ANECDOTE MICHAUX

damien a écrit:

hisitoire geniale! mais le dentier d un cadavre....j aurais du mal a le garder apres.......

ben l'en avait plus besoin lui!!!!!!!!!!! :rigole: :rigole:

:oke: :merc: je me suis regale ...ca a bien changé depuis ...

Indochine 1954 - Le 3/5 REI a quoitté sa bae arrière de DINH-BANG,pour se replier sur KIEN-AN. ceci après le cessez le feu.
- LES PERSONNAGES : Sgt/Chef LUCCINI et ROVERA - Sgt. MAYBOCKER
Caporau/Chefs : BLANCHET - BOUDOT et MICHAUX.
- LIEU : La popote des Sous/off sous une gitoune Américaine (je n'en suis pas certain,mais je crois qu'a l'époque,le 5° REI était le seul Rgt. ou les Cap/Chef. Mangeaint à la popote des Sou/offs.
- HEURE DE DEPART : 11 H.
-J'arrive à la popote,s'y trouvent déjà ROVERA et BOUDOT, ce pour l'apéro. BOUDOT, propose de jouer la rournée au 421. OK, et c'et parti.
e perdant voit le montant de la tournée mise sur son compte, et bien sur il veut sa revanche, et cela repart (les verres je crois que tous les 3 =Martini) sur ce arrivent LUCHINI - MAYBOCKER et BLANCHET. Ils demandent à se joindre au jeu. et hop, M.... je fait nénette, sait plus qui
une sorte de 261, bon, on continue, le perdant = la tournée. 12 H on passse à table, le déjeuner avec pinard bien sur. dans les 13H fin du repas,LUCCHINI propose de jouer le digestif, et en avant.(a emarquer quand même que lapartie durait plus longtemp, vu que l'on était 6)
dans les 15 H,ROVERA demande une pause, il doitaller CH... bon on attend en ne buvant qu'a petit coup. dans les presques 16 H retour de ROVERA, qui propose de changer de jeu, et de jouer au petit cheval, qui ne se joue qu'a 4, on tire au sort, et vla le jeu parti. Les dex perdants, cèdent leurs laces aux deux autres, et ainsi de suite. on s'épie tous, car bien sur cela comence tout doucement à ... vous voyez. 17 H, notre ROVERA demande à ce que l'o joue pour l'apéro. OK, et ont repart jusqu'à 18 H, heure du diner, avec de nouveaux du pinard. Mais on fait trainer,à la fin on demande 1, 2, 3 café. on a convenu qu'il est interdit de boireun verre de flotte.bref vers les 19H30 on reprend. Bon, mais à quoi va t'on jouer. (tous le monde à les yeux déjà brouillés) vla t'il pas que de nouveau le ROVERAa une idée, qu'il trouve lumineuse, on va jouer au 21 aux cartes.bref, avant que cela ne devienne presque impossible, nous allons tous pisser (c'était dehors, dans la nature,presque tous les 6 allignés, y en a un qui m'a pissé sur la jambe, ROVERA a subis de même de la part de LUCCHINI, BOUDOT, qui voulait se tenir au piquet de la gitoune l'a ratée, et a dévalé le petit talus en courant. BLANCHET, lui s'était assis pour pisser les deux jambes écartées, il faisait le jet d'eau, MAYBOCKER,lui il avait des problèmespour défaire les boutons de sa braguette. Brefs on trainaient, mais vla de nouveau ROVERA, qui revient à la charge,on va jouer le " pousse café, ok, mais à quel jeu ? marre du 421,21,petit cheval, alors. et bien au poker. Boy, les cartes. pour voir ladifférence entre un 6 et un 9 par exemple, toujours est'il que à 22H
c'était l'extinction des feux.la cela devient très brouillés, je me suis réveillé en dessous du banc (y avait pas de chaises) j'en a vu un partir en tanguant de babord à tribord, y en a unautre qui s'est aussi écroulé dans la popote, enfin bref c'était la bérézina pour tous. j'ai été réveilé par un seau d'eau en pleine poire; un à un tous le monde s'est pointé, en on s'est envoyé du café à gogo,quand on a pour ainsi dire été réveillé, toilette, raser, douche (locale, un montage de légionnaire) allongés sur le lit picot, et dans les 11H popote et tournée d'péro au 421. Mais ici, le Chef LUCCHINI après le déjeuner a devancé ROVERA, et a proposé de jouer
1 bière (Carlsberg en boite) à la Pétanque. Ont étaient encore dans les brumes, de e fait, le pointeur ne savait plus pointer, le tireur (gaffe la devant)ne savait plus tirer. Je dirai que l'on jouait toujours l'apéro au 421,mais maintenant on y allaient TRES MOLLO.
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Quelques expression ou écrits de ROVERA
- pou une décison : On va voter à l'humanité.
- écrit à sa femme (eh oui, il état marié) ma chérie, à l'arrêt du bateau à Porsaid (Port Saïd) je t'a acheté une belle père de MUFLE (Mule)

:merc: :rigolon: ami Michaux toujours un grand plaisir de te lire si tu as d autres anecdotes.....n hesites pas! :po5:

merci Michaux pour cette histoire

je partage....

:z1: :x1: :cognac: :cognac:

oui :oke: :oke:

et moi qui croyait que tu t'emm.......... :rigole: :rigole: :rigole:

POUR MICHAUX, tu continue tes anecdotes

sur se sujet :oke:

tiens michaux a la tienne et continue comme ca pour notre
plus grand plaisir :z1:

- Indochine - Début mai 1954 - base arrière popote S/offs.
-Quesques uns d'entre eux ayant terminés leur repas, après le vin,le café,le tabac et l'alcool, l'ambiance a un peu augmenté. L'un d'eux interpelle un autre, ho ! Jules,tu me le paue ce cognac ? J'ai la bourbouille et toi tu a une bonne bouille, et je suppose une bonne paire de C.......
Alors si onallait aux Chinoises. Un autre, c'est dégueulasse avec certains des officiers de 'EM, ou sont'ils ceux qui ont l'échelle 4 , leurs gros culs sur une chaise,devant un burlingue,et le ventialteur au dessus, parfaitement, les femmes de ces officiers veulent péter plus haut que leur cul. boy, un cognac. Je vous le dit, cette guerre est atroce; tiens, telle l'
AFAT Denise, pour 1.000 piastres tu la baise. Moi les gars, j'adore me faire téléphoner. Un autre, moi je vous le dit, on est ma barré,avec un Généchef qui vient du renseignement (NAVARRE) et le Pin Pon , qui n'sait
pas s'amener à son burligue sans son escorte de motards et toutes les sirènes hurlantes (Gal.COGNY), il parait que le Généchef et ui ne se parle plus, ils correspondent par des bouts de papelars; parait même que le 3 étoiles (COGNY) aurait dit : Si vous n'étiez pas un Général à 4 étoiles, je vous foutrait pas main sur la gueule. Voilà l'ambiance à l'EM, et pendant ce temp là, les hommes à DBP sont das la mot interdit, quand je pense que l'on dit toujours, si l'arrière tient, on tiendra, ouiche, l'arrière y s'éffrite, autant dire qu'il n'y en a plus. Il parait qu'un des oficiers proche d Généchef, en a marre, et va sauter ave les renforts sur DBP (POUGET)
pourtant y savent tous que c'est foutu,et que les 2 Généraux s'en branle, ils ne songent quà se rejeter la faute sur l'un l'autre..
Voilà enre autres le genre de discussions qu l'on pouvaient entendre dans les mess (et pas seulement de sous/offs.)
Et quand le 7 mai DBP est tombé, et que les divisions viets remontaient à toutes vitesse vers le Delta Tonkinois, Les combattants dans les rizières se demandaient s'ils n'allaient pas devoir quitter le Tonkin, rapidement et à LA NAGE.

:oke: toujours un réel plaisir de lire tes anecdotes michaux :merc:

:po5: Michaux! :calva: j en lirais des pages entieres!!! :h19:

- Indochine - avril 1954.
-Le 3/5 REI s'implnte à CUONG-KIEU, dans le secteur de PHULY,ou e trouve le pc du GM 5 et l'artillerie,et chars. Cette installation à lieu dans la matinée du 6, le secteur (à une dizaine de Kms de PHULY) est signalé comme insécurisé.Les Cies s'installent en arc de cercle, le pc du Bton derrière cet arc.
Le chef de groupe de la 12° Cie est désigné comme pour la sonnette de nuit; comme d'habitude il prend 3 légionnaires parmi les plus anciens.
Il faut savoir qu'en opération en Indo, la sonnette allait se placer à +/- 500 mètres en avant des autres postes de surveillance.Pourquoi être 4, parce que ainsi, 2 veillent et 2 dorment. La veille dure 2 H, et les 2veilleurs doivent se toucher régulièrement car ainsi si l'un tombat endormi.....Le gradé responsable de la sonnette, emporte 2 fusées, 1 blanche et 1 rouge. S'ils apercoivent du mouvement suspect, il tire la fusée blanche pour se rendre compte, et s'il s'apercoivent que c'est du gros,il tirela fusée rouge, et se replient en vitesse, carles mortiers du Bton sont pointés sur l'endroit, qui ben sur a été repréré sur la carte avant. Les hommes qui vont en sonnette, ne portent aucun papiers sur eux, il faut les laisser à la Cie. Au petit jour elle rentre, rendcompte au Lt qui command la Cie : RAS.
Pendant la jornée du 7 l'installation se poursuit, repérage et installationdes emplacement des FM, etc.
e 7 au soir, c'est le caporal HEINZ qui est désigné de sonnette, il ne prend que 2 légionnaires avec lui. Le départ des sonnettes est dansles 21 H et quelques, ce, afin d'éviter de tomber dans une embuscade Viet.
Soudain passé 23 H c'est l'attaque brutale et inattendue des viets. C'est la 12° Cie qui recoit le choc, dans la nuit les légionnaires se battent à 1 contre 4, c'est la mélée; les viets tentent de forcer le passag pour s'emparer du pc du Bton. A ce pc, le Capitaine HORA, suit ledéroulement dela bataille surson poste radio et la carte. Pour éviter de s'entretuer, les légionnaires jurent dans leur lange maternelle, et aussi sont assez reconnaissable, car s'ily a a Tonkin, des Vietnamiensqui sont grand, la plupart sont petits etne pésent pas lourd.S'apercevant que la Cie va être débordée, le Lt DESFETES, demande à HORA pour obtenir la liaison directe avec l'artillerie, à celle-ci, il donne SES PROPRES COORDONNES,donc demande à l'artillerie de tirer sur lui. (il faut savoir qu'à la 12° Cie et je suppose les autres, lorsque le Bton se trouvaiten zone sécurisée, les 2 liutenants - VERCRUYSSE qui commandait la Cie et DESFETES sont adjoint, dormaient cotes a cotes, mais en zne d'insécurité, ilprenait des distances, ceci pour éviter en cas d'attaque, d'être tués,blessés ou capturés tous les deux en même temps)Le tir des 105 s'abattit sur la Cie. Après le fracas des armes, pour ainsi dire le silence
L'on était déjà le 8 avril Lorsque l'on fit le bilan : 250 Viets tués, mas hélas au Bton et surtout à la 12° Cie : Lt DESFETES - Sgt. KITSEL - Lég. FONTANA (le chargeur pièce FM de la 4° section et MUGNOI, Vietnamien, le pourvoyeur, ERNST - ZORN et d'autres, soit au total 29 tués au Bton.
La sonnette disparue, tous les 3 tués.
Par son geste héroïque, le Lt DESFETES avait sauvé le Bton.
Si vous allez parfois voir sur le "mémorial guerre indochine de FREJUS"
tapez les noms (il faut aussi le prénom) d : DESFETES Guy - FONTANA Gabriele - HEINZ Karl ? - KITSEL ?, mais leus noms doit se trouver dans la liste, année 1954.

Il y a plusieirs façons de commander une ie de légion;autorité,pestige,douceur,panache,désinvolture,fantaisie,lecourage,
etc...
Mais il existe unefaçon de perdre sa Cie,c'est celle de négliger l'ordinaire.
Le légionnaire ne vit pas que de rèves et d'espoirs. Ilgarde les pieds sur terre.
- Ist die uppe gut ?
- Ja woll, herr Général.
Le 30 avril dans tous les corps de légion est lu le récit de la bataille de Camérone. Dans le récit..... l'ordr fur donné de renverse les marmites.
Iln'y qu'a la légion qu'on a vu cela.
Gérer un ordinaire enn temp de paix,en garnison, c'est facile
En campagne,c'est autre chose,l'intendance ne suit jamais,et les rations de combats qui paraissent équilibrées sur le papier,restent une création difficile aussi indigeste qu'une note de service.
-Un Sgt de l'ordinaire était en fin de séjour,il fut remplacépar un caporal,un Francais,d'n aplomb et d'une efficacité surprenante.
-Ce jour là, il était occupé comme tout le monde à creuser son trou ndividuel (la Cie était en opéraion depuis déjà un bout de temp).
-Le Lt s'approcha et lui demanda :
- Y a rien à bouffer ce soir ?
- Et non, répondit tristement le caporal, l faudra se contenter encore des boites de rations,pendant quelques jours...... à moins que........
- Tu a une idée derrière la tête demanda le Lt.
- Vous aimez la chèvre mon Lt.
- La chèvre ? c'est plutôt coriace non ? mais ou a tu vu des chèvres ?
- Ca sent lachèvre mon Lt.
- Le Lt s'en alla. A la nui tombée, son ordonnance lui apporta 2 brochettes de rognon.
- C'est de la part du caporal dit'il.
Lelendeman le Chef de Bton convoqua les Cdts de Cies et les chapitra largement,éclarant que le Colonel disait que chaque vllage Laotien était ami,qu'ils détestaient les Viets etc... Ah j'allais oublier dit'il Le chef du village est un vieux soldat, ilparle Francais. Il a signalé qu'un Pakistanais vivait ici, et qu'il élevait des chèvres, alors considérés ces chèvres comme sacrés, au même type qu'une vache aux Inde.
- Trop tard s'écria le Lt, je dois vous avouer que hier soir j'a mangé quelque chose qui se rapprochait terriblement d'une chèvre: en tous cas, cela sentai le bouc, je crois donc qu'il y en a au moins une qui a fini ses jours dans une marmite, qui n'a pas été renversée. C'est un peu coriace,mais cela change des rations dites pacifique.
- Le Lt. saperçut qu'il venait de baisser d'au moins deux crans dans l'estime que lui portai le Chef de Bataillon.

assez surprenante comme histoire mai quand mm bone appetit :L-E:

:rigole: :rigole: vous nous en aviez cacher des chose :rigolon:
:merc: Michaux pour toute ces histoires :oke:

:rigole: :rigolon: :rigole: :merc: michaux :oke:

-A la légion la discipline n'a pas changer malgré la modification des règlements militaires. Un ordre est un ordre.Bien sur on ne done pas des ordres idiots,car cel aurait vite fait de tranformer en cirque la meilleure des unités.
-Après quelques mois de service,le légionnaire sait boire avec dignité. l'on sait que la partie la plus difficile d'une bordée en ville est la rentrée au quartier; la difficulté des 20 derniers mètres avant et des 20 premiers mètres après l'entrée du poste de police,constitu un exercice que les anciens maitrisent parfatement en serrant les dents, et les beus, en serrant les fesses.
Dans les années 50,on a vu l'évolution du gout deslégionnaires en matière de boissons,dans les années 39-45,c'était le rosé de Mascara, puis petit à petit la bière,aors considérée comme une boisson d'enfant de choeur,acquit les faveurs des légionnaire en Indochine,ou il y faiait si chaud que l'on évoquait unebière bien fraîche au retrour d'une opération.
et aussi par exemple, dans le sud Algérien,l'on rtrouvait facilement sa route,il n'y avait qu'a suivre la grand Erg,jalonné de bouteiles (vides) de Kronenbourg.
Mais de tout temps, les Slaves ont toujours préférés l'alcool.
Il y avait un légionnaire Lithuanien,qui fréquentait assidumentl'infirmerie,seul endroit ou il pouvait trouver de l'alcool à 90°,ceci lorsqu'il manquait de choum. Mais il ne détestit pas le pinard.
Comme il se méfiait de tous, il avait piégé son bidon avec une grenade défensive, dégoupille bien sur. Un soir, il rentra de la ville, encore plus éméché que d'habitude. Quand ils le virent arriver, les légionnaires, plongèrentsous leurs lits ou sautèrent parla fenètre..
Lorsqu'il fut prévenu, le Cdt arriva dans la chambrée, pour voir notre Lithuanien avaler les dernières gorgées e son bidon,ce malgré qu'l était déjà ivre mort,et sur son lit, la grenade qu'il étai parvenu à remettre la goupille, sans se faire péter la gueule.
Le résultat pour lui, fut 15 dont 8

le bidon piégé! voulait vraiment pas partager celui la!!! :rigole: :rigole: :rigole: :po5:

:oke: :po5: :rigole: :rigole: :rigole: :rigolon:

:oke: :rigole: :rigole: :rigole: :oke:

:rigole: :rigolon: :rigolon: :rigolon: :merc: :rigolon:

-A la 40° CCB (Compagnie Camions Bennes) il y avaient 2 sections. es véhicules du parc automobiles étaient des : camions Firs V8, des GMC, et reçus en 1953, le premiers camions Renault Diesel, 4 jeepn et 1 moto Harley Davidson,cette dernière uilisée par le Sgt/Chef responsable du service de dépannges et entretiens des véhicules. Les jeeps étaient réparties comme suit :1 pour le Capotaine Commandant la Cie - 1 pour le Lieutenant MARET offiier mécanicien - 1 pour le responsable du 4° buereau et 1 de réserve.
-Le responsable de la 1 ére section était un sergent nommé (si je me souvient bien) NOVA - la 2éme section par le Sergent/Chef GREFF.
-A la Cie il y avaient 5 Caporaux, 2 Caporaux-Chefs, dont un Belge nommé Daniel DEVEIRMAN. Le responsable du 4éme bureau était Caporal.
- Les camions qui n'étaient en missions lointaines,étaient pricipalement destinés au port de Saïgon, pour le déchargement transport de: munitions,barbelés;etc...
- En pincipe, ous les camions rentraient au cantonnement entre 17 et 17 30.
- Le parc à véhicule se se situait sur une longueur d'environ 50 métres de long,séparés par une sorte de trottoir de +/- 1 m de la route coloniale 49 menant de GIADINH à BIEN-HOA.
-Morsque la file de camins rentrait, le Sgt/Chef GREFF se placaient au milieu de la route,pour arrêter la circulation, surtout des cyclos et vélos.
-Parfois le Lt MARET venait à côté de lui et ils discutaient.
- Il faut savoir que, le Lt étaient atteint de Dartres Annamites, soit des plaques rouges, et qui se situent sur les cuisses, près des testicules, ol en résulte que celui qui en est atteint,ne peut s'empécher de se gratter continuellement.
- Le Chef GREFF, lui avait de la Bourbouille plein le dos, dont le frottement de la chemise est disons " embétant" surtout lorsqu'elle se colle à lapeau parle transpiration, (tu vu la chaleur à Saïgon), il en résultait,qu'il n'arrétait pour ainsi dire pas, de hausser les épaules, car cela le chatouillait fortement.
- Un jour,ils étaient tous les deux présents pour la rentrée des camions, alors imaginez au milieu de la rue un Lieutenant qui n'arrête pas de se gratter les environs de ses C..... et l Chef qui hausse continuellement les épaules. Personnes n'osaient approcher trop près car à les voir..........
le caporal se tenait à l'intérieur du parc à véhicules,prés de l porte de son bureau,et chaque convoyeur (il étaient toujours 2 par véhicule) tendait le carnet e bord au caporal.
- Parenthése : quelques jour avant, il était arrivés quelques légionnaires en renfort, parmi eus un Espagnol, dont je crois quele prénom était Manuel. Ce derner ne connaissait pas encore les tics du Lt et du Chef.
Commeil arrivait pour prendre so virage à gauche, il adu être distrait en voyant la scène; un Lt qui se gratte les C... et une Sgt/Chef qui hausse les épaules sans arrêt, ilen résultat donc que distrait, il fonca sur un cycliste vietnamien, le tuant net. Il esn résultat :
- descente de la prévôté sur place.
- Par après le lég se retrouva au gnouf pour la nuit.
- Le Lt disparu vers le mess en se grattant tant et plus
- Le Chef, en avait oublier de parler en Français (il était Allemand)
- Le Caporal du se taper le rapport d'accident en 7 exemplaires (EMIFT - Prévoté - Le Cdt de la plae de Saïgon, etc...)
- Du avec l'aide du Caporal/Chef Espagnol, déchiffrer le rapport écrit du chauffeur..
- Après quelques temps, l'aaire passa devant le Tribunal Militaire, la veuve du cycliste tué fut convoquée. Le président du Tribunallui demanda (par tradusteur interposé) ce qu'elle réclamait comme dommage, sa réponse fut : 50 PIASTRES POUR LE VELO QUI ETAIT HS.
- Je n'en suis pas certain, mais je crois que le Lieutenantne vint plus jamais se placer à côté du chef pour la retrée des camions.
- Comme l'on avait besoins de TOUS, lelégionnaire MANUEL, s'en tira avec retenue sur sa solde et 15 jours de consignes (donc il ne pouvait même pas aller au foyer).

sacree histoire celle la aussi Michaux....50 piastres pour le velo.... :oke:

:oke: ben dis donc sentimentale la femme :rigole: :rigole: