ANECDOTE MICHAUX

super repas michaux :hi hi hi: :hi hi hi: :hi hi hi: :hi hi hi: :hi hi hi:

alors la michaux ce que tu as a fait avec tes amis au restaurant est d'une classe énorme manger a l'envers narguer les gentilshommes
tout faire parfaitement dans la subtilité la fin aussi saluer les dames vous retourner saluer et dire bon noel a tous c'est d'une grande classe
merci michaux je mis mettais doucement a lire vos a année docte ce soir je me suis payé une bonne rigolade entre la jeep l armoire et les balade a saigon
continue a nous raconter des moments de ton histoire michaux en plus tu tourne ça perfect :respect:

MAGALI a écrit:

NENESS-cochon: je me souviens trés bien de cette anecdote déjà évoquer , je m'en souviens car voulant vous faire une surprise , j'avais chercher en vain cette chanson de Rose marie :ri:

bonjour ....

je pense l'avoir trouvée ....
mais par thierry le luron ....

oui on a chercher pendant longtemps ,du coup on avait creer un sujet au salon pour ça !!
merci Mich !!!

il est bonMICH! nenesse fais moi aussi un godet stp!!!!

Et nous voici la 30 avril 1953, Camerone. Comme celui de l'an passé, à la
0 éme CCB, pas de cérémonoe exceptionnelle, ni à Saïgon ni au cantonnement. Les seules traditions respectées, lecture du combat de Camérone par le lieutenant, et les repas servis par les sous/offs. Le déjeuner là, exceptionnel, la casse noire de la compagnie a du en prendre un coup, au déjeuner, pas le gros rouge, mais une bouteille de pinard Algérien pour 2 (le vin français, tenait difficilement sous ce climat) Après le repas, donc à partir des 13 H quartier libre pour ceux qi ne sont pas de
service, ceux qui le sont, ce rattrapperons le lendemain 1 er mai, qui est aussi u jour férie.Pendant le repas, on discute, car oui, nous sommes tous
les 5 (MAYER - PATONAY - KOPINSKI - GARCIA et MOI). On discute, que va t'on faire de cette journée, jusqu'à demain matin, car l'on avait demandé et obtenu une permission de 24 H, donc l'on devait être présent au poste de garde pur au plus tard 7 H du matin.On discute, et PATONAY a une idée, qu'ilnous d'écris comme suit
1) on va se chercher une congaïe, non pas au BMC, mais ou c'et normalement interdit, donc près du camp Pétrusky, car là, même si elles
sontplus chèresn, elles sont en principe, plus vicieuses.
2) dès que chaun à sa gonzesse, on va se payer une toileau cinoche de
la rue Catinat (leciné aux pédés) ou dans lenoirde la salle, on pourra se
bécoter,se peloter, jusqu'à en faire fuir les tapettes.
3) Après le film, on va bouffer au resto de Cholon, celui ou j'ai pour la première fois, bouffé du serpent, on laissera les filles choisir un bon repas
mais interdiction de dire ce que ce sera comme barback.
4) Après le bouffe, direction les petits bungalow de Dakao.
Nous nous regardons, supputons, et d'un coup, 4 regards ce tounent vers
KOPINSKI, mais lui, a t'il du pognon ? Bon on vient de percevoir la solde,mais avec ses foutus carnets/chèques/foyer. Miracle, il a perçu I/3
de sa solde en espèces, on n'en revient pas. On ce concerte eencore et dcidons du départ à 14 H, soit le temp de digérer le repas et e ce faire beau.
l'heure dite, cyclo et l'on part. On arrive à l'endroit dit, on s'attable, et bien sur,l'on est immédiatement assallis par 5 filles.
Ici je dois ouvrir une parenthèse, une question en somme.
Je ne sait pas si vous vous êtes déjà trouver dans ce cas, mais l'instinc,si l'on peut dire, 5 types, 5 filles, chacune ce dirige vers un gars, et c'est
OK, pas de ; M.... j'arais préféré celle que tu a, non, c'est OK, alor cela commence, minh oy (mon chéri) toi c'est moyen offrir verre pour moi ?
en me remémorant (avec peine) ce jour, je dois dire que :
PATONAY a été choisi par laplus sal..... KOPINSKI (et cela tombait bien) par une qui aimait le choum, MAYER lui je sait plus, et GARCIA, lui une
Cambodgienne. Moi, je suis tombé sur une, que l'on aurait dit qu'elle était encore pucelle (mais il n'en était riens, et.....) très très jolie, bref, ce qu'il faut pour jour à papa maman ou au docteur.Nous buvons quelques verres,et pour la séance de 16 H, nous hélons des cyclos, Catinat, cinéma,biet (compris) maulen (vite) et nous voilà partis.
on arrive, on débarque, on paye le cyclo, on prend tickets de ciné, on ne
regarde même pas ce que l'on joue, on entre dans la salle, et là (sur le coup^l'on n'y a pas pris gardeà PATONAY s'arrange, pour être dans le
fond de la rangée contre le mur. les loupiotes s'éteignent, et cela commence par un documetaire àla gomme,nouscomme convenus on commence à se bécoter,se peloter,se tater, s'écoule des minutes, quand
d'un coup un cri. Ici faut que je vous donne plus ou moins les places que
nous occppions. Donc dans le fond PATONAY, à côté de lui sa fifille,puis
MAYER, sa fille, et je sait plus.
Donc un cri, dans le genre de "Aie " en vietnamien, accompagné d'une onomatopée en Hongrois. et la fille de se mettre à gueuler dans le ciné,
pouquoi toi donner coup pied cul pou moi, dis a fille à PATONAY en s'adressant à MAYER, lui (PATONAY) ces demandé moi faie "san moï chïn"
(69) (bien que toute seule à lefaire); nous on sursaute, quoi (bien sur on
sait ce que "san moï chïn" veux dire, on regare, et l'on voit,notre PATONAY, avachi sur son siège, la braguette béante, le zigomard, raide comme le mat d'un drapeau; il était occupé à ce faire turluter le dit zigoard. Mais attiré parle raffut de la fille, les occupants des sièges tant du devant nous que de derièrre, se penchent, et c'est l'ébahissement de tous. PATONAY se fait engeuler par MAYER, se reboutonent, tandis que de l'autre côté de la salle on entend des " chut, chut,silence oui, bien sûr eux
non riens vus. Le calme revient, l'entr'acte, on va vite s'en jeter un, on retourne à sa place, lefilm commence, et déjà des rires (pendant le titre du film et le générique) le dit fillmcommence, et après quelques instant, les rires augmentent, puisles fous rires , que mêmes les congaïes étaient pliées en deux,mais que ce passe t'il, pourqoui ces rires,(vous en jugerez par vous même, pourceux qui connaissent tant soit peu Hollywood et ses DECORS) on n'y tient plus, comme beaucoup, on sort, et l'on va chez
GIVRAL pour se taper un rafraichissant. cela fait,cyclos, Dakao.
On a chacun de soncoté passé lanuit avec sa fille
pour PATONAY, cela a du être chaud
Moi, ma gonzesse n'était pas si timide que cela, la preuve
elle m'a couté ma 2 éme chaude pisse.
mais pour quoi larigomade dans leciné, et par tout militaires confondus
à cause de ce film.

-----------------------

:oke: :magali rigole:


et oui ...... pour la deuxième fois ..... :magali rigole: :innfir:

ok bien lu michaux :souri:

Bonjours a tous
merci Michaux pour ce récit qui donne bien l'ambiance de l'Indo :oke: P.Bonnecarre n'aurait pas mieux écrit dans son livre " Par le sang versé" il aurait pu s'en inspiré :legio:
Amitiés Légio More Majorum
Daniel

et de 2 :magali rigole: :magali rigole: :magali rigole: :magali rigole: y aurait-il une troisieme fois ? :magali rigole:

OUI, MAGALI, mais plus tard au Tonkin, après le cessez le feu et à

KIEN-AN,

Mais cela a été la dernière, car cela commençait à bien faire

d'avoir la tête du zizi comme un chou fleur.

magali coca magali coca magali coca magali coca magali coca
vous avez voulu respecter l'expression : jamais 2 sans 3 :magali rigole:

BRAVO MICHAUX POUR TON HISTOIRE et ta jeunesse!! :souirire:

Pour la chanson "Rose Marie" , je me souviens que j'ai le disque 33 tours dans mes archives .

Il doit dater de plus de trente ans .

Si quelqu'un est intéressé , je lui donne .

Ne pensez pas que l'on étaient souvents réunis les 5 copains, car je rappelle que mes anecdotes ne sont pas au jour le jour, mais des périodes espacées. Pour pouvor êtreréunis le plus souvent possible, les 4 s'arran-
geaient pour des tours de garde remplacées, en payant un verre; pur moi,c'était plus compliquer car nous n'étions qe 3 pour la "permanence bureau", HORENBACH,HOFFSTTETER et MOI, et nous, c'était pour une semaine du lundi soir au lundi matin suivant.
Donc ce 14 juillet 1953, à notre compagnie, personnes n'est appeler pour défiler ou prises d'armes quelconques, car il y a quand même des services à accomplir, comme par exemple BRICKET et ses PIM'S,qui doit faire sa tournée de vidange des chiottes.
Nous étions donc réunis tous les 5 ,et nous demandions ce que nous allions bien foutre de notre journée, chacun réfléchi de son côté.: Se payerune toile ? non, si c'est un film con made in Hollywodd avec des décors en carton pâtes comme ceux qui étaient censés représenter Saïgon, dans le film dont je vous ai parlé précédemment, aller au BMC ?
MOI, oh que non, je suis à peine remis de mes "chaudes lances "d'ailleurs
maintenant, je me lance dans les AFATS, même si jetombe sur une ancienne pute d'une maison close, que madame Marthe RICAR a fait fermer en 1946, et que les filles dites de joie, n'avaient que deux choix, ou faire le trottoir ou s'engager pour l'Indo. MAYER faist comme moi, tandis que GARCIA lui s'était lancé dans les "veuves " éplorées ou pas, d'un certain âge, si pas d'un âge certain. KOPINSKI, lui baisait quand il en avait envie,
et PATONAY, lui depuis mes 2 malheurs, n'était plus chaud pour les filles
interdites " donc était un assidu du BMC officiel, ils avaient même déclaré qu'ils allaient baisés toutes les filles qui lui plaisaient, les unesaprès les jours (mais non, pas le même jour). Bon on ne sait toujours pas, alors ?
Notre discussions a lieu au foyer, devant un apéro, doit être un peu plus de 11 H, car les dimanches et jours fériés, le foyer ouvre à 11 H. D'un coup, l'un de nous(je sait plus qui) propose ceci :
- Après le repas de midi, l'on va à Saïgon,manger une bonne glace chez GIVRAL.
- Par après on fait une tournée des bars soit un verre dans chaque et l'on
change de bistrot.
- Lorsque l'on sera à peu près bourré, l'on prend chacun un cyclo,MAIS,
ce sera nous le conducteur, ceci pour rentrer at home. l'un de nous dit,oui mais si l'n tombe sur la patrouille ou la police militaire ? MAYER, no problème, on se met le casque du cyclo sur a tête, et le nhaqué mettra notre képi, donc faudrait être très pour voir qui est qui.
Soudain MAYER demande à KOPINSKI,- Tu en est ? - Bien sûr rétorque icelui - bon, mais tu a du fric ? - vide tes poches. KOPINSKI s'exécute, et
l'on s'aperçoit qu'il ne possède que 10 malheureuses piastres mais... il a
deux carnets tickets foyer, dot l'un pas encore entamer.MAYER, demande au barman le change des tickets en pognon, ce qui fait que KOPINSKI se retrouve avec 60 piastres, c'est pas lerche, mais enfin c'est toujours ça.
MAYER, lui dit, et tu n'oublieas pas de payer ta tournée comme nous. KOPINSKI prend un air offensé ; a-je déjà refusé ? NON répond MAYER,mais en ville cela ne t'arrive pas souvent.
Et nous voilà partis. Première halte à Dakao, l'on fait 2 bistrots et l'on repart, pas vers le rue Catinat, on vers la place du marché. l'on fait, 1, 2, 3 bistrots et bien sur à ce 3 éme (cela en faisaient déjà 5) MAYER, qui je le rappelle ne buvait que de la bière, doit aller pisser, il va, et quelques minutes après on l'entend gueuler, merde de merd, y a pas de flotte; l'un de nous s'adresse au taulier un vietnamien et on lui explique que MAYER,après chaque pipi, il ce passe coquette en dessous du robinet (s'il y en a un) ou le trempe dans un basin. alors ont dit au bistrotier " Nuoc Nang, maulen (de l'eau POTABLE, vite) . Il se précipite et s'exécute.
MAYER revient, on finis notre verre et on sort et à nouveau 1,2,3 bistrots,cela en faisait déà 8 et toujours le même scénario avec MAYER.
Alors imaginez notre état; MAYER ses bières, PATONAY, je crois qu gin
KOPINSKI, ce qu'il y a de plus raide et sans flotte qu'elle qu'elle soit,GARCIA ses apéros et MOI mes cognacs soda. l'un dit, on va faire une pause, on va se taper une bonne soupe chinoise, bien pimentée, du Nuoc Man (saumure de poisson) il y avait justement une "boite d'allumette" (c'est ainsi que tous les trouffions du CEFEO nommaient les petites charettes des vendeurs de soupes chinoise).
Après nore dégustation, KOPINSKI dit, cela donne soif, et l'on refait à nouveau 1,2,3 bistrots,mais cela commence quand même à bien faire; quelle heure est'il, j'sais plus, mais il faisait encore jour.On décide de rentrer car KOPINSKI dit qu'il n'a presque plus de pognon, nous, tant bien partis déjà, l'on ne sait plus combien de tournée il a payé. Pour s'aérer un peu, l'on part à pinces vers le bulevard Bonnard et on èle chacun un cyclo.Mais discussions, quel genre ? Moto ou vélo. on ce décident pour moto.On explique le topo au conducteur, il est pas chaud bien sur, alors, une course normale Saïgon-Giadinh, = 5 piastres (idem dans l'autre sens
bien sur) on lui dit, nous c'est chauffeur, toi c'est connait Giadinh, les
camions, les cyclos en choeur ah moi c'est connait. Alors voilà, on te donne de suite 10 piastres, on prend ton casque et tu met notre képi.
Tu te serres bien dans le fon du siège. On tombre d'accord et nous voilà
partis à la queue leu leu. Alors je vais selon ce que je me souviens,vous
décrire l'itinéraire. Du Bd BONNARD on remonte vers la cathédrale, la droit
vers le jardin botanique, devant celui-ci,on tourne à gauche,et une ligne
droite de ???? mètres. On passe devant le cercle des officiers, qui se trouve au 1 étage, sur le balcon (crainte des attentats). On roulaient doucement, en s'interpellant les uns les autres. En passant devant le cercle, une AFATqui était accoudée à la rembarde,nous voir arriver et surtout nous entend, elle héle des copines, venez voir, l'un passe, un autre suit,malgré le casque et le képi, elles se rendent comptent de notre jeu,et elles nous crient, "alors la légion, on se défoule " ? et il me semble que GARCIA, leur a crier son " VIVA LA MUERTE". Au bout de la rue,virage
à droite et là, la longue ligne droite de quelques Kms vers GIADINH, la route seulement bordéede part eu autre pas des " arroyos" = Chenal normalement sec,mais qui se transforment en torrent boueux, en saison des pluies. On s'arrête, on se placent côte à côte, et c'est partis, on fonce vers GIADINH. Ici, il faut que je vous explique le topo.
Au bout de la longue rue, se trouve un petit parc, dans lequel quelques bancs et un tombeau de je ne sait qui (mais pas deMarguerite DURRAS,qui
st née à GIADINH) à droite, rue vers centre de GIADINH, à gauche,quelques mètres et virage à droite, la rue coloniale qui mène vers
Tu-Duc , Bien-Hoa. Mais si l'on ne vire pas à droite, c'est direction Tan-Son-Nhut (l'aéroport). Donc route coloniale, à +/- 100 m , le parc autos et
le poste de garde, qui se trouvent à gauche, mais avant celà à +/- 25 m
du virage, à droite, le sentier qui mène et au serviv dépannage, et au foyer/ciné. Tout droit sonc vers Tan-Son-Nhut, à +/- 50 m à droite,l'hopital de Giadinh et à +/- 100 m sur la gauche, le BMC .
et on fonce et..... on arrivent.
MAYER et PATONAY, pas de problèmes, ils s'arrêtent à hauteur du sentier, GARCIA se trompe, il tourne à droite vers le centre , KOPINSKI, s'il tourne bien à gauche, oublie de tourner de suite à droite,et le voilà qui file vers
Tan-DSon-Nhut. MOI, je fait un tout droit, et je fonce dans le parc, encore un peu je me pétais la tronche sur un banc, et je me retroive les fers en l'air,cyclo et conducteur compris. J'entend les 3 qui se dempandent
ou je suis (car GARCIA avait fait demi tout,en se rndant compte de son erreur) j'arrive en clopinant, ben merde, qu'a tu fait. MOI, comme un connard, au lieu de freiner, j'ai tourner la menette des gaz.
Tout d'un coup des cris, on entend " peu pou moi kevé" ?? qu'est-vce qu'il raconte ce mec, on s'enquiert et il répète " peu pou moi kevé " Nous Con Biet ? (pas compris) du coup il nous montre sa moto, les 2 pneus crevés,
ah c'est cela qu'il voulait dire.Bonne pàte on l'a aider à pousser son cyclo vers le service dépannage, en un riens de temp ses pneux ont étés réparés, il est reparti content.
Nous pour se remettre on est entré au foyer,et l'on a commandé 4 "eaux gazeuses" le barman nous a regardé étonné,et avec les autres légionnaires présentsn ils nous ont posés cette question.
Vous êtes malades ???

Voici photo d'un cyclo (ne regardez pas ma congaïes) et les bières que
buvaient MAYER

---

---- --
-

et ben on devait vous voir de loin :magali rigole: :magali rigole:
de l'eau gazeuze ? c'est bien la premiere fois que je vois ce mot dans les récits :ri: :ri:
merci michaux :heureux: et merci d'avoir illustré cette anecdote :po3:

NENESS-cochon: merci michaux :souri: :omp:

Me souvient plus exactement,mais cela doit être fin septambre ou début octobre 1952, je suis envoyé au peloton d'élèves Caporaux à Tay-Ninh,en
compagnie de HORENBACH. Tay-Ninh n'est pas loin de la frontière avec le Cambodge, et le peloton a lieu à a 1/13 DBLE. Là, j'y fait connaissance d'un Belge Jean DESCAMP. En sommele peloton (je sait pas maintenant) mais c'était recommencer l'instrcution, sauf qu'ici il fallait avoir des cahiers,je me souviens que dans l'un d'eux, il yavait le détail concernant la grenade OF, qui indiquait le poids en grammes de la poudre, indication qu'en sommes cette grenade faisait plus de..bruit que de mal. Alos les cours de topographie, les tirs (fusils, PM et même FM) de toutes les façons, en courant, couchés, debout. l'exercice de combat, commandé un
groupe,comment prendre les dispositions lors d'un bivouac en zone d'insécurité, disposition des FM, que contrairement à ce que l'on pourrait penser, ne devait pas tirer juste devant , non les placer pour que cela soit un tir croisé =celui placé à gauche ,tire vers la droite et celui de droite
vers la gauche, pourquoi ? si 2 FM tirent droit devant eux, il y a un espavce entre les deux, tandis que tir croisés, il n'y en a pas.
j'étais donc là, lorsque début novembre 1952, rasssemblement de tous
le peloton, le Lieutenant Commandant la Cie et 2 autres officiers jamas
vu. des noms (une quinzaine) sont appelés, dont moi. Qu'y a t'il ? ordre
rassembler votre paquetage, vous partez en mission. En mission ? ou cela et pourquoi nous? on embarque dans 1 GMC et nous voilà partis. Je ne me
souviens plus de l'endroit, mais un camp, ou l'on reçoit armement, munitions, vivres et nous apprenons que nous avons étés choisis,car nous étions +/- spécialisés dans une catégorie ( topo - ex.combat - déminage -
etc..) et que nous allons participer avec le 1/13 DBLE et la DINA n° ???
(Division Navale d'Assaut) aux opérations SAMBA et BRIGITTE, dans la haute rivère de Saïgon pour la premiète et idem mais avec fouille et destruction de camps Viets et fabriques souteraines d'armement, dans
les villages de Boï-Loï - Co-Trach et Xuy-No. Ma doué, heureusement que pendant le peloton, j'ai REappris à tirer à la mat et autres, car au cours
de ces opérations, j'ai tiré, et là, c'était pas dans une armoire.J'ai eus
un avant gout de ce ue j'allais subir au Tonkin (bien que je ne le savis pas encore) pataugé dans la boue, les coups fourés des viets,les pièges,les mines.Et bien, je n'ai pas eus l'occasion de mettre en pratique mes connaissances en topo et exercice de combat, car contrairement à ce que
à supposer le haut comandement, nous avons pu nous replier,sans devoir galoper avec les viets au cul (comme cela m'est arrivé au 3/5).
Après cela, retour au peloton, fin des cours et retour à la 40 éme CCB au début de décembre. En lui disant au revoir, à mon nouveau copain belge
DESCAMPS,celui-ci me dit,bon retour, et j'espère pout toi, que ton GMC ne
sauteras pas sur une mine (c'était encourageant) ou que les Caodaïstes ne vont pas retourner casaque (nous étions dans leur fief) et vous attaquer sur le chemin du retrour. Tout c'est bien passé, je suis arrvé à
GIADINH, ou m'attendaient mes 4 compères avec KOPINSKI en tête,ses
questions, alors, tu a réussi ? tu est Caporal ? je savais que jel'étais,le
lieutenant avait annoncé les résultats avant notre départ. KOPINSKI, qui
ne perdait jamaisle nord, TOUS au foyer, MICHAUX arrose ses galons.
je fut nommé le 17/12/1952, à compter du 1/12/1952, et nois nous sommes retrouvés au foyer, ou bien sur KOPINSKI ajouta, tu peut même payer 2 toiurnées, vu que ta solde va augmenter.
Je ne savais pas à ce moment là, que dans quelques mois, MAYER et KOPINSKI allaient nous quitter, ils étaient rapatriables, car ils n'avaient pas prolonger leur séjour, et quelques semaines après leur départ, ce fur GARCIA, qui lui fut muté au 1 er REC à Mytho, et ce, sans qu'ilen ai fait la demande, il ne me restat que mon ami Hongrois PATONAY.
HORENBACH, qui lui aussi avait été nommé, fut muté dans un autre bureau à Saïgon.
C'est ainsi que pou garder un souvenir de notre amitiés, nous nous sommes arrangés MAYER - PATONAY - KOPINSKI - GARCIA et MOI, pour
être de garde ensemble, avecle C/C Espagnol (celui qui ne savait pas lire
l'Espéranto) comme chef de poste et moi commeadjoint, car bien sur, il
n'était plus question que je sois de permanence bureau. Mais je retrouvais
le mien (le 4 éme) qui je doit dire, avait été tenbu très très bien, par le
Sergent NOVA qui recevait souvent un coup de main du chef GREFF.
Pourse foutre de ma gueule, NOVA (mais en l'rabscence de GREFF) me
mit au courant de ce qu'il y avait éventuellement de nouveau, qu'il en
avait profité pour refaireun éventaire du mobilier,et qu'il s'était remplacé
quelques meubles, me jurant, que les "remplacés" avaient été "détruits sur place" (ouiche) et il m'expliqait cela en secouant la tête et en haussant sans cesse les épaules. Je lui demandai s'il avait lui aussi attrappé la bourbouille, ? non, me répondit'il mais presque le tic de GREFF.
PS. Vu que je n'ai pas la photo citée, en voici une, sur laquelle se trouve
MANUEL, le chauffeur écraseur de cysliste.

----------------------

Voici un récis , moins festif que les précedent et pour cause comme vous l'aviez dit dans l'un d'eux" ne croyais pas qu'on ne faisait que s'amuser"
Super le copain DESCAMPS :souirire: de quoi vous mettres la trouille :ri: , merci encore Michaux et en plus accompagner d'une photo !

encore avoir une couche là :souirire: :souirire: :souirire:

super , merci michaux:x1:

Doncme voici de rerour du peloton et nommé caporal. Bien sur notre ami KOPINSKI en a profité comme je l'ai signalé, et pour me charier, MAYER,
forcant sur son accent m'appelait " korporal", les mois passérent, je ne sait plus comment ce sont passées et la Noël 1952 et le nouvel an, je crois que nous n'étions pas tous ensemble.
Puis dans les premiers mois de 1953, MAYER et KOPINSKI, nous annoncèrent leurs rapatriements en AFN, fin de séjour qu'ils n'avaient pas prolongés.Les adieux ce firent au foyer. quelque temp plus tard, ce fut GARCIA qui nous quitta, sans l'avoir demandé, il fut muté au REC à Mytho.
Puis un jour, nous fûmes convoqués, le chef TRECK - DEVEIRMAN et MOI,
chez le capitaine, qui nous annonca d'abord son départ, puis que la compagnie allait être dissoiute en tant que légion, que au fur et à mesure
des départs de légionnaires et gradés, ceux ci, dans un premier temp seraient remplacés par des vietnamiens, et ensuite qu'il y aurait des Français de la coloniale,venant de France, volontaire pour 6 mois ou 1 an
viendraient compléter l'effectif. Le chef TRECK allait arriver en fin de séjour, il avait 4 ans d'Indo, donc devait passer les consignes à son remplacant et que cela prendrait du btemp, vu que c'était un vietnamien.
Pour DEVEIRMAN (deveu responsable du service dépannage,depuis le départ du chef VEGA) et MOI, nous serions les derniers à partir, ce, vu
la complexité de mettre remplaçant au courant,qui pour nous, serait un Français. Be merde, quand je pense que moi, je n'avais eus qu'une quinzaine de jours. et alors cela commença, départ du chef SCHINKLE,
ensuite TRECK , GREFF, le capitaine, remplacé par un autre venant d'un
Bep, il avait été sérieusement blessés et devenus inapte, puis des légionnaires,soit rapatriables ou alors mutés au Tonkin, comme HOFFSTETTER,qui fur muté au 2/5 REI, le fourier le C/C. FIEVETZ,muté
aussi au 3/5,je le reverrai,il était à la 9 éme Cie, rapatriement en AFN de
NOVA 'Sgt) et le C/C Espagnol, et surtout muté je crois au 3 éme REI,
le dernier des copains de sorties et autres, PATONAY.
et nous nous retrouvames donc seuls légionnaires DEVEIRMAN et MOI.
j'héritai d'un lieutenant qui remplacait MARET, c'était un Français, il me
demanda de lui expliquer le fonctionnement du bureau, resta ébahi devant
les tableaux (dont j'ai déjà parlé) que DEVEIRMAN avait créé avec les détails inventaires de véhicules et surtout mobiliers. Quand j'arrivai à la partie des " détruits sur place", il me demanda si "je détruisais beaucoup".
Cela ce passait fin septembre 1952, il m'annonça alors, que pour me récompenser du travaul que j'avais fait, avant son départ, le capitaine, bien que je lui ai foutu sa jeep dans un arbte et une balle de pm dans son
armoire, m'avait proposé au grade de caporal chef et que j'étais nommé.
La nomination est arrivée le 1/10/1952,mais à partir du 17/9/1952.
après aoir bien mis mon remplacant au courant, EVEIRMAN et MOI, sommes partis pour le camp Pétrusky, en attente du bateau qui devait nous emmener à Haïphong, car Lui, il était muté au service auto du 5 éme
et MOI au 3/5 REI. quelques jours de bateau, et arrivée au Tonkin, ou
j'ai pu à loisir admirer la baie d'Along. Une nuit dans un cantonnement et
le lendemain je grumpais dans un gmc, qui en cours de route débarqua je
ne sait plus ou des gars, et j'arrivai seul à Dinh-Bang, la base arrière du 3/5 REI. Personne pour me recevoir, après quelques instant, je vis un légionnaire et je lui demandai ou était le bureau des détails, je me présentai, je ne sait plus à qui, l'on m'indiqua une chambre ou je logerais,c'était celle d'un s/Off qui était en opération. Là j'appris que les Caporaux Chefs mangeaient au mess des sous offs, j'y fit connaissance des Sgts MAYBOCKER - PARAND - et du C/C BOUDOT. J'allais rester environ 1 semaine là, en attente d'un convoi de ravitaillement pour rejoindre le bataillon qui était en opération dans la région de Thai-Binh.
Le jour venu,j'embarquai dans un gmc, avec entre autres, le SGt/C. ROVERA, et d'un autre Sgt, qui je l'ai appris il y a seulement 1 ans, par son fils (membre,mais sans nouvelles) GIVRE, donc son fils m'a envoyé par maiol le détail du livret militaire de son père.
Nous sommes arrièves au bataillon le... 23 DECEMBRE 1953.
Je venais de quitter la belle vie,pour entrer dans le guerre, et je ne savais pas que le lendemain, le 24, serait un jour qui dorénavant, ne serai plus un joyeux jour de réveillon.
Et que certaines dates,resteraient gravées dans ma mémoire.

Michux, je suis toujours autant étonné de ta mémoire concernant des noms. Moi , je cherche des noms des fois, puis ca jaillit 2 a 3 h apres.... Merci de ton recit! :oke: :oke:

JE DOIS RECOMMENCER,TOUT A SAUTER A LA FIN EN ALLANT CHERCHER UNE PHOTO. M....

Donc j'arrive au bataillon le 23 décembre 1953.Je suis tout d'abord reçu par la Capitaine HORA, ensuite par le chef de btaillon,le Capitaine LESTIENS. Je suis affecté à la 12 éme compagnie, ,la meilleur parait'il car composée de beaucoup d'allemand, anciens de la Wermacht et autres.
Je suis reçu par un Sgt/Chef, un Belge, qui me présente au Lieutenant VETRCRUYSSE commandant la Cie et son adjoit le Lieutenant DESFETES.
je suis affecté à la 4 éme section comme chef de groupe pièce FM. j'y fait
la connaissance de REICHT le titreur, FONTANA le chargeur, MUGNOÏ le
pourvoyeur, et il y aussi un PIM comme secod porteur des chargeirs.
La nuit arrive, je m'enroule dans ma toile de tente pour ma 1 ere nuit au
bataillon. Leledemain réveil très tôt, j'apprend que nous devons faire une ouverture de route. Ici je laisse la parole au Capitaine HORA, récit que je tire de son livre " deboutlalégion" page 192.
- Un convoi escorté de blindés doit gagner An-Xa un poste isolé quelque part dans la rizière, me ditle 23 décembre le Cpt LEZSTIEN. Faîtes l'ouverture de route demain le 24................... C'était une ouverture de route normale, car riens de signalé du côté des viiets.
Pourtant, la route était truffée de mines. Elles commencèrent à faire des ravages dans nos rangs. Je cherchais les diguettes pour les éviter.Tout à coup une mine explosa derrière moi, mon opérateur radio fut coupé en deux. a 10 éme Cie avait pris à gauche sur le Day qui était parallèle à la route, la 11 émpe Cie avait pris à droite et la 9 éme s'était installée dans un village, tous face à notre prgression.
La 12 éme Cie, commandée par leLt VERCUYSSE avait dépassé un pont.Il était 7 H du mlatin et le crchin tonkinois pénétrait dans nos vêtement.
Spudain, un légionnaire 'origine Espagnole tomba dans un trou ou se trouvaient 4 viets, il eut le temlp de crier pour donner l'alerte.
Alors le corps à corps d'engagea:implacanle et confus.Les viets utilisaient toutes les ruses, par radio ils donnèrent l'ordre à lacompagnoe d se replier.
Je hurlai dans mon poste 300, pour annuper ces "ordres " Vous connaissez mon mon accent,en avant, en abant, nous les aurons. Je parlais tantôt dans le 300 tantôt dans le 284, pour demaznder ou corrige les tirs d'artillerie et guider l'aviation. La btataille faisait rage. C'tait une mélée furieuse etre leslégionnaires et le viets, à coups de mitraillette à bout portant, parfois le corps à corps à l'arme blanche.
A midi seulement, la bataille était finie.
Le lendemain c'était Noël.Personne ne le fêta:nos camarades,tombéslejour précédent, étaient enterrés à Nam-dinh.
Je reprend pour ajouter :
une mélée qu'est-ce ? c'est lorsque l'ennemi surgit de partout, et que vous vousbretrouvez à contre 3 ou 4, on s'entretue,de toutes les façons, parfois vu le nombte, quand le chargeur est vide, pas le temp de recharger, alors à coups de crosse, au poignard. cela semble allez vite,
unlégionnaire au prises avec 2 viets, un 3 éme veut l'attaquer par derrière,un copain le voit, balance son poignard, qui ne rate pas a cible, le
gars en qustion n'a même pas le temp de faire un geste de merci. 2 autres légionnaires sont eux assaillis par une grappe de 4 à 5 viets, un autre copain s'en aperçoit, il empogne un viet et le balance dans le tas, ici aussi pas le temp de dire merçi Si on le peut, on se met dos à dos, ppour ne pas être surpris par derrière, c'est indescriptible.
Et quand vets midi ce fut terminé, je me rendis compte que l'on s'était battus pendant près de 5 heures d'affilées.
Le Lieutenant VERCRUYSSE fut assez sérieusemen blessé, idem pour le Sgt/Chef Belge, t d'autres copains que j'a à peine eux le temp de connaitre.
Voilà pourquoi, je n'aime plus le jur de Noël.

------------------------

ok michaux mauvais souvenirs en une periode de fetes comme NOEL


je comprend