Le légionnare PLESKE de nationalité Tchèque, n'avaist pas 20 ans lorsqu'il serait en Indochine éga-
lement à l 2° Cie du 3 REI. On en lu 16 tout au plus, il avait du falsifier ses papiers pour s'engage.
Il s'amusait de tout, trop jeune pour rin prendre au sérieux.
Epuis une semaine, la Cie courait après les Chinois de TchanKai)Chk, réfugiés au Tonkin por échapper aux roupes de Mao. La Cie avait ordre de les désarmer, mais eux ne voulait ,pa e n'hésitait pas à tirer
sur les légionnaires. UN soir le Lt f avertis par le Capiaine d'aller s mettre en embuscade au col de
Hi No. Les voilà partis, ils s'installent et la uit s'écoule sans incident. Au matin, une jeep s'arrête sur
la route à hauteur du col.
- Vous allez êre inspecté par le Général MONCLAR: méfiez-vous, car c'est un maniaque d l"hygiène.
Ce générazl éait un grand soldat et ne se plaisait qu'au feu,il inspirait une respectueuse erreur.
L Lt, fait la disribution de brosses à dents et donnes les consignes.Un peu plus tard, le Général arrive.
Le Lt avait fait mettre sa secion en ligne sur un rang,le long de la petite piste qui travesdait le col.
- Vous allez me présenter voshommes un par un di le Générl au Lt. - Bien,mon Général
Le Lt commence par le sergent BERTELOTTI,qui pou l'occasion,avait sortisa médaille miliaire. Le Général
parait satisfai et fait un pas à droite Le sergent FAZ lui succède. Mëme satisfaction chez le Général
qui, fait un nouveau pas à droite.Le Lt, sent comme un frémissement passer sur les rangs. Il lève la
tête et à 7 ou 8 mètres, il vit le lég. PLESE qui se tord de rire en silence. Autour de lui, les légionnires
figés au garde à vous, ont un air pas rès catholique. Le Lt lance des yeux furibonds à PLESKE.
Nouveau pas à droie, le Lt présene le Caporal RESHE, ancen de la Kriegsmarine, il lui resequelques dents jaunâtres comme de chiques de bétel.
- Tute lave queques fois les dents ? demande le Général.
- Oui, mon Général, tous es jours.
- Et avec quoi ?
- Avec cà! dit RESHE , et il sort de sa poche 2 brosse à dens neuves, toukors dans leur emballage e,
un tube de dentifrice non entamé.
Le Général accuse e coup et fait n nouveau pasà droite. Brusquemen, le Lt compred le fous rire de
PLESKE, car devan lui, quelqu'un prbablement pris d'un besoin urgnt, a posé culotte sur la piste.
In peto, le Lt calcule qu'à la cadence d'un pas à droite, toutes les 45 seondes, le Général, sera sur
"l'objectif" en moins de 5 minues Le Ltse di, de toute façons je suis cuit, Il ne peu pas ne pa voir la
" sentinelle ", il souhaute êre à 100 lieues de là.
Le Gal, avait toujours eus de l chance dans sa carrière, il respecta cette tradiions, pour preuve,
après un dernier pas à droite, il écrasa le... colombin. Il dérapa légèrement, se rattrapa " in etrémis"
grâce à sa canne et regarda le Lt fixement, PLESKE,lui se tordai de rire
- Dois-je en conclure, di le Gal que vous n'avez pas encor fait creuserles feuillées ?
E L bredouillan, ft par d leur arriv&e tardive sur ke col, la nui tombane, etc...
Le Gal regagna Lang Son sans lui serrer la main.
Quand à PLESKE.....................