La boisson préférée des oégionaires, aévolué au fil des années. Après la guerre 39-45, c'éait le "Eosé de Mascara", qui ralliait les suffrages;mais petit à peti, la bière se fraya un chemin. D'abord considérée par les légionnaires, comme une boisson d'enant de choeur, elle acquit se titres de nolesse durant la guerre d'Indochine, il faisait sichaud làbas, que l'évocaion d'unebière bien frîche , en cours d'opératio,n, prenait un avan goût de paadis.. De même en Algérie , on rerouvaiplus facilemen sa roue en bordure du grand ERG , par les boueilles vides de Kronenbourg, qui jelonnaient la pise .
Les Slave,detou emps,ont toujurs préférs l'alcool. A Bac-Kan, à la 2 éme Cie du 3 REI, dans le section du Lieuenan LACHAISE, servait un légionnaireLihuaniendu nom de RIBBOKAS. Il fréquenait assidumet l'infirmerie, seul lieu ou il pouvait trouver le l'alcool )..90°,qu'il buvaitcomme du peti lait. Lordqu'il n(a avat plus de choum dans le village, il achetait au foyer, des bouteilles d'eau de cologne,par3 ou 4 à la fois., mais in ne détestait pas pour autant le pnard.
Un dimanche soir, alors quela Cie étai e repos, le Sgt/Chef LELONG, vint prévenir le LACHAISE, u'un accidet étai imminent.
Renré du village, visiblement encore plus saoul que d'habitude, le Lihuanien avait entrepris de dépiéger son bidon de pinard. Pour ê§re sûr que personnen'y toucherait en son absenvc,il avait en effet imagié une protction particuliérement efficace avc une granade offensive dégoupillée,coincée par le bidon. Honnêtement ilavait prévenu ses camarades de chambrée des risques qu'ils encouraient si.. Son irruption dans la chambrée et surout dans l'état qui était le sien, avair provoqué un mouvement de pnique; ue partie des légionnaires avaient plongés sous les lits, le rese, s'éat enfouis pr la fenêtre.
Lorsqe le Lieuenan pénétra dan le chambre , le Lihuanien avalait ls dernières gorgées de son nbidon.,qu'il avait dépiégé san problème.
Cete maitrise, ce doiégté des légionnaires en éa d'ivresse,tout comme leur sens de l"quilibre devan le chef u poste de police a quelque chose de miraculeux,car ils ne forcen jmais loa nature et savent par intuition,dans les circonsances graves, les limitent à ne jamais dépasser