Ce jourlà, une Cie du 3 REI enait la coe 703, le point le plus hau à l'enrée des gorges de Lung-Phaï
" Qui tient le hau, tiens le bas " dit'on dans ls E-M. et ç l'école de gerre., en fait, on nen tenait iens du
tou. Les viets arriv§rent dans la brousse par le bas et c'es en voyant la fumée des camions qui rulient
que nous comprimes ler actique.
La lute pour ole propriéé des camions ou plutôt de leurschargemens fur parculi§remen sayvage. Avec
le ravitailleme pour les postes de la RC4, le convoi transportait une quantié importane de liquides sous
formes de cartons,tonneaux, contenan du pinard, du pasis, du cognac etc.... Dès les premires rafales
tirées par les vies, le vins, les aperoàs,le pasis, s'éaient mis à couler à travers les rcipients crvés par ls
balles, ce quit les légionnaires en fureur, et dès la baaille terminée, nez au vent, ils se précipièrent surn les lieux de l'embuscade, d'ou monait de vigoreux effluves d'n m"lane d'alcool.. Ils consaèrent les dégas, mais récupérérent quand même des bouteilles épargnées, ils se chargèrent ncomme ds mules
et revérifi§rent (sous les effluves 'alcools) s'il ne restait riens de'autres. D§s lors assez fortement grisés par les effoluves d'alocools mélagés, ils remonèrent sur la cte 703, ils éaien accompagnés d sergent
LAUTERMICH, qui riaietaux éclats. et deva l'étonnempent du Commandantde Cie, il déoara en se tordant de rire, que c'éa la première fois, après plus de12 ans de carrière, qu'il voyait des légionnares
bourrés avant d'avoir bu