ANECDOTE MICHAUX

:merc: michaux moi j'ai plus de chance si sa m'arrivait magali demanderait baucoup plus ... :b25:


faut dire que les prix des vélos ont telement augmenter ... :x17: :pleure: :pleure: :pleure:

:rigole: :rigole: :oke:

bonjour michaux

je te promet que je me suis imaginé la scène du ltn et du s/c au milieu de la route et crois moi me suis bien marré

:oke: :merc: :x1:

:oke: :po5: MICHAUX

- Il y a quelques mois j'ai déjà écrit les aventures de MICHA,(suf la fin) je résume donc la pemière partie.
- Au Laos en 1954, au cours d'une opération de la 8° Cie du 2° REI, un ours fut abattu, il s'agissait de la mère de MICHA qui fut donc recueilli.
- Gràace à un subfetufe trouvé par une sergent chef, on parvint à rapatrier MICHA en Afrique, dans une grande caisse, sur le couvercle de laquelle, le chef avait fait écrire en grande lettres " USTENSILES DE CUISINE DE LA 8° CIE DU 2° REI".
- Le 2° REI était rappatrié sur le Pasteur, vec le 2° BEP, qui était comandé par le Capitaine H. DENOIX de ST MARC.
- Après bien des péripéties, MICHA débarqua à BIZERTE.
- Un Bton diu 2° REI, devait prendre le train pour TABARKA. Bien sur, bien qu'il y en ai eus un, le controleur n'avait pas de billets à controler; heureusement car il se serait demander qui était ce légionnaire, très velu, dont les poilsbruns dépassaient du cold'une chemise trop étroite, et qui n'avait pas de chaussures (on n'en avaient pas trouver d'addez grandes our MICHA). Le Bton, resta quelques temps à TABARKA, puis certaines Cies partirent pour LE KEF.
Un jor, le Général Commandant supérieur des troupes, rendit visite au 2° REI. Reçu engrande pompe, il fut subjugué par les istoires du Lt-Colonel PFIRMANN, qui parla del'ours de la 8° Cie, que le Généralvoulut absolument voir.
- Il arriva à l'improviste. MICHA assise sur ses pattes de derrière épluchait une banane. Elle vit arriver le cortège, et bien que faisant semblant de rien, elle avait éjà repréré le képi du Gal, ce qui exita sa curiosité.
- Un Gal d'armée, cela sait parler aux ours.
- Donnezmoi une banane dit le Gal, je vais l'apprivoiser.
- Un légionnaire obtempéra avec un empressement suspect.
- Le Gal sans méfiance, aprocha la banane. Sa lein nétait plkus qu'à quelques centimètres de la gueule de MICHA,lorsque un revers foudroyant le touchaà la pointe du menton. Il roula dans la poussière, proprement K.O.
- MICHA,qui était habillée comme un légionnaire, se saisit aussiutôt du képi du Gal et s'en coiffa avec satisfaction.
- On se précipita pour relever le Gal. Celui-ci mit un bon moment àsortir du cirage. Il s'broua, sourit sans rancune et, preuve quiln'avait pas complétement récupérer, il se dirigea vers MICHA por reprendre son képi.
Ilen fut empéché par le Lt, qui venait de comprendre quil y allait de son avancement.
- Pendant ce temp, leLt-Colonel PFIRMANN, avait pris le temps d'égrener les 10 secondes du K.O.avant d'intervenir.
- Qulques teps plus tard,un nouveau Commandant de Cie remplaça l'ancien. Ce nouveau n'avait aucune raison sentimentale de s'embarasser de MICHA. Trois mois plus tard, il donna MICHA au cirque AMAR, qui était de passage dans la région.
- Les lgionnaires ne le lui pardnnèrent jamais.

:rigole: :rigole: :rigole: :rigole: :rigolon:

alors ca c est fort! un ours habillé en Legionnaire !!! ET QUI FILE LA DENSE AU GENERAL!!!! :po11: :po5: :rigole: :rigole: :rigole: la fin est moins sympathique elle...

INDOCHINE 1951 - Secteur de HOA-BINH - le jour de Noël
- Il y a quelques temps, le Général de LATTRE, malade, est rentré en France. Tous le monde se doutaient que l'on ne le reverrait plus.
- Le BEP se trouvait toujours surla RC6, entre Hanoi et HOA-BIH. Il faisait froid et le ravitaillement n'arrivait que parachuté. Ce n'était pas la bouteille d'aprétif pour trente qui réchauffait les coeurs, ni même le sourire de Valérie ANDRE la courageuse pilote d'hélioptére, qui était coinçée là par le mauvais temps.
- Exceptionnellement l'on avaient autorisés de faire degrand feux de bivouac.
- Et c'est ce jour de Noël qu'eus lieu cet incident incroyable, qui remeit de la gaieté dans les rangs des paras.
- Depuis de longs jours, la route était coupée par les Viets, et plus aucun convois ne pouvaient passer.
- Soudains les hommes entendirent un bruit de moteur, et virent arriver un camion à toute allure, dans un nuage de poussière.
- Tpous se précipitèrent, d'où venait ce camion ?
- le chef de voiture (un GMC) descendit, tête baissée sur ses lunettes qu'il était occupés à frotter les verres, il redressa la tête, et tous reconnurent le sergent JUGEde la base arrière du BEP. on le pressa d questions.
- D'où venait'l ?
- Mais, dela base arrière réponditJUGE
- Comment a tu fait pour passer ? les mines, les Viets. ?
- Le Serget surpris par ces questions répondit.
- J'ai suivis la route tout simplement.
- Commen, tu n'a pas vu de barrage ?
- JUGE répondit, j'avais enleveé mes lunettes.
Les paras n'ignoraient pas que sans ses verres, JUGE n'y voyait rien.
Il ne voulut pas le dire, et personne n sut jamais qui l'avait envoyé, de toutes façons dit'il, je ne vous aurais pas laisser passer Noël, sans venir vus apporter vos cadeaux, et surtout de la bonne bières.
- Il répéta sans cessesaux questions, qu'il avat reçu mission de foncer et que c'est c'est ce qu'ilvait fait.
- Pour cet exploit, le sergent JUGE, s'en tira avec;
- Une citation
- 15 joiurs d'arrêts de rigueur.

:oke: :po5: :merc: michaux

c'etait un brave de pas laisser ces gars sans cadeau pour noel :oke: mais il pris des risque :oke:

- Le BEP e trouvait à sa base arrière.
- Un combat de bose fut décidé, i opposerait le lég. MORGANT au Sgt.CARTA, tous les deux, italien et ous deux escapés de la RC4, et aussi tous les deux boxeurs.
- MORGANTI avait été l'ordonnance du Cdt SEGRETAIN.
-CARTA, lui c'était ue vedette, et la suite le concerne.
- Il était originaire Sardaigne, petit, tut en muscles. Il était un boxeur de qualité, il avait gagné le titre de champion d'Indochine pods cocq.
- Comme rescapé de la RC4, cela s'ajoutait à son prestige, il était reconnu comme un ancien. Il étaitsympathoque, et ses mimiques déclenchait l'hilarité génrale.
- Un jour, dans l'escalier, il se cogna à un autre Sgt, venu en renfort.
- CARTA, le reconnut aussitôt,
-" Espèce de fumier, qu'est-ce que tu viens foutre ic ? et avant que l'aute n'ai le tep de répondre, il se mit à lui assénr des coups, en hurlant, je vais te casser la gueule.
- Le boucan attira d'autres S/Offs. ils séparèrent les deux il en fallut 3 pour tenir CARTA.
- On demandat ce qui avait dclencher cette bagarre.
- LeSgt. nouvellement affecté, se nommait BEVILACQUA Italien lui aussi, mais de Turin.Pendant la guerre, ils avaient étés tous les 2 des partisans de Mussolini. Les événements les avaient séparés. CARTA, lui demeurait fidèle au Duce, quand à BEVILACQUA, voyant le vent tourner, il avait rejoint le maquis.
- En 1942, au cours d'une opération contre les mauisards, BEVILACQUA,fut fait prisonnier. Il fut interrgé particulièrement et sans douceur par CARTA.
Il fut enfermer, mais parvient à s'évader.
- En 1945, CARTA à son tour, fut fait prisonnier par les Américains, et pour l'interroger, on fit appel à un interprête, et ce dernier fut... BEVILACQUA.
Les retrouvailles, comme seule la Légion peut créer de telles situations.
Elle seule, peut tansformer de la haine en amitié
- Les deux Italiens firent la paix, ils allèrent boire un coup ensemble, et devinrent des amis.
- Mas à la Cie (11éme) on demandaient sans esse à CARTA ce qu'ils pensaient des Américains. Il répondait toujours, l'oeil mauvais
- Ne me faites pas mot interdit.

comme quoi le hasard des fois :oke:

:po11: belle histoire d'hommes :oke:

Les plus chancards pour aller en perm à Hanoï éaient les légionnaires qui y étaient basés, ou qui à l'hopital Lanesssan aaient l'autorisation de sortie.
Devant la porte de sortie, se trouvait la file des cyclos.
Le ou les lgionnaires, disaient l'endroit ou il voulaient aller.
Souvent (à ses risques et périls) le légionnaire demadaient un endroit, disons mal famé. Les cyclos, connaissaient tous les endroits.
Un léguionnaire fut conduit dans un bar, il faisait si sombre à l'intérieur, qu'il ne s'aperçut qu'il était devant le ar qu'au moment ou il s'y cogna.
Presque toutes les armes étaient représentées,
on n'y voyait guère, car outre les lumières tamisées, il flottait un nuage de fumée des cigarettes.
Une fois au comptoir, le légionnaire commanda un ognac soda, et dès lors, le barman à face de lune commena à débiter sa litanie.
- Vous c'est vouloir cinéma cochon ?
- Vous c'est vouloir jeune fille pas encore cassée (ou alors si peu)
- Vous c'est vouloir petit garçon gentil, et dep (beau)
-Vous c'est vouloir Congaïe très très gentielle ?
- Vous moyen allez jouer salle de jeux.
Don, le légionnaire n'a que l'embarras du choix.
- S'i veut le cinémacochon + la fille pas encore cassée + éventuellement une pipe d'opium, il en a pour minimum 500 piastres.
En principe, pour e gars, qui revient d'un séjour de plusieurs mois dans les rizières, et qui vient de toucher plusieurs mois de soldes, cela est une paille. S'il est conome, il a d'abord mis de côté, et le reste, est à dépenser, car dans les rizières, il ne sait riens faire avecson fric.
Car il est tès content d'être là, lui, en vie,il pensent bin sur à des copains qui y sont restés, il boit à leurs santés, il se saoulent même la gueule, ar il se dit, demain, je retourne dans e mot interdit, ce seront d'autres copains qui viendront et feront de même.
Car il sait,que cet instant n'est peut'être qu'une trève dans savie de baroudeur.

:merc: michaux encore une belle page de vie :oke:

:oke: :oke: Michaux écrire un livre que d'histoire :merc: encore

- Un opération devait avoir lei dans le sectur de NAM-DINH. Le 3/5 REI, reçu la visite du Général COGNY et de son EM. COGNY, le fameux pin-pon.
Ce Généralest un géant, mais il est artilleur, et le comandement faute de généeaux,l'a choisi comme comandant les troupes du Tonkin, donc y compris l'infanterie, il est Gal de Brigade (à l'époque)
Le Gal commandant les FTNV (Forces Terrstres Nord Vietnam) est le Gal G. De LINARES, 3 étoiles.
- Donc voilà COGNY qui vint visiter,saute au dessus d' un ruisseau,salue les officiers à la ronde. Durant cette visite, nous bénéficions de quelques heures de repos qui sont les bienvenues.
- En voyant le Gal, un légionnaire dit dans sa langue maternlle " Scheise COGNY,der ist besoffen.Daj ist ein operetter Général. Dast ist mir egal. Ich bin légionnäre" (M... COGNY est ivre!çà c'est un Général d'opérette! çà 'est égal ,je suis légionnaire).
- Aprs le départ du Gal, nous partons enopération, il est un peu plus de 17 H nous sommes en pleine rizière, et une pluie fine ous tombe dessus. Au loin, on distingue un village.On entend chointé les postes radios. Dans la rizière, des bottes de riz liées et réunies par 3, ressemblent à des Wigwams indiens. Tout à coup, surgissant dess rizières,des tuyaux reliant des diguettes,plus d'une centaine de Viets nou foncent dessus. Nous sommes pris sous un feu d'enfer, idem pour les autres Cies. Nous sommes obligés de nous aplatir dans la rizière derrière les diguettes, comme il y a des Viets partout, ont doit e mettre en carré. Nous ripostons tant bien que mal,et de plus la nuit est tombée. Les viets couraient dans la rizière sur des pont de fortune qu'ils avaient planqués sos la flotte des rizières.
l'ont ne avaient plus ntrès bien ou tirer,les Commandants de Cies essayaient de se situer les uns par rapport aux autres, ceci pour éviter de setirer dessus.
- La nuit zébrée d'éclairs,,les traçantes. La pluie contiue de tomber. Nous sommes toujours allongés dans cette foutue rizière, et voilà qu'en plus des Viets, nous sommes assaillis par les moustiques et surtout par les sangsues. Dès que toutes le Cies on pu se situer, alors fur demander un tir d'artillerie et le recour à l'avion luciole, qui parachutait sans cesse ses fusées éclairantes.
- Nous somme restés toutes la nuit dans cete position,et cette nuit paru longue.
- Le jour levé, nous fimesle bilan chez nous, des tués et blessés.
- Des Viets, aucune traces ils avaient emportés leurs morts et blessés.
- Et, du villagé que nous apercevions, nous voyons sortir des femmes ds enfants, comme si rien e s'était passé dans leur environ.
- Pour nous légionnaires, ce fut un jour comme les autres
- La routine .

oui bien lu michaux :fetea: :fetea: :fetea: :fumer:

- Le 20 novembre 1952, les pemiers éléments du BEP débarquet à NASAN.
- Ils sontimmédiatement dirigés sur CO-NOÏ à une vingtaine de kilométrés,avec mission de receueillir les uniés qui se replient ,notamment une partie du 5° REI,et couper la route à la division Viet 316 pou la retarder.
- L'état dans lequel arrivent les rescapés des unités,prouvaient l'acharnemnt des Viets.
- Le BEP seul,ne pouvait endiguer les assaillants et risquait de se faire déborder. Si les Viets conrournaient CO-NOI le bataillon serait isolé.
- Dans la nuit du 21 au 22, le Cmmandant BROTHIER,patron du BEP, reçut l'ordre de décrocher. Il deait se replier derrère le Bataillon du 5° REI.
- Mas le flot des rescapés continait d'arriver. BROTHIER demada une fixation de délais, réponse: faîtes pour le mieux.
- Cas de conscience difficile pour BROTHIR,il ne veut pas partir avant d'avoir recueilli le pls grand nombre possible d'unités; mis il sait que la survie de son bataillon va se jouer dans les prochaines heures.l ne doit se replier, ni trop tôt, ni trop tard.
- Heureusement, un Criquet, dans lequel se trouve le Capitaine ALLAIRE, vient survoler les lieux,et signale qu'il voit les Viets. Il propose au Bton de rester sur la route pour vancer plus vite, car les Viets les talonnent. Por le BEP c'est une course de vitesse ,la marche forcée. Quand un homme titube ivre de fatigue, on lui enlevait son arme et ses munitions, de ce fait, il sait qu'on va l'abandonner là. Alors, somme u somnanbule il avance,soutenu par ses camarades. Même les officiers, portent des paquatages d'hommes qui n'enpouvaient plus, des sous-officiers portaient parfois jusqu'à 4 armes. Les gradés en arrière garde avec les plussolides, harcelaient sans cesse les paras, allez comme le dit BIGEARD, un pas,encore un pas, et un, et tu avance.
- Quand le bataillon débouca dans la cuvette de NASAN, il n'avait perdu
AUCUN HOMME,AUCUNE ARME. Il n'avait lassé derrière lui AUCUN trainard.
- e fut la victoire de l'intelligence et de l'audance du Cdt. BROTHIER, et de son BEP.

:oke: une belle victoire :oke:
:merc: Michaux

:merc: :merc: :merc: à vous michaux c'est toujours un régal :oke:

oui tout a fait bien michaux :oke: :oke: :z1:

:oke: :merc: michaux encore une superbe page d'histoire :oke:

bonjour Mchaux,

bonne lecture, merci à toi.


des histoires d'hommes à ne pas oublier

:x1:

- A cette époque '1949, en Indo, sont aparu de drôles d'engins,dont personne e pouvaient démontrer l'effecicacité.
- C'est le cargo M29C, une orte de jeep chenillée,conçue à l'origie pour la neige. Les légionnaires l'ont surnommés " CRABE".
- C'est une commisson Française qui avait déniché ces engins dans le surplus Américains de Manille, et achetés pour une bouchée de pain.
- On les avaiet envoyé en Indochine " A toutes fins utiles " ?
- Ces engins étaient peu protégé, une simple tôle. Ils faisaient 5 m de long sur 1,65 de large et pesaient 2 tonnes 1/2. Ils étaient dotés de 6 vitesses tant pour avancer que reculer. Ils faisaent du 8 km/H dans l'eau,
35 dans la rizière et 50 sur la rout.
- Un jour, le Cdt du 1er REC (H. De Blignières)reçoit un message du Capitaine Ogier De BAULNY, intitulé comme suit (c'était l'ancien Cdt REC)
- Alors les enfants, on ne m'aime plus ? Vous renez le soleil ou quoi ?
J'ai levé un nid de Viets qui a besoin de vous. Ils metirent de partout, vous n'allez tout de m^me pasme laissez dans la M...pour mnager vos engins.
- Et voilà les crabes partis, qui foncent dans le tas.
- Ils étaient cantonnés à TANAN. Un jour que le Cdt était absent, le Capitaie et le Maréchal des Logis Chef Roger DEGUELDRE, décident de faire du tir aux pigeons, mais commeil n'y a pas de pigeons, le capitaine décide d'utiliser la vaisselle de la popote des officiers.
-Voilà donc les deux,avec leur carabine, les légionnaires lancaient en l'ait assitettes (plates et profondent) que les deux tireurs descendaient en plein vol, tout y passa même les plats. Bref, il fallut remplacertoute l vaisselle, BAULNY paya lui même, délarant; il fautquand même bien garder la main non ?
- Un autre jour, alors que les officiersrecevaient des collègues, (car au REC ont savait recevoir) voilà BAULNY qui exécuta une danse Russe, sur la table, dont la nouvelle eut a souffrir de nouveau.
- De BLIGNIERES, convoqua DEGUELDRE, et il utilisa les grand moyens.
il lui ordonna d'aller avec lepopotier dans les PLUS BEAUX MAGASINS de Saïgon, et d trouver le plus beau servicve en porcelaine Chinoise, le haut de gamme, genre réception d'ambassade, quelque chose de princier.
Dés l'achat effectuer, vous déposerez la facture sur le bureau du Captaine , avec mes compliments.
- Le Capitaine BAULNY tira la gueule pendant 15 jours, et il s'engagea à ne plus casser que de la vaiselle ) Saïgon, lrs de ses dégagements.