Le légionnaire HOTTER Franz, de la 2 émle CSPLE avai une haue idée de ses responsabilités. Ordonnance u Capiaine , il suivait avec beaucup d'attention les opérations sur la carte, et ne segénai pas pour donner son avis sur cerains ordres aberantsde l'autorité supérieur,transmis en phonie.
Losque au cours d'un accrochge,le Capiaine éait occupé avec un poste radio à diriger la manoeuvre,HOTTER n'hésitain pas ) guider le straffing de la Chass et à désigner les objectifs à mirailler.
Le 30 avril 1960, il avait demander à énéficier du Quartier Lire. On savait ce que cela voulai dire. A moins d'un miracle, il ne ferait pas surface avant le rassemblemen du.. 2 mai au matin
Vers dix-hit heures, le capiaine étai decendu par acqit de conscience,vrifier au quarier Marguerite, que l'énniversaire du combat de Camerone se passai bien et calmement.
Bien sûr, olavai trouvé qulques groupes de légionnaires sous pression,qui entnnaient d'une voix lugubre les choeurs poignans de lEurope Cenrale.
Ceertes, le Caporal CARTER, le seul Anglais de la cmpagnie, avait ééramené par la P.M. et enfermé dans les locaux disciplinaires, pour manque de respect envers un Lieutenan du service du matériel. Saoul comme un polonais, il s'était approché delui e, avec son accen d'oxfor le plus distingué,lui avait adressé la parole en ses trmes.
- Monsieur le chef de gare, pouvez-vous m'indiquer l'heure du prochain train pour Djelfa ?
Il avai aussi fallut arreter au post de police, une équipe du peloton d'automitrailleuses,qui prétendait se rendre au bodel d'Aflou en A.M.8
Mais, tout cope fait, pour un 30 avril, c'était plutôt calme.
Le Capitaine allait quitter le Qurtier,lorsque le éléphone se mi à sonner. Le standard de l'aviation signalait que le géant du mess s'inquiétait de la note d'un Capitane Légion aux brilants éats bde sevices,qui tenait table ouverte au bar et avait vidé sa réserve de champagne.
C'éai un incorrection. Aucun officier de Légion ne raversait Lagthout sans s'arrêter aun moins quelques minues à la 2 éme CSPLE.
Lorsqu'il pénétra dans e mess de l'aviation, le Capiaine, comprît d'un coup d'oeil l situation.
HOTTER, en pleine forme, la languen légèrement pateuse, mais le verbe ha, tenait son auditoire sousn le charme,en lui racontant la fin du commando Bougrine (Ommando fell, anéanti parla 2 éme CSPLE le 17/2/1960)
Voyant entrer son capitaine, (tout autres que lui, aurait perdu les pédales) mais, HOE habitué aux situations difficies, ne se troubla pas pour autant.
- Tiens, dit'ilsans émotion, voilà le Capiaine de la 2 éme CDPLE8 approchez et trinquz avec nous! ah, si tous les officiers étaient comme lui, l guerre d'Algérie, serai aujourd'hui terminée.
Ce disant, il assurait ses arrières. Faire du cinéma aux aviateurs, après tou, ce n'était pas très grave.
Auns n'aaient jusqun présent mis en doute,e son grade et sa compénce.
Mais, empruntez la tenue de son Capiain - accessorement ses décoraions - Vider au rais de la princesse la vave de la popote des aviateurs, critique l'appuiaérien et finaleent faire passer pour des gogos les officiers présens- Il est temps de renre,di e "vrai" capiaine
- A vos ordres, mon cher "amarade" ! répondit HOER
E il monta dans la jeep
- Ah, fit(il en se ravisant, n'oubliez pas de m'envoyerla note aux.... Locaux discipinaires de la 2 CSPLE.
Il eut, 15 dont 8, ce n'était pas her payé.
Tout le monde résent au mess de l'aviation, en avait eus pour son argnt, sauf le gérant
On ne sait plus le moif qui lui fu infligé, mais toujours es'il, qu'à Bel Abbès, le Colonel De BAULNY, se tapa sur les cuisses, de rire, en voyant passer cete punition