ANECDOTE MICHAUX

MAGALI a écrit:

vous pouviez marcher combien d'heures pas jour Michaux ?

32 heures par semaine,


sauf le mercredi, le samedi et le dimanche

ha bon !!
j'aurait cru les 35 h :1rec_8:

c'est vraiment une question a la gonzelle sa

on dit "donzelle " le vieux !! :1rec_8:

MAGALI a écrit:

vous pouviez marcher combien d'heures pas jour Michaux ?

Pas toujours la même chose, je te donne un exemple dont je me souviens,
cause que départ vers les 5 H du matin (interdit de faire du feu,fumer,etc..) mais MUGNOÏ m'avait qand mêm apporté un quart , de nescafé bouillant.

Donc départ disons 5 H, on à marché (sans arrêt) jusque vers 11 h, halte
casse croute et un peu de repos. (Il ne fallait SURTOUT PAS, retirer ses
"pataugas", car......) on est repartis vers les 13 h (en bivouac,comme cela
dans une zone d'insécurité, il faut faire quelques trous,et enterrer les boites de conserves vides, mégots cigarettes pas laisser de traces) donc
départ 13 h, selon les ordres, s'il y en a sur le parcour, fouille de villages
en principe, s'il n'y a riens, on y reste +/- 3/4 h, et on repart, si riens de
sérieux ce jour là, on s'installe pour la nuit, cela vers les 17 h,.

merci Michaux

AAMUNCH a écrit:

MAGALI a écrit:

vous pouviez marcher combien d'heures pas jour Michaux ?

32 heures par semaine,


sauf le mercredi, le samedi et le dimanche

AAMUNCH a écrit:

c'est vraiment une question a la gonzelle sa

commence pas je marche aussi le samedi matin et les autres jours que tu cites, les courses ne viennent pas toutes seule a la maison c'est une question comme une autre,si je l'a pose c'est pour faire jolie,en quoi elle te parait bizarre et donzelle cette question ?
Je savais que Michaux mettrais des détails, merci Michaux, pour la feu,fumer.... oui c'est logique : ne pas ce faire repérer les pataugas, je suppose que ce sont les chaussures

C'est presque à contre coeur, que je met cette anecdote, car si je suis resté près de 1 an sans riens écrire, c'est parce que j voulais éviter de devoir me citer (surtout dans ces cas),car je ne désire pas me faire passer pour ce que je ne suis pas..........

Ce samedi 23 janvier 1954, soit 1 mois apr!s mon arrivée au bataillon en opération, assez tôt le matin, le leutenant DESFETES, me dit que je suis convoquer par le capitane HORA, et que je dotme rendre de suite au PC du bataillon.
Je me présete donc au capitaine, qui, avec son terrible accent Tchèque, me dit; Cappporallll cheffff MICHAUSSE (je reprend cours normal sinon.. )il parait que tu aime les " opérations de nuit " et que tu t'y connait assez bien en topographie notamment. J'ai une mission de reneignements à te confier. Il appelle son ordonnace et, lui demande d'aller cher lO.R. puis, sur la carte étalée il me mntre le village Thuon-Thonh, me signalant que le bataillon doit attaquer ce village, dès demain.
Il cède laparole àl'O.R. qui m'explique ce qu'il attend de m mission. Selon les renseignements qu'il possède, ce village serait tès fortement fortifié, il désire donc savoir ;
- Nature et quantités des armes défensives du vilage.
- Approximativement,le nombre de viets sur place
- Les moyens de replis des viets
- S'il y a des caches dans le village.
Le capitaine HORA me renvoie à ma Cie, me disant que je voir avec e lieutenant comment je vais procéder, mettant le plus de chance de notre côté,pour réussir.De retour à la Cie,le Lt m'attend, ensemble, nous examinons la carte. Nous remarquons ;
1- Qu'actuellement, le bataillon est statonné à +/- 10 kms du village.
2- Qu'il se trouve sur la route "directe " vers le dit village.
3- que en effectuant un assez large crochet vers la gauche, il y a une foret, quelques kilomètres du bataillon, et donc cette forêt est plus proche du village,que le bataillon actuellement.
Je réfléchis, car le lieutenant me demade,comment je vais faire, car le
bataillon est peut'être espionné par des naquhés.
Ce que compte faire ;
a) Mon groupe, nous ne serons que 6, soit ; 1 vietnamien - 1 lég. Français
très rusé - et 4 légs. allemands,mais des vétréans de la Wermacht.,
b) Début après midi, un groupe d'une quarantaine d'hommes, les 6 y compris, iront dans la fôret.
c) ils feront assez de bruit, en coupant des branches, petits arbres......
d) Le groupe (moins les 6) retournera au camp, avec du bois (feu) des branchages (camouflages) pour donner illusion aux observateurs éventuels,que le bton s'installe pour quelques temp.
Armement et matériels.
Tous des MAT 49,(plus maniables que des mas 36) - 1 Talkie walkie -
1 fusée rouge et 3 paires de jumelles..
le groupe de 6, se noircir le visage, on régle les montres et "on retourne"
les montres montres bracelets" cadran vers le bas. formation de 3 groupes
de 2 hommes.
A- le vietnamine et 1 lég. doivent évaluer nombre approximatif de viets et
voir s'il y a un chmin de replis pour les viets.
B- Moi et 1 lég. repérer les nombre d'armes automatiques, emplacement
et surtout,s'il y a mortiers, leurs emplacements.
C- Le lég. Français et 1 autre, doivent reprérer la paillot PC des viets, et
essayer de voir s'il y a des caches.
fixer un point de regroupement, et mission doit être terminée au plus tard
vers les 2 heures du matin.
Ont doit y aller très très doucement, gaffe surtout aux sentinelles, les éviter, pas de bruit (heureusement y a pas de clebs).
Le groupe a réussi, retour sans histoire (les viets n'avaient peut'être pas envoyés de patrouille, v qu'ils devaient savoir ou ce trouvait le Bton,soit
à plusieurs kilomètres du village.
De retour, j'ai endu compte au lieutenant,puis suis allé voir le capitaine HORA. Celui-ci, m'a simplement dit ; bon travail.
De retour à la Cie, je me suis reposé, en pensant que demain......
Et, si cette mission avait foiré ?
Nous nous serions replié au plus vite. un point avait été repéré sur la carte,soit la portée valable des mortiers du bton. Si nous avions les viets
aux trousses, à cet endroit je devais tirer la fusée "rouge" et détaller au plus vite, car les mortiers du bataillon effectuaient un tir de barrage,et
via talkie walkie, signaler résultat.

Maintenant, vous devez savoir, que je n'étais pas le seul au Bton, à effectuer des actions de nuit.

Je vous raconterai la tragédie, du sergent/chef GANTZ, de la 1 ére ou 2 éme section de la 12 éme compagnie.

bonsoir michaux ces un plaisir de lire tes anecdote et reçois tout mes respect ,

Sympa willy, tes anecdotes

bien vu ! superbe Willy !!

merci Willy toujours un régal de te lire!

Merci Michaux ,continuez

LA TRAGEDIE DU DERGENT/CHEF " GANTZ" ( ortographe nom ???)

Ex officier de la wermacht, il aurait été blessé sérieusement en Afrique,dans l' africa corps, et aurait été affectué (après sa guéison) à Paris, sous les ordres du général Carl Von STULPNAGEL, qu'il admirait,au point d'être lui aussi devenu un conjuré de l'attentat contre HITLER.
A la 12 éme cie du 3/5 REI, il était sergent/chef, et commandait (je crois) la 2 éme section.
Une parenthèse sr la 12 éme cie,qui était la meilleure du bataillon, car composée, et en majorité d'allemand, ex soldat de la wermacht,mais aussi de légionnaires "spécialistes" ou ayant une certaine spécialité dans une chose bien précise.
Le chef GANTZ, lui, s'était spécialisé dans l'embuscade " spéciale".
En principe, une embuscade c'est ;
- Un groupe d'hommes ce placent à un endroit en embyscade, à un endroit supposé ou un groupe ennemi va passez, il faut les descendres,mais surtout, tenter de faire au moins, un prisonnier. Cela fait, le groupe rentre au cantonnement.
La pratique du chef GANTZ (qu'il avait lui même mise au point) était la suivante; le bataillon stationnait à un endroit, aux alentours, il y avait des
villages vietnamiens; parfois l'O.R. ignorait ceux qui étaient amis ou pas.
Donc, le chef, repérait sur la carte, un village supposé "non rallié" (comme l'on disait) il prenait un groupe de 10 hommes, et il allait se poster en embuscade près du village, sur un parcrours supposé d'une ptrouille viet,si ce village était donc non rallié. ll ne ce tropmpaitquasiment jamais.
Lorsque une patrouille viet sortait, lui et ses 10 types, les surprenaient et les tuaient tous au poignard. Cela fait, ils se déplacaient un peu pls loin et se remettaient en embuscade.
Une patrouille autour d'un village, il supposé, que même chez les viets,elle dure +/- 1 heure. Ce délai passé, ls viets du village, commencaient à se demader ou était passé cette patrouille, et....... il en envoyait une autre pour savoir, surtout qu'ils n'avaient entendus aucun coups de feu. Cette seconde patrouille viet, subissait le même sort que la première.
Selon ce qu'a raconté un de ses hommes, après cela ils rentraient, car ils supposaient que les viets allaient faire une sortie en force.
Pour le bataillon, qui le lendemain faisait mpivement vers le dit village, il n'y trouvait personnes, ni hommes, femmes ou enfants; seuls erraient,quelques poulets et cochons noirs, dont les légionnaires faisaient la chasse,pour améliorer l'ordinaire.
Et la tragédie inattendue survint.
Le chef GANTZ avait un chien, un berger allemand, qu'il avait nommé CARL, en souvenir du général. Ce chien lui était d'une fidélité extrème,et il n'obéissait qu'à lui. Dans une fouille de village, il n'avait pas son pareil pour dénicher les caches viets. Donc, ce jour là, il était en embuscade et attendait. Dès qu'il sentait que les viets allaient sortir, CARL,posait sa patte sur le bras du chef, et fixait l'endroit d'ou allait arriver les viets.
Tout était calme, et subitement CARL bondit et poussa un terrible hurlement, le chef, se ..... leva d'un bond, dévoilant l'embuscade et fit une belle cible, pour les viets, qui le criblèrent de balles, et heureusement pour le restedes hommes, se replièrent dans le village.
Que c'était'il passé ?
Selon un des légionnaires, qui était proche de l'endroit ou se trouvait le chef, CARL, soit à vu ou sentis ou entendu, un....... serpent,qui allait piquer le chef, il ce serait sacrifié pour le sauver, bien sur ,le chien n'imaginait pas la réaction du chef, se mettre debout.
La patrouille ramenas le corp du chef GANTZ et de son chien CARL.
Ils expliquèrent ce qu'il s'était passé. Il parait (et c'était son désir) que
le chef et son chien, furent enterrés " ensemble " à Nam-Dinh.
Ah Oui, quand le bataillon se remit en marche, et donc après la chasse aux poulets et cohons, la 12 éme cie, se ft un plaisir de bouter le feu au village.

En parlant d'une chose, d'atres me reviennent en mémoire, mais il faut quand même que je me remémore.

La prochaine anecdote ; Le S/Lt, surnommé Hélicoptère.

pas facile ce genre d'histoire , mais cela en fait partie............
Merci Michaux

Merci willy, prend ton temps pour réfléchir mais restaure nous bien tes souvenirs, c'est du petit lait à lire. :135287: :135287: :135287: :135287:

LE SOUS-LIEUTENANT SURNOMME " HELICOPTERE "

Le lietenant DESFETES tué le 7/4/1954, le lieutenant VERCRUYSSE,commandant la 12 éme cie,n'avait plus d'ajoint. D'ailleurs, il n'y avait plus que des sergents comme chef de section. Ainsi la 4 éme,c'étaitle sergent RISAVY et j'était son adjoint. Les renforts étaient aléatoires, aussi ien en officiers, sous/offs et légionnaires. Enfin, début mai,un sous/lieutenant, arrivant tout droit de métropole,devint l'adjoint denotre cdt de cie. Bien sur, il neconnaissait absoulument riens de l'Indo,des viets e du genre de guerre que nous menions.
Il s'avéra être un emm..... de 1 ére, voulant montrer son autorité., il gesticulait et tournait dans tous les sens,si biens, que leslégionnaires le surnommèrent " hélicoptère ou hélico". Pour un riens, il gueulait sur les hommes. Tout d'abord, il demanda au tirailleur Tonkinois, de mon groupe, d'être son ordonnance (Ce tirailleur remplaçait MUGNOÏ,tué le 7 mai) Ce dernier refusa, répondant " moi c'est pas capab ".
C'était un "PIM" qui tout les matins, apportait le café,apportait le café au Lt VERCRUYSSE. (Pour le Sgt RISAVY et moi, c'était le tirailleur)Bien sur, il fallait leur donner les sachets de nescafé, des boites de rations. Ce que le S/Lt omis de faire, si bien quele matin,le Cdt de cie engueula le PIM, que son " café " était trop léger, presque de la flotte, en effet, le PIM, avait fait du "café" pour 2 donc y compris Hélico,qui avait omis de lui remettre le sachet. Le lendemain, le PIM apporta le quart de nescafé, uniquement au Cdt de cie. Ne recevant riens, hélico se mit à engueuler le PIM.
- Et alors, le " viet " mon café ?
- C'est moi, c'est pas viet,moi c'est PIM, toi pas donner moi "néafé"moi c'est pas moyen faire"us "(il voulai dire " jus" comme il entendait dire les légionnaires).
- Non,mais, il me tutoye en plus, ce, ce,....(il cherchat le mot)
Un légionnaire lui souffla "HÏEN" , qui veut dire " bon ami " (Dom Hien).Hélico répliqua, toi, je ne t'ai riens demandé..
Un jour, le sgt RISAVY étant je ne sait ou, hélico m'interpella brutalement.
- Caporal/chef, qu'est-ce que c'est cela ???? il tendait le doigt,montrant le PIM de mon groupe,qui étaitoccupé à nettoyer le FM de RECHT.
- Moi, cela, mon Lt c'est PHAM (le nom du PIM)
- Je ne vous demande pa son nom, mais que fait'il, là
- Ben, vous voyez, ilnettoye le FM de RECHT.
- Comment, vous laissez un prisonnier de guerre, s'occuper de vos armes?
- Vous savez mon Lt, depuis le tempqu'il est chez nous, on le connait
- C'est pas une raison; le Lt est'il au courant ?
- Je suppose que oui, puisque c'est c'est son PIM..... café,qui nettoye sa carabine. Il en est resté baba.
Quelques temps après, nous étions en bivouac attente (des ordres)comme d'habitude, creusé des emplacements de combat et avec le sgt de la 3 éme section,chef du groupe FM, nous avons placé chacun notre FM, pour un tir "croisé". V'la t'il pas que hélico, nous appellent, et nous dmande pourquoi les FM sont disposés de cette façon (si l'on en parlebien sur, il parait qu'à "l'école" des officiers c'est pas comme cela). Nous nous sommes efforcés, le sgt et moi, de lui expliquer, que les 2 FM étant séparés l'un de l'autre de plusieurs mètres, en cas d'attaque viet, s'ils étaient placés droit devant eux, il y aurait un grand espace de libre entre les 2, et qu'en les placants en tirs obliquent...........Nous ne savons ps s'il a compris, mais, quelques temps plus tard, il a pu voir de lui même, le bien fondé de notre façon de procéder.
Un peu plus tard, le Bton du attaquer un village fotifié,sur lequel l'O.R. ne disposait d'aucun reneignements, on tombas su un os, à croire que toute la division 320 était là, on dut se replier, Cie par Cie,nous devions rejoindre un endroit fixé d'avance sr la carte, mais comme nous ignorions (après un moment) si les viets ne nous suivaient pas,à +/- 5 kms de l'endroit, une sorte de sonnette devait restez et guetter si nous étions suivis. Nous étions alors, sous la protection de l'artillerie.
Comme c'était souvent le cas, c'est la 12 éme Cie qui fermait la marche.
Arrivé à l'endroit repéré, le Lt, désigna Hélico,et mon groupe,pour restez en sonnette, le Lt me donna ses jumelles, Hélico avait les siennes, nous avion un poste radio, en écoute permanente avecla Cie. Indicatifs ; la Cie = 4, notre groupe = 44.
RECHT mis son FM en batterie et nous nous allongeames pour ne pas se faire repérer. Il faisait une chaleur étouffante.
Nous étions là depuis un bon moment,fouillant avec nos jumelles.
L'endroit ou nous étions était un terrain plat, mais pour y parvenir,vous avions du grimper une pente pas trop dure à monter,mais quand même de plus de 300 mètres. Nous surplombions donc la vallée par laquelle nous étions arrivé. nous y étions, depuis près de 1 heure quand les viets débouchèrent dans la vallée, toujours aussi nombreux.Ils s'installèrent,là.
Je chuchotai à hélico,
- Mon Lt, quelle belle cible pour l'artillerie, etje lui désignai le poste radio,pour qu"il contacte le Lt.
- Il me répondit, C/C, vous avez plus l'habitude, contactez vous même la Cie, moi je surveille à la jumelle.
Alors,
- 4 de 44 répondez.
- 44 de 4 je vous reçoit 5/5 et vous écoute.
- Nombreux VM en U6 (code sur la carte) demande tir
- compris 44, cela vas partir.
Vrombissement des départs, et sifflementdes obus qui arivent.Cela tombe sur les viets,mais pas en plein milieu.
- 4 , raccourcissez un peu.
Mais , les viets, ce sont doutés, que le tir était " dirigé" ilnous repérèrent,
et commencèrent à tirer et monter.
- 4, sommes repérés, raccourcissez de 50 mètres.
- Tirs, mais nous devons rentrer la tête, car c'est près.
- 4 encore une salve, même coordonnée.
- Cela tombe, les viets se replient, presque en débandade.
Et, voilà t'il pas que notre Hélico, se redrese, s'élance en criant "suivez moi" Nous crions tous, non, non, mais il foncait.
Et arriva, ce qui devait arriver, Hélico s'écroula. Lelégionaire s'élanca pour le ramener. il avait reçu une balle dans l'épaule,et touché aux 2 jambes.
Nous n'avions que nos pansements indivuduels, je signalai par radio,RECHT,qui observaitla plaine à la jumelle, signalas qu'il n voyait plus de viets. De ce fait, vu que le terrain s'y prétait, une ambulance fut envoyée du PC du GM5, donc là ou ce trouvait aussi l'artillerie, soit une bonne dizaine de kilométres à pacourir. Le légionnaire qui était le chargeur du FM, injecta la morphine.
Le S/Lt, gémissait faiblement, il fus enfin évacué, nous on nous releva par
une section entière.
D'un commun accord entre nous, l'on ne fit pas mention du geste du S/Lt.
Nous n'avons jamais eus des nouvelles de lui.
Il était certe emm...... mais pas trouillard.

Merci willy, c'est encore super, une nouvelle fois. :135287: :135287: :135287: :135287:

Merci Michaux

merci Michaux :135287:

merci Michaux !!! comme le dit Vannier , du petit lait !!!! :135287:

merci willy !
comme le dis Tony "du petit lait" ! :135287:

tiens......y a de l echo???? :1rec_8:

cho......cho.....cho.....!! :1rec_8:

........avec legere distorsion :1rec_8: