ont étés tués 1 a été srieusement blessé sérieusement,2 mois après sont arrivée en Indo. Il n'y a que moi, qui en est revenu après plus de 3 ans de séjour,et quasi indemne. Quand à Antoine HORENBACH, il fut muté avec moi à la 40éme CCB. puis fut muté,mais je ne sait ou, et toujhours le hasard, lorsque je me suis embarqué avec le 1/2 REI sur le Pasteur pour revenir en AFN, qui était lui aussi sur le bateau ? HORENBACH, lui il avait su passer Sergent. Lorsque ma Cie du .2 REI s'est retrouvée à Tabarka, qui vois je arriver,vers le mois de juin 1955, muté à ma Cie, HORENBACH, avec le grade de.......... Caporal. Comme je lai écrit à la Légion, le hasard parfois... | |
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