ANECDOTE MICHAUX

:merc: michaux :oke: :oke: :oke:

En Indochine, il fallait soutenirle moral du corps expéditonnaire surtout des combattants qui se trouvaient isolés dans des postes eux mêmes isolés dans la nature.
Pour cela, il y avait " RADIO HIRONDELLE"
station de radiodiffusion militaire d'Indochine et plus spécialement pour le Nord Vietnam "Radio Hirondelle" Directeur : Capitaine POITEVIN - Speakrine : Madame GROSJEAN - Disques des auditeurs : Eliane BRUNET , cette station prenait son essor e 1953. Les émissions échelonnées de 6H30 à 9H,de 11H30 à 14 H et de 18H30 à 24 H,étaient consacrées aux informations et aux émissons de variétés ou de musique légère avec une part impotante pour le " dsque des auditeurs".
Quelques talents bénévoles venaient enrichir les émisisions de variétés folkloriques,vietnamiennes,africaines,ou francaises,tandis que radio-luxembourg et la radiodiffusion francaise evoyaient régulièrement et gratuitment de ombreux enregistrements relatifs aux chansonniers,concerts symphoniques,pièces de théatres,etc....
La contribution artistique revenait à Mademoiselle OUSTALET,chargée de la "chronique des lettres".
Mais l'émission qui avait le plus de succès était le "disque des auditeurs",provoquant un courrier de 100 lettres par jour,pour atteindre une moyenne de plus de 300 pendant la bataille de Den-Bien-Phu.
Toutes demandaient que soient adressée une pensée personnelle,qui à un fiancé,un mari,un frère ou un "petit papa chéri" à l'occasion du passage d'un disque . Ce courrier classé,il falait chercher les chansons ou morceaux de musiques réclamés et composer les émissions qui avaient lieux 2 fois par jour.
C'es ainsi,qu'affetée au service d'Information,Elian BRUNET s vit confer la responsabilité de dames des disques.
"J'ai toujors respecté,atant que me le permettait notre discothèque,les demandes,sauf pour certain fantaisiste,comme celui qui me demanda un jour le disque " Qui mle délivrera",à l'attention de son Adjudant.
Autre fantaisie. Un général,alors enfonction en Indochine,qui inspectait au Tonkin. Il adressa à cete occasion,une série de demandes de "chansons 1900" pou chacun de ses invités du moment, généraux et officiers très supérieur. Il demandait que fût précisé " de la part du général Untel pour le général Untel, la chanson "viens poupoule".....
Notre directeur,face à se dilemne: déobéir ou provoquer l'hilarité générale du corps expéditionnaire, opta pour la .....désobéisance.
Il faut dire qu'il y en avaient parfois, comme le cas des 3 cloches.

:merc: michaux :oke: :oke: :oke:

:po5: :baba: michaux :b25:

- LES ASSISTANTES SOCIALES.
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Elles allaient partout,pour apporter réconfort et aides aux combattants,comme par exemple rédiger l lettre d'un soldat au style difficile,écouter la confession du "sans famille" qui n'a que des copains pour le rattacher à une vie tant soit peu affective.
Une disction avec un chef omptable, sur le sort rservé à la petite bibliothèque,qui contenait une vingtne de romans de "Peter Cheney"particulièrement apprécié.
Accompagnée du chef de poste,elle constatera les inractions aux règles de l'hygiene. La création par exemple d'un foyer qui soit autre chose qu'une pièce aménagée.
Elles vont partout, même das les postes les plus reculés.
- Elle en a beaucoup plus que certains hommes , disaient les légionnaires du 1/3 REI enparlant de Madame BAUD.
Ils l'avaient vue,au col de Béo-Giang,quand la compagnie avec laquelle elle était partie tomba dans une embuscade, et sa citation glanée ce jour là, se termine ainsi.."A su gagner l'estime et la confiance des Légionnaires, bel exemlple de femme Française".
Ele unira d'ailleurs sa destinée à......"Un de la Légion"...
Mademoiselle DEFRETIERES, demanda un jour,
-Alors, pour Noël,que faîtes vous ?......
Il y eut la Chorale ds "Vents de France", composée de militaires de toutes armes et de P.F.A.T. de Saïgon, et ce à l'hopital Grall.
Et l'aide apportée à un hospitalisé.
- Qu'est-ce que tu veux, MOUSSA ?
Je veux moma (termes familier employer par les Africains) un serviet' et li papier pou icrire.....
- Et toi XUEN ?
-Moi,c'est demander si y en a moyen avoir sa-bong (savon).
Et chacun était servi avec le sourire en prime.
C'était du travail, du vrai, du pur social.
Le temp a passé. Que son devenues ces "ange gardiens du moral".

PS. Pesonnellement,lorsque j'ai du être évacuer d'urgence sur l'hopital de Nam-Dinh,j'y suis arrivé sans rien. en effet,mon sac avec mes affaires, a du attendre un convoi,pour retour à la base arrièrre, et de là, un autre convoi qui allait à Nam-Dinh.
Et bien, j'ai reçu une trousse de toilette complète d'une assistante sociale,
pendant le temp passé sur la table d'opération, om m'a : lavé ma chemise,mon pantalon,mes chaussettes, sauf mon chapeau de brousse,car pas touche au chapeau moustiquaire,comme nous avaient surnommés les viets (cause filet).

Belle histoire Michaux,

c'est bien d'apporter ainsi une contribution à la mémoire de la nation!

:legio: :legio: :legio:

tres bien michaux merci

:merc: michaux qui mieux que vous aurait su apporter un si bel homage à ceux et celles qui sont rester et resteront dans l'ombre si on a pas l'honneur de connaitre ceux qui comme vous , savent au plus profond d'eux même ...
Et enfin nous transmettes avec pudeur une partie de leur soivoir et pas des moindres , puisque vécu . :respect: :respect: :respect:

merci michaux , je n'ai decouvert cette rubrique que sur le tard....alors un petit peut tous les matins...ca y est je suis arrivé au bout et dois admettre que certains passages m'ont bien fait marrer....

Merci a toi môôônsieur Michaux :respect:

Le comptable et chef du bureau administratifdela 40 éme CCB à Giadinh (8kms de Saïgon) était le sergent/chef TRECK,d'origine allemande. Ilavait comme secrétaire le légionnare Hand HOFFSTETTER (Suisse).
Pour ceux quiconnaissent Laurel et Hardy, vou avez remarqué le tour de taille de Hardy, et bien lchef TRECK faisait le double.
Lorsqu'il travaillait à son bureau, il n'arrétait pas de chantonner, et toujours la même chose : Mucho Mucho.
Alors les jours du paiemet de la solde deslégionnaires, cela valait le coup.
cela donnait ceci :
- Légionnaire Untel présent pour la solde,chef
- TRECK, comptait les billets (excuser,j'écrit comme prononcé)
- Ein, twei, mucho mucho, drei, für,mucho mucho, fif, six, mucho mucho
- Le légionaire devit faire des efforts désespérés pour ne pas éclater de rire.
-Légionnaire Machin, présent pour la solde,chef,
- Ach, pardon , alors Machin ! mucho mucho, on a eus fort soif dans le courant du mois, hein ? mucho mucho, tu signe la feuille, ta riens toucher
ta déjà tout dépenser avant, mucho, mucho.
En effet, il faut savoir que nous étions g^té à la 40° CCB, il yavait le foyer et le " cinéma" (eh oui, j'ai même photo) les légionnaires sans un rond en poche, demandait un carnet contenant 50 feuilles de 1 piastre. Ils payaient le gérant avec, et celui-ci, un jour avant la solde, portait les tickets (avec nom du légionnaire dessus) au chef comptable.
Selon les dires, au mess, il mangeaitcomme quatre, il devait peser plus de 110 Kgs.
Aucun cyclo pousse ne voulait plus le prendre, car il avait failli une fois passer à travers le siège.
Ce qui l'obligeait à prendre un taxi, et à l'époque c'était des petites Renault. Les chauffeurs, lui tenaient la portières ouverte, en lui disant :cep, c'est moyen assis sé (doucement)
Personne n'a jamais su ou il allait à Saïgon, car il allait seul.
à la Cie, il y avait 3 Sgts/Chefs, outre TRECK, il yvait SCHINCKLE, responsable du bureau de emaine et GREFF (celui à la bourbouille)
TRECK, ne s'entendait pas avecles autres sous/offs, surtout avec SCHINCKLE, car il était supérieur en grade à ce dernier, pour seulement 2 jours de différence de nomination. Il voulait tout superviser. GREFF l'avait envoyer promener, et SCHINKLE, pour l'emmerder, se faisait apporter s solde à son bureau, alors notre TRECK.
- Hans (HOFFSTETTER) vous allez porter la solde, mucho mucho (il ne s'arrêtait pas) au chef SCHINKLE.
Même le Capitaine commandant la Cie en avait pris son parti, son bureau bien que séparé par les murs, se trouvait dans la même grande pièce. Il parai qu'un jour, il appelat comme ceci" chef mucho, pouvz-vous venir un instant.
Outre le Capitaine, il y avait un seul autre officier, leLieutenant mécanicien (celui aux dartrers annamites). Lui à part se gratter le roustons sans arret, il se reposait sur les sous/off, et même gradeen dessous, il ne faisait que signer les documents qu'ils était obligés de signer. Il vait même fait faire un tampon signature.
Je suis resté 2ans dans cette compagnie. Il y a ds moments ou je me demandais si j'étais légionnaires ou fonctionnaire. Belle vie, beaucoup de responsabilités (4° bureau + le service auto ).
Saïgon à 8 Kms, cinéma tous les jeudis, et samedis, une congaïe, jamais bouffer au réfectoire, comme disaient es tirailleurs Sénégalais, DOU I, TOYOU DOU I ( du Riz toujours du riz) plus les autres amuses gueules Vietnamiens. Ah oui, j'oubliais, il y venait rès rarement, mais quand il venait au cinéma, il fallait 2 chaises pour le chef TRECK.
J'aimerais savoir s"il n'y en a pas qui l'ont connu, car à mon avis, il a du faire carrière à la Légion, surtout qu'il avait vers la fin dela Cie, était nommé Sergent/Major.

- les " DEMOISELLES DU MERCI"
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Pour les premières dbarquées à Saïgon,l'aventure débutait
En envoyant un corps expéditionnaire en Cochinchine,la France,mal remise de 5 années de guerre tetentait de sortir l'Indochine d'un chaos inextricable.
Mais cette précipitation provoquait l'omission de mille détails , mais il fallait faire vite.
Cécile GOLDET,sans héroisme ni panache,mais simplement pour servir,fit acte de volontariat au titre d'une " mission de rapatriement des civils a Tonkin".
Leur mission de rapatriement comprenait 20 femmes. Elles débarquèrent en février 1946. Leurs engagements avaient étés officialisés par le servicede santé.
Dans létat anarchique du moment,le Général qui dispose d'un personnel insuffisant,est à la foi étonné et ravi. Comme il doit faire feu de tout bois, il décide de les incorporer avc les.....infirmières du corps expéditionnaires.
Venues de France pour un travail spécial de rapatriement ,elles n'étaient que 6 infirmières diplomées.
L'hopital,abandonné pr les Japonais est dans un état de délabrement total t d'une saleté repoussante. Le système D est à l'ordre du jour.
ne grande salle,de plein-pied,décorée de toils d'araignées ,st popeusement appelée " salle de pansements".
1 infirmière,il n'y a ni table ni armoie,elle pose sur une planche les quelque médicaments dont ele dispose. Elle soigne comme elle peut.
Cécile GOLDET,passe son temps à organiser un service cohérnt,mais tout manque.
Les infirmières sont épuisées. Leur souci, est de dissimuler aux malades ,afin qu'ils ne se rendent compte de leur situation.
Saïgon,capitale de la Cochinchine,ne peut offrir au Service de Santé qu'un hôpital loqeteux,fonctionnant sans hygiène et sans matériel!
Elles campent dans une salle sans lumière et sans air.Il y a nun labvabo,mais l'eau n"y arrive pas. Le soit,elles n'ont qu'une bougie pour s'éclairer.Elles dorment sur des lits picot.
Au bout d'un mois d'efforts,les résultats sont décevants. Cécile décide de demander audience au Général.
- Que voulez-vous ?
- Quitter l'hôpital!
- Voulez-vpus aller au baroud ?
- Oui,mon Général.
- Eh bien vous irez.
Quarante huit heures plus tard, les mutations arrivaient.
3 d'entre elles sont nommées àla 1 ére Unité Médicale "destination inconnues".
Leur joie est sans brnes, enfin du travail intéressant.
uesques mois plus tard,de passage à Saïgon, Cécile GOLDET est allée revoir l'hopital. Tout était net,le téléphone fonctionnait, et... il y avait l'eau et l'électricité.
L'époque héroïque était révolue, et c'était tant mieux pur celles qui les avaient succédés.
Le service de santé constitue une longue chaine ,qui part de l'avant, du poste de secours élémentaire pour aboutir à l'hopital.
Il estimportant que les évacuations s'effectuent rapidement.
Les voitures sanitaires conduites par des chauffeurs ou des ambulancières,remplissent eur rôle,sur desroutes menacées par les embuscades et les mines.
Si les routes sot inutilisables ou la distance trop longue,on utilise les avions sanitaires : Morane,Junker,Dakota ou Skymastersuivant la possibilité du terrain.
Derniers venus,les hélicoptères, en trop petit nombre hélas.
M
Le combat se déroule t'il en terraindétrempé ou inondé ? Queslques " Cargos-Carriers" (Crabe) ,sont transformés en véhicules sanitaires.
Et, au bout de cette routede douleur,il y ara enfin, le grnd silence des murs blancs et des chambres calmes de l'hôpital.

Le 4 janvier 1947, 2.000 légionnairesembarquent sur des L.C.T., mission, eprendre la ville de Nam-Dinh tenue par les Viets.
Ils doivent débarquer à l'embarcadère de la cotonnière de la ville.
Les L.C.T. glissent sur la rivière, ils sont presque en vue de leu destination, quand soudain une pluie d'obus de 75 s'abat autour des gros crabes. Le 3 éme est touché, il donne de la bande, le capitaine le fait échouer sur la rive. Les autres s'arrêtent, car il faut préter main forte aux survivants.
Les panneaux s'abatent, le Lt Crie; on établit une tête de pont à 50 mètres, tirez devant vous. En effet, ils n'y voient riens, il y a une brume épaisse. Mais, ils sont cloués au sol par le tir du canon, t quelques armes automatiques.
Le Sgt/Chef MANIQUET, va trouver le Lt, et lui dit. Faut aire quelque chose pour fare taire ce canon. Le Lt lui dot OK prend une sectionet vas'y. Le Sgt/Chef, dit non, j'y vais avec un seul gus. A tatos, il retoourne vers sa Cie, mais comme on n'y voit, chaque Ce à un signe de convenance,chez MANIQUET, c'est siffler les premières notes de la 5éme de Beethoven. Il appellle SCHMIDT, présent dit l'Alsacien. MANIQUET lui dit viens " on va au cinéma" (on ne sait d'ou est venue cette expression, ui a la légion signifie,es coups durs).
ils patent à l'aveuglette, et après avoir parcouru un bon kilomètre, ils apercoivent la lueur d'une lampe de poche, que le viets sont obligés d'avoir, pour charger leur canon, car eux nonplus n'y voient pas grand chose. MANIQUET dit, je prend celui à la lampe et toi les 2 autres. Il faut savoir qu'ils son armés de fusils " Enfield" qui sont d'une précision remarquable. Ils tirent, les 3 viets s'écroulet, MANIQUET bondis et place des grenades dégoupillées sous les cables e commande du canon, et il plongent. Les grendes explosent, le canon est out, mais..un obus, hélas tirés par des gars de la coloniale, qui n'était pas au courant de leur mission, tombe près de MANIQUET, qui est gravemen blessé au ventre.
SHMIDT, bondis,vois, et en un éclair, il se revoit à Narvick, Un capitaine égalemen atteint au ventre, l'infirmier, bourrant 'énormes quantités d'ouates dans le ventre du capitaine. Mais voilà, SCHMIDT, n'a d'ouates, le Sgt/chef, gémit, N..d..D... que sa brule. Alors SCHMIDT, enlève sa chemise crasseuse, pleine de sueur et de brins de tabac, il en fait une boule, l'enfonce dans le ventre du Chef, pour faire rentrer ses tripes qui étaient à l'air, défait sa ceinture et celle du Chef, et sangle le tout. Ensute il tire le corps, et quand iljuge être plus ou moins à l'abri des viets, il charge le chef sur son dos, et va vers sa Cie. Quand le Lt, voit la nature de la blessure et surtout la nature du pansement, il sursaute. Schmidt bafouille,bredouille, " je ait pas si j'ai bien fait" Le Lt lui se demade s'il aurait eus seulement l'idée de faire ce pansement.
Le Sgt/hef fut évacué sur l'hopital.
Moins de 5 mois plus tard, il revint à la Cie, fais comme une rose.
Lui et SCHMIDT, reçurent la croix de guerre avec palme.

Salut l'ancien
Larteguy est zero a cote de toi
giant

Et bien j'avais déjà eu l'occasion de lire quelques uns de tes bouquins pepere, tu m'avais expliqué certaines situations, mais là, je vois que tu as quand meme vécu un enfer du tonnerre de dieu.

Respects pour ce que tu as réalisés et vécus ainsi qu'a tout ceux anciens et actuels qui y (ont) contribue encore

Mike petit fils a michaux

:merc: michaux :oke: :oke: :oke: :respect:

Lors de la reprise de Nam-Dinh, les légionnaires pocédèrent à faire embarquer les civils qui fuyaient la ville.
3 P... Françaises refusèrent de partir et une d'elle vint plaider leurs causes auprès du Sgt/Chef OSLING.
"Tu comprend mon grand" avait expliqé Thérèse,une grosse Savoyarde, pour nous c'est l'occasion de ramasser du fric.OSLING se foutait pas mal deleur sort, mais il pernsait à ses légionnaires. Evidemment laprésence de ces 3 P.. dans le camp serait une source de tracas,mais... Il accpeta.Il ne s'était pas trompé:Thérèse,Yvonne et Sonia, rmontaient le moral des légionnaires, tout allait donc pour le mieux, elles ne chomaient pas, mais un jour.... Théève vint trouver le Sgt/Chef. Dialogue.
- Qu'es-ce que tu veux, j'ai pas de temp à perdre .
- Thérèse: Ben voilà mon grand, te hommes sont raides.
- OSLING : Comment çà ?
- Ben facile à comprendre, avant ils avaient du fric,maintenant ils n'en ont plus
- OSLING éclate de rire
- Comment, vous êtes 3 et en une semaine vous avez ramassé tout l'rgent d'une centaine d'hommes ! bravo, vous n'êtes pas des fénéantes
- Fautpas pousser mon grand, y a pas loin d'une dizaine de pédés parmi tes héros !
- 4 et je les connais. Qu'attend tu de moi ?
- en , on serait prête à faie crédit, si u trouvais un moyen sérieux pour que l'on soient remboursées.
- Nn mais tu te fout de magueule,tu crois que je vais tenir une comptabilité des coups tirés par leshommes ? Démerdez-vous avez eux.
Ils vous rembourseront dès leur retour à Haïphong,quand ilstoucheront leurs soldes.
- Tu rigoles chef,Tu nous vpois courir après ts légionnaires avec de reconnaissances de dettes. On aurait bonne mine. Rien à faire, si t trouve pas un truc, c'est simple, on baise plus.
OSLING, se mit à réfléchir, si les filles se refusaient, cela pourrait tourner mal.Il en fir part au Lieutenant, il avait un plan.
Dans la manufactur de la cotonnière, il avait troué des étiquettes. Il s'assura qu'iln'y en avait plus d'autes identiques. Sur chaque tiquettes, l inscrivit la somme de 20 piastres, et les remis aux légionnaires qui en faisaient la demande. Il nota sogneusement les avances consenties, et les légionnaires purent continuer à B.... mais pas seulement cela.
Ils se mirent à jouer aux cartes, jouaiet pour la montre d'un copain, un tour de garde, aux dés etc.... bref ce fut un succès
PS Il y avait à Bel Abbès un système analogue ou les légionnaires pouvaient acheter des jetons en zing qui servaient de monaies d'échanges au bordel de la Légion.

:oke: :baba: :oke:
dis moi michaux il me semble avoir lu cette anecdote dans "par le sang versé" ?

Salut NENESS ::x1:
Eh oui c'est LA,
d'ailleurs c'est pourquoi pas mis en quizz, tu aurais trouver de suite,
Je suis occupé à le relire au moins pour la 5 éme fois

salut michaux
ca sert de lire quand meme . je me rapelle de cet episode dans le bouquin de bonnecarrere . t'a gagner une biere . tuchoisis

Re salut CRISTOBALD,
Et oui, surtout quand cela date d'avant mon arrivée en Indo.
Tant que j'y suis, alors et tes anecdotes ???
Je t'aidit, je te laisse lorsque cela concerne les BEP/REP.
D'ailleurs tu a vu, le nombre de membres qui sont allé te lire, et pourtant combien en a tu mis, je sait plus mais je crois 2 ???
Quand tu a le temp, vas y.

PS, tu te lance dans les bières belge ?
Je connais les 2 autres, maismoi, c'est brune et Leffe, ou alors Chimay.
:x1: :mich: :tasse 47:
Ma chope est avant la tienne, mais ne crois pa que jemeprend pour pus que toi,non, c'est dans leur ordre d'apparition. à la tienne

ok michaux . pour les anecdotes je vais m'y remettre ce soir . bon les vacances sont finies . je viens de lire la guerre d'indochine de lucien Bodard . bon bouquin de 1155 pages . je sais pas si tu le connais mais il m'a plus . je viens de faire un envoie de bouquins a magali pour domingo . jean pierre . la b ataille de donk ké . et sous le beret vert .
porte toi bien et a plus

Bien sur je connais le biquin de Lucien BODART,
la partie intitulée " L'ILLUSION" ou il parle de Giadinh, et bien c'est dans ce patelin que j'ai été " bureaucrate" à la 40° CCB.
Tu sait comment on le surnommait (srtout les combattants au Tonkin)
Lucien BOBARD, car on ne l'a jamais vu partciper à une opéraion quelconque, au contraire par exeple de CAPA.
il allait chercher ses infos au " club de la presse " à Hanoï
et orsqu'il était dans le sud, au bar de l'hôtel " Continental" à Saïgon.

et pourtant quand il parle du club de la presse a hanoi il leur fais pas de cadeau . bon je savais pas pourtant le bouquin est bien ecris et se lis facilement . comme quoi :content:

Pour comprendre avec le lub de la presse.
Il s'est à un moment rendu compte que certains se f......de lui, exemple
Un Capitaine est inerwieuvé par L.B. ce capitaine ne l'aime pas, car il le considère come un trouillard (vu qu'il n'a jamais accompagné une unité copmbattante) il lui dit la denière opération et : normalement 120 viets au tapis et le capitaine lui dit : 450 viets au tapis, etc.......
maislorsque les articles paraissent dans les journaux en France ( France-Soir - le Figaro - etc...) plusieurs donnent les même chiffres, sauf le ournal qui a reçu l'article de L.B.
D'ailleurs il n'a par exemple jamais été à DBP, par contre l'autre qui a écrit un gros voluple sur DBP (mais avec des ereurrs) il y a été, je parle de Jules ROY. Quant à LARTEGUY, je crois que lui à cette époque il était dans l'armée. Par conre une femme, alors là elle chapeau : Brigitte FRIANG.

oui michaux meme les ""putes de dien bien phu"" se sont comportées avec heroisme par rapport a certains. ca c'est sur . je ne parle pas seulement des rats de la nam youn .
C'est vrai que c'est une epoque que j'aurai voulu etudié . dans ma cie au REP il y avais mon chef de section un A/C qui a connus cet enfer . dur de le faire parler surtout moi comme petit caporal a l'epoque . nou tous jeunes on regardaient ses medailles mais lui nous repondaient quand on arrivaient a le questionner ''un soir de degagement'' que les plus meritants c'est ceux qui y sont restés . quoi dire de plus.