ANECDOTE MICHAUX

De retour d'opération, et revenun à la base arière du 2° BEP Bach-Maï, le Cdt se metsur son 31 pour se présenter au Cononel.
Il se présente, et le Colonel, lui dit d'un ton réprobateur, oi à votre place, je changerais de tenue, car vous êtes convoquer chez le Gal De LATTRE, qui a vous passez un terrile savon, car il est furieux contre vous.
RAFFALLI abasourdi, furieux contre moi, à ue sujet ?
Il vous le dira lui même.
Après s'être changé RAFFALLI se présente devant De LATTRE,
Ce denier, ah vous voilà, félicitations,vous savez ou j'ai entendu bparlez de vous ! non ! et ien aux USA.
RAFFALLI aux USA ? tout en levant un sourcil
Oui j'ai appris par Monseigneur SPILLMAN, que vos légionnaires avaient fauchés les calices de toutes leséglises du PHAT-DIEM.
Je vousdonne 2 jours pour me retrouver ces calices, sinon je vous réexpédie en France.
Le Cdt fonce à sa base, ils rameutent ses Cdts de Cie (parmi ceux-ci le Capitaine H.DENOIX de St MARC) vousallez me fouliller tous les paquetages,les cantines,les valises de tous les légionnaires.
Les officiers avec l'aide des sous-off. foncent, on foulle, on refouille, rien, pas un calice en vue. RAFFALLI réfléchit, et ne vois qu'une seule échappatoire, rédiger un rapport rès circonstancié. Il rédige le dit rapport,un prodige d'habileté, tellement bien rédigé, qu'en le recevant, le Gl De LATTRE éclate de rire et dit à son chef d'EM, envoyé moi ceci tel quel à Monseigneur SPILLMAN et u Vatican.
Et dites à RAFFALLI que c'est un as.
Le dit RAFFALLI ui se voyait déjà sur le bateau, poussa un ouf de soulagement, mais il dit; Jeme demande biens ou sont passés ses foutus calices. Personne n'a jamais eus le mot de cette affaire.

:merc: pour l'anecdote michaux :oke:

:merc: michaux :oke: :oke: :oke: :oke:

:oke: be ca alors..... :rigolon:

Après le raid sur LANGSON, e 2° BEP est de retour à sa base de Hanoï,,mais l'on s'apercoitqu tous les hommes ànt perdusun minimum de 5 Kgs et ce sur 4 jours d'opérations. La cause, la chaleur insupportable ? après examen, non. on cherche, et l'on trouve que les andouilles d l'intendance ont profités de l'ocasion pour TESTER entre autres, des cigarettes dopantes, et des pilules variées dont ont ne sait trop à quoi lles servent, tous cela se trouvaient dans les rations de survies. Trè circonspect, et ne voulant pas prendre de risques, le commandement décide d'envoyer tous le bataillon au reposà DO-SON, ou il y a un meilleurs climat,cela pour leur permetytre de récupérer et digérer tous ces produits douteux qu'ils ont ingurités.
Et voilà nos légionnaires paras, dans des grandes tentes américaines, allongéssur des lits picot, qu fument béatement une " troupe" ou une 'gotab" qui déguste une nouvelle bière " la Carlberg en boites" qui révassent. Bref le farniente. Quan un bruit insolite les faits se redresser brusquement; qu'est-ce ? un tran expresse ? impossible il n'y a as de voie ferrée, une attaque de chassuers bombardiers ? impossible aussi, les Viets nont pas d'aviation, untremblement de terre, un météorité tombé tout prés ? le ruit s'emplifie, et brusquemejnt; les gitounes s'envolent,,les piquets sont arrachés,les poteux abattus,les toiles déchirrées. Dehors, les tôles ondulées de l'hopital sont emprtées comme des fétus de paille.
Les légionnaires se précipitent dans les barques en béton qui jouxtent le camp. Mais que s'est'il passé ???? Tout simplement la queue d'un TYPHON qui vient de balayer DO-SON. Il n'y a pas de blssés, mais les dégâts sont onsidérables, il faut réparer,rdresser,remonter. Bref, d camp de repos, le dit camp est devenu un " Camp de travail".Et quand les Légionaires ont retrouvés un confort acceptable......... il était temp pour eux de renrre à Hanoï. Vous parlez d'un repos.

:merc: michaux belle anecdote :oke:

:MICHAUX esque ces dans les livres que tu trouve tout ces annédote , :po5: :po11: :cognac:

- Bien sur LEINADE, car kje n'étais pas Paras
-Mais ce n'est pas une sinécure de raconter quelque chose qui dans un livre prend plusieurs pages en racourcissant et quel'on comprennent.

PS. Je voulais l'indiquer en terminant, mais j'ai été interrompu.
Je me demande si DOMINGOn'y était pas ?

Re PS. Ce ne sera pas toujours le cas, lorsqu'l s'agiras du 3/5 REI

de mon coté je ne sais pas si mon grand pere y etait mais merci pour ces anecdotes qui rapellent que d une maniere ou d une autre valait mieux pas etre la bas!!!

MICHAUX a écrit:

- Bien sur LEINADE, car kje n'étais pas Paras
-Mais ce n'est pas une sinécure de raconter quelque chose qui dans un livre prend plusieurs pages en racourcissant et quel'on comprennent.

PS. Je voulais l'indiquer en terminant, mais j'ai été interrompu.
Je me demande si DOMINGOn'y était pas ?

Re PS. Ce ne sera pas toujours le cas, lorsqu'l s'agiras du 3/5 REI

ces formidable ce que tu fais d'écrire des texte de certain livres :oke: :po11: :po5: continue car on nen apprend et ces génial

pierre sergent ou je me trompe michaux
paras legion
:merc:

Resalut Christobald, l'homme au chien méchant
Yes sir, mais est-ce que ru ne saurais pas toi raconter mieux que moi ?
tu a ussi beaucoup de bouquins ?
moi à peine 200 (tous Légion, Indochine,quelque uns Algérie,et OAS)
2 introuvables, le procès, son déroulement complet de :
Gal JOUHAUD - Gal SALAN.
:x1: :z1:

Je n'etrerai pas dans les détails de ma blessure, car ce serait trop long et ici ce qui 's'est passé est véridique et Hilarant.
- les personnages, le Toubib, Italien, Sgt/Chef.
- Moi et un jeune Légionnaire Allemand.
-Ma blessure me faire souffrir, l'infirmier de la Cie (un Allemand) ne sait riens faire, il griffoe sur un papier meledonne et me dit d'aller voir le toubib. le scénario. Je vais tenter d'écrire,comme c'était prononcé.
- Bonjour Chef,
- Le Toubib,Michausss qu'est-ce ta fae à ta mane (qu'a tu fait ta main)
- Je lui explique,
- Yé va régardée
- Sur ce fair arrie un jeune légionnaire d'origineAllemande
- Le Toubib
- Qu'oucht ta toi ( ques-ce que tu a toi)
- sur ce le toiubib revient à ma main.
- Sur ce lelégionaire se couche sur la table pliante
- le Toubib, Michauss, yé va dévoir cisailler ta doigt pour voir li sang
- oujour les toubib, céla va té faire oune pétit pou mal.
- sur ce, il seretourne pour prendre un scalpel et
- voit e légionnaire allongé sur la table
- Ma qué tu fouté sous lé table ?
- Le légionnaire, ceh,vous dire moi couché là
- Ma non, j'ai t démandé qu'ouch tatoi.
- ya mein chef,vous dire couché là
- vla le toubib qui commence à s'énerver
- Et ne s'occupe plus de mon doigt
- Moi, au légionnaire, tu a ma compris, le chef demandais qu'est-ce que
tu as
- le roubib,ma oui Michausss, il né savé pas parla la Francasse, c'est com
me la mot é ta infirmiare, yé na comprendé riens.
- Il me donne le papelard à lire (je me souviens +/-) écrit
- La cabo-chef,blissa doi tombi piègi VM,gravasse enfect kankrénne
Conclusions, y avait des moments pour comprendre .

:paix: :x10: sur le moment tu devais pas trop rigoler ni etre rassuré

merci MICHAUX pour l'anecdote :x1:

:merc: Michaux j aime bien tes anecdotes! vu comme ca c est cocasse , mais il est sur que sur le coup je suis sur qu on ne devait pas rire mais le le legionnaire allemand qui se couche... :rigole:

Juin 1946, une soirée étouffante au Tonkin, Le Lt-Colonel BABONNEAU reçoit la visite du Lég.VOLPI. Ce dernier n'e pas un inconnu pourle Colonel,c'est un géant Polonais.Depuis son engagement, il s'est révlé comme homme à femmes.
Le colonl a déjà reçu plusieurs plaintes : Amours décues,confiance trahies,maris bafoués,etc...
Ce jour là, VOLPIà l'oeil tuméfié, et leColonel pressent du croustillant
Dialogues enre les deux. (VOLPI est l'ordonnance du Colon)
- Entre! dit'il. Qu'est-ce que tu veux ?
- Mon Colonel, j'ai encore fait une connerie !
- Ca je m'en doute, il n'y a qu'a voir ta gueule.
- aut pas rigoler,Mon Colonel, c'est grave !
- Je t'écoute.
-Voilà,j'étais en trein de baiser....
- ... Tes histoires commencent touours de le mêmefaçon.
- Faut pas rigoler, c'est grave.
- Bon vas'y.
-C'était la congaïe d'un type de la Coloniale, et v'là quis'amène et qui gueule et qui me balance une pêche sans prévenir;Alors moi je lui rend, et l'envoie à 3 mètres. Alors v'la qu'ilgueulequ'il est Colonel et qu'il va me faire passer le falot.Ducoup je le regarde mieux, et c'es vrai c'est un Colonel, alors je lui balance une seconde pêche pour quil ferme sa gueule. La congaïe se met à gueuler à so tour, alorsmoi, vlan, je lu fout aussi une pêche. BABONNEAU attentif a écouté,ien ne laisse savoir ses sentiments, pourtant il est ravi.Il se demande ce que va faire le Colon.
Il appelle le Sgt de garde et li dit.Fous moi VOLPI en taule, et marque le entrant à la date de hier. Motif nterroge le Sgt. ommed'habitude, pédérastie.Le Sgt à VOLPI allez amène toi Suzanne.
Mais, le Colon péché, n'en esta pas là, la sécurité miltaire prévint BABONNEAU, que le ditColon,allait venir le voir pour désigner lecoupable.
Il dit qu'il le reconnaîtrat facilemen,car il l'a marqué d'un coup de poing dansl'oeil.BABONNEAU réfléchit,pas question que VOLPI passe en conseil de guerre.Il trouve un moyen.A près de minuit il ordonnele rassemblement, il dit. Légionnaires j'ai besoin d votre aide. La Cie aucomplet avance d'un pas. Il explique la situation et surtout le cocard de VOLPI,e dit que ce serait bien s demain lecolon, ne voient que des cocards.Compris,mon Coloel dit le Lieutenant. Exécution, par groupe de 10 ,alancez vous un gnon dans l'oeil DROIT, et visez bien, je ne veux pas ue cela dégénère.Quand leColon s'est présenté, ia tiqué, maisa passé les légionnaires en revues un par un. Il déclara que celui qu'il avait cogné n'était pas là, et qu'il avait trouvé son nom. BABONNEAU, et qu'elt'il ?
le Colon, VOLPI. - Babonneau éclate de rire, et dit VOLPI, impossible, c'est la folle du Régiment, d'ailleurs... il appelle leSgt.et lui demande ou est VOLPI. réponse, en tôle, BABONNEAU, ah, et depuis quand ? le Sgt depus AVANT HIER.et motif ? cmme d'habitude mon Colonel, Pédérastie.
Tout à coup,lecolon s'apercoitqu'i va être la risée de tous le monde,surtout si laffaire s"ébruite. Il préféra doncs'éclipser en douce.
BABONNEAU nen entendra plus jamais parler. Il convoqua VOLPI, et lui déclara que s'il recommencit un couppareil, il le ferait.... Castrer.

:rigole: raconter a la Michaux on ne vois que le coté disont, rigolo :rigolon: mais c'est vrai que j'aurais eu le frousse moi

ah michaux quel regal tes histoires

c est genial cette histoire! :rigolon: :merc: Michaux!!! je me regale de ces anecdotes vraiment!

:oke: :rigole: :rigolon:

:po11: michaux :merc:
(par le sang versé) paul bonnecarrère

Salut Camarade syndiqué NENESS,
Je vois que tu a auss des bouquins, et parmi les meilleurs,
Et ce genre, quand on les lis, si on en parle même longtemps après la
lecture, cela revient.
:x1: :pastis:

Le lég. VH était Belge, les cheveux ras de sa dernière punition, il arriva au 2/ REI en mai 1953.,il fut nommé infirmier.
après une opération, e Bton arriva dans un village rallié. Bien que n'ayant pas un radis en poche VH parvint à trouver du choum,il but et dépassé la dose normale, ce qui fit qu'il tomba endormis au pied d'un manguier. Il fut porté manquantà l'appel du soir. Lelendemain il réappaut, et racontat qu'ilavait été enlevé par des Viets, mais qu'ilétait parvenus à s'enfuir. A l'entendre,il pourrait retrouver le chemin du camp des Viets. Une opération fut montée, des Kms de marche, qu'a la longue,VH déclara qu'il s'était perdu. Les légionnaires furieux lui donnèren une telle raclée, qu'il fall demander un morane pour l'emmener à l'Hopital Lanessan de Hanoï,car ilaait les deux yeux aux beurres noirs, mais surtoutles deux maxilliaires cassée.A l'hosto,pendant près de 1 mois VH ne put manger un seul bifteck, et les mauvaises lngues ajoutèrent même pas un cornet de frites, e qui pour un Belge. il était nourrit 2 fois par jour d'une purée au lait. Il attendait un dentier. Il revint au Bton, qui fit partie de la Colonne CREVECOEUR,qui avait étémontée pour secouri DBP. Bref, il ralait tous les jours qu'ilne tiendrait pas le coup, que l'on ne pouvait nourrir un combattant uniquement avec une sorte de yaourt. En cours de route, la colonne du enterrer des morts trouvés ur leur chemin. VH demandait à chaque parachutage de ravitaillement s'il n'y avait pas son dentier dedans. Un jour les légionnaires lui en apportérent un qui dirent'ils avait été parachuté . VH l'essaya, mais il était un pu trop grand. Il fut oblier de faire de la gymnastique faciale pendant quelque jours. Mais
Cdt appris quelques temps plus tard, qe ce dentier n'avait pas été parachuté, mais qu'il provenait d'un des cadavres qu'ils avaient du enterrer. Comme ilne pouvait pas demander de l'alcool à 90 ° à l'infirmier VH, il l'avait nettoyé avec de l'atomic,c'était le seul alcool disponible. L'atomic cela décape bien,qu'est ce que ça doit faire sur les boyaux.
Le 30 avril 1981, le Cdt était à AUBAGNE.Il était assis au bas dela trbune
face au monument, quand un claquement de talon, et une voix. Mes respets mon Lt,il regarda, et devant lui,un grand gaillard à l'oeil vif, les cheveux blancs,l'insigne des anciens légionnaires à loa boutonnière, il se présenta; Légionnaire VH 8éme Cie à vos ordres on Lt, tout cela en souriant montrant largement le FAMEUX DENTIERS de 1953.

magnifique histoire michaux :po11: :po11:

hisitoire geniale! mais le dentier d un cadavre....j aurais du mal a le garder apres.......