ANECTODE SANDOR

Le general remercie au chef de Corps le parfait deroulement de la cérémonie
et on apprecie la precision des chuteurs

Deux -trois binouses, je retrouve le restant du commando, arrivés par je ne sais quel miracle. Je rencontre encore quelques amis, je félicite les médaillés. Subitement , en deux minutes , je transpire, je vois des étoiles, mon estomac enfle, gronde, ptain , il va exploser!!!Ça y est, j'ai attrapé le trousse galant de Mexique! Je n'en peux plus, il faut aller! et vite ! très vite! Imaginez devant tous ces gens et femmes..... mon pantalon terre de France.... pauvre France....Pas de gymnastique marche......Ouffff... j'ai failli de louper les sanitaires de 50 centimètre. Faut être bon géomètre dans ces cas...Vous ne pouvez imaginer mon sentiment de soulagement.... mon estomac continu a se révolter. dans ces conditions j'opte de me rendre, a condition de trouver ma bagnole, ce que j'ai fait après quelques péripéties. Je n'ai pas envie être évacuer par EVASAN. J 'effectue la distance de 80 km en deux heures avec deux arrêts techniques d'urgences dans le maquis, au pieds des arbousiers.(Appréciez la précision), autres se chargeront de ramasser le reste du commando....et moi j'ai sauvé l'honneur de mon falzar.

Bien que j'ai lâchement abandonné le combat avant la fin,que je n'ai pas pu soigner les blessés, que le colonel Milan ne m'a pas félicité il y a quelques
moralités a tirer de ce lamentable aventure:
1) MÉFIE TOI DES ROUMAINS!
2)RESTE FIDÈLE AU KRONEMBURG!
3)SE SAUVER N EST PAS TOUJOURS GLORIEUX MAIS DIEU SAIT QUE C'EST UTILE


IL Y A DES CAILLOUX SUR TOUTES LES ROUTES