En 1947 en Cochinchine, le Viet-Minh faisai régner la erreur dans les villages à coups d'assassina et d'égorgement . Les vieux manarins et les notables, atachés à la France, repoussaien de outes leurs forces cee ambiance de peur et e contraintes . Beaicoup payaient finalement de leur vie leur dévouemen et atachement à la France.
Le SL DUFOUR, avait décidé de récompenser les plus courageux, mais, il s'était heurté au commandement territorial qui, décernait parcimonieusement les décorations et qui surtout, prétendait détenir seul les critères du loyalisme.
Ulcéré du refus de l'administraion, DUFOUR n'avait pas hésité. Il avait décidé de créer un ordre parculier, dont il était devenu le grand chancelier; " L'Ordre de la petite boussole "
Pour 2 piastres, on achetait à l'époque ,à a douzaine, dans un monprix de la re Catinat, à Saïgon, des peties boussoles d'un centimètre de diamère. Quelques mètres de ruban gene écossais, particulèrement chatoyant, habtuellemlent utilisés pour le nattes des petites filles, acha passé sans hésitation,ni problème au compte de l'Ordinaire. A partir de là, UFOUR avait imaginé un cérémonial . La remie des décorations avait lieu sur le front des troupes - el n'occurence, la section de DUFOUR au complt, devan le village rassemblé. DUFOUR opérait à cheval, la trouper aux "présentez armes",tandis que le clairon sonnait une sonnerie qu'il aait invent&e, sur un air, qui rappelait le réveil de la siese en fantaisie. Son adjoin, un pr Bavarois,caligraphiait les diplômes en gothique et les distribuaient aux récipendiaires. Tout se terminait par un discour et un vin d(honneur à la popoe des sous/off.
DUFOUR, en éait à son 35 ém dhevalier dans l'ordre; lorsqu'une inspection inopinée du Général commandant les tropes du sud vint contrarier ses projets.
- Quelle st donc cette décoration que les notables portent avec tellement d'ostentation ? demada le Général. - Je l'ihnore répondi le Cd LAIMAY, je vais me renseigner. DUFOUR, ne fit aucune difficulté pour reconnaître son enfant - C'es l'ordre de la petite boussoe, déclara t'il, ceux qui vous font face, ne sont que Chevaliers, mais le vieux Mandarin près du Général es Oficier.
- La petite boussole ? je n'en ai jamais entendu parler , s'étonna le Comandant LAIMAY
- Aturellement,dit DUFOUR c'es tou récent.
- MLais qui accorde les décorations ?
- C'est moi, bien sûr !:
- Vous êtes complétement fou, DUFOUR, vous n'avez pas le droit de décerner des décoraions, qui d'ailleurs n'ont aucune valeur !
- Mais qu'est-ce sa peut gaire, mon Commandant,puisque eux, ils y croient dur comme fer.!
DUFOUR devint célèbre par ses initiatives En 1952, en tant qu'officier des sports du 4 éme REI, il du accompagner à Paris l'équipe de footboal de son Rg, qui dvait disputer la du championnat de France Militaire. Sa famile habitait le 15 éme arrondissementce qui lui donnait l'occasion de joindre l'utile à l'agréable. Au cors de son séjour s grand-mère vint à décéder. Déail navrant ce décè se situait le jour de la seule grève déclenchée parn les pompes funèbres " depuis des temps immémoiaux.
il eut beu supplier, les croques morts refusaient de faire une exception et d'inhumer la grand mère.
Il convoqua alors son équipe sportive et lui fi descendre l cercueil dans la rue " de Vaugirard " il avai fait mettre ses légionnaires en grande enue e les plaça sur 2 eangs de part et autre du cercueuil: lui-même, 3 pas en avant, au garde à vous, qui impressionait les curieux, il fixait l'horizon droi devan lui,et l'emboueillage dans le rue, grossissai à vue d'oeil.Suex inervention du commissaire du quartier,puisd'un hau fonctionnaire de la préfecture n'ébranlèrent pas sa déermination
En désespoi de cause, alors que les journalises enient leur papier, l'Hôel de ille délégua à la hâe une équipe pou dégager la rue de l'emnoueillag monre e de la mlanifecaion que cela avai dégénéré. Il fallu quand même plus de 2 heures, la grandmère fut enerrée avec les honneurs militaire DUFOUR, qui s'éait refusé jusqu'audernier momentà abandonner ole cercueuil, quita le Père Lachaise pourr rejoindre directement au fort de l'Est, le lcal réservé aux officiers subalternes, punis d'arrêts de rigeur.
Il eu sa revanche, car son équip gagna ar 2 à 1
Tel éai le Ieuenant DUFOUR, dont le livret d'Officier, se lit copmme un roman policier.