- Les 31 attentats (ratés) contre DE GAULLE ,beaucoup ignorés des Français

Tout au loin, LA TOCNAYR n'a pas ette sérénité. Assis au volant de son ID ' Volée le matin même, car il n'y a plus assez d'argent pour en louer) i rumine ses rancoeurs. Queque chose ne vas pas pou lui, l'affaire n'et pas limpide. Il s'atend au grain de sable dans la mécanique. Certes, lui aussi à l'âme en paix. Son confesseur, à quiil a tout confié, l'a racompagé en lui disnt : que la paix soit avec vous, mon fils, et.... bone chance.
 - Georges, dit'il soudain à WATIN, les cockails Molotov ?
 - Ils sont dans ntre coffre avec les grenades dfensives MK 2.
 - Ils ont aussi des grenades dans l'Estafete ?
 - OUI, MAX.Etaussi du plastic et des feux de  Bengale. Tout est dans la malle en fibrane.
 - Ce que je regrette, cest que DIDIER, n'ai pas voulu que la camionette 403 participe directement à l'action.
 - DISIER sait ce quil fait, MAX
 - J'espère en tous cas qu nos voitures de dégagements sont bien en place.
 PREVOST intervient :
 CONDE et les 2 jeunes, NAUDIN et BERTIN s'ent sont occupés. 4en fait pas MAX.
 A l'arrière de l'Estafette,BERNIER apris ses jumeles, il tente d'apercevoir Bastien THYRI, mais ne distingue qu'un vague silhouette près de l'arrêt d'autobus. MARTON, l'ancien de Budapest regarde sa montre : 29 H 10.
 A cet instant précis, B. THYRI,aperoit au loin, 2 motards arriver à vice allure. aussitôt il déploie son journal, dans la direction de l'Esafette.
 BRNIER ne voit rien. B. THYRI est trop loin, le journal n'est pas visible. B. THYRI répète son signal, en vain. L'Estafette est quasi aveugle, la nuit es trop noire.
 BERNIER scrute désespérément la route. Brusquemen, il voit surgir, ç une soixantaine de mètres, le 2 motards et une voiture noire. Ausitôt, i ouvre la porte aroère de l'Estafette, crie aux autres.
 - Allez-y
 Et il ouvre le feu.

   A SUIVRE.

Il a éé surpris pa la proximité du convoi, et surtout par la vitesse  laquelle il arive. Son P.M.rache le feu, suivin presque en mêmr temps par les aboiments du FM dee BUISINES, qui tire de l'intérieur de l'Estaftte. Agenouillé cntre le flanc droit de la camionette, SARI arrose le cortçge Présidentiel, qui ne parait pas dévier d'un pouce.
 BERNIE rejoint MARION à l'avant de l'Estafette et continue son tir en direction du convoi qui file, lancé à toute vitesse.
 A cet instant, un homme, apparamment bsorbé dans ses pensées, passe, à pied, près de l'Estafette, sans remarque qu'il se trouve en plein fusillade.
 - Hep, monsieur ! lui crie calmemen BERNIER. Vous me génez pour tirer !
 Le qudam relève la t^te, semble trouver cela naturel et dit simplement :
 - Je vos en prie.
 Tout vas tès vite. Quelques econdes. Un eu désorganisé, le cortège n'en poursuit pas moins sa route dans la nuit.
 Dès la première rafale,  LA TOCNAYE a bonfi:
 - Ca y est ! allos-y !
 Il embraie et dmarre.Mais à l'instan ou il arrivesur l'avenu, la DS de De GAULLE passe à vive allure,paraissant déséquilibrée, comme ire : la pneu avant gauche vient d'exploser. Elle frôle ue Panhard qui arive en face d'elleet la rase, à quelqu:es centimètres de son côté gauche. La prodigieuse adresse de FrancaisMARROUX, le chauffeur du Général, sauve une fois de plus la vie de ce dernier. La DS tangue, zigzague déeape, mais elle roule touhour à vic-ve allure. Le feu d'enfer des hommes de l'Etafette ne l'a pas arrêtée.
 Comme un fou, LA TOCNAYE tourne dans l'avenue sur les chapeaux de roues : la portière avant drooite est ouverte. Le démarrage a été si soudain que WATTIN n'a pas eus le temps de l refermer. Il manque de tomber dans le virage; LA TOCNAYE réussit à le retenir, tandis que WATIN, la jambe trainant sur la chausée, vide un chargeur de sa Sterling en direction de la DS ivre.
 - Je les vois ! hurla LA TOCNAYE.
 De GAULLE, semble ne pas avoir ougé. Dans la DS, un ombre s'agite; le Colonel DE BOISSIEU, qui se penche  vers ses beaux-parents.
 WATIN tire touhours; la glae arrire e la DS s'étoile.
 - Georges, tu a fai mouche ! 
 Busquement la Sterling se tait.
 - Merde, hurle WATIN. J'ai un incidet de tir ! fonce Mas !
 A ce moment la DS dscorte coupe la route de l'ID DE LA TOCNAYE ) quelques centimètres du pare-choc. La poursuite à 120 Km/H est fantastique. La pluie commence à tmbre. L'ID des poursuivants suit, à la toucher, la DS d'scorte. Dans sont retroviseur, LA TOCNAYE voit les 2 motards eizzaguer, l'un deux tente de sortir son are.
 - Errière ! crie LA TOCNAYE, Jacques  tire-leur dans les pneus.
 - Ma Chmaizer est enrayée !
- Prend ma Monopole, attention elle est armée.
 WATIN qui a réussi  à remettre u chrgeur, se reourne t se met à arroser les motards : les balles font des étinceles sous les pneus. Puis, plus de motards ils ont éés happés par la nuit.
- Tire maintenant sur la voiture d'escorte !
 La DS edes Gorilles file touhors devant ux à vive allure. Mais à l'inérieur, pesonne ne se mnifecste
 A peine si l'on distingue le chauffeur courbé sur son volant.
 LA TOCNAYE appuie désespérément sur l'accélérateur, l"ID perd du terrain : les deux DS sont plus puisantes. Elles prennent du champ, bien que cellr ou se trouve De GAULLE coninue à tangueur dangeresement. Décidément,le chauffeur estun virtuos, c'est la deuxième fois qu'il sauve la vie du Général.
Au loin, dans les phares, WATI voit un attroupement.
 - Attention Max, un barrage de flics !

      A SUVRE.

LA TOCNAY, comprend que la partie est définitivement perdue, , alors, à quelques mètres du rrage il vire brusqument à droite et fonce dans une ptite ue , celle du "café de l'aviation"  à l'entrée de l'autoroute, il vire à auche et se retrouve  sur la oute de Verrires.
- Quelle guitgne dit WATIN, je n'ai tiré que 8 balles avec mon 2 émechargeur !
 - Je crois quand mêmeue tul'a eus, Gerges !
 A l'aarire de l"ID, PREVOST à l'oreille collée à un petit transistor: Iécoute la police sur sa longueur d'onde,
 - 0à y est, l'alete est donnée !
 - J'espère que les autres ont pu diler !
 - On pase pare pont de Sèvres ?
 - Ils nont pas eus le tempd d'établir des barages : il leur faut au moins 10 minutes.
 LA TOCNAYE ralenit : une 404 noire les croiseà vive allure.
 - La PJ. De Meudon !
 Sans ce rendre compte, ils vennent de croise la voiture des conjurés.
 Sur le polt de Sèvres, un sérieux ralentissement oblige LA TOCNAYE à touler au pas suivant une file de voitures :  Es-ce à cause des travaux ou un barrage ? Ce n'est pas un barage et l'ID disparait dans Boulogne. Elle s'rrête dns une petite rue de Passy, les 3 hommes descendent et sonnent à la porte 'un appartement.
 Ghislaine, une ravissane jeune femme, ouvre, elle est blanche d'émotion, sans un mot, ellle embrasse les 3 hommes.
 - Il s'en est tiré, alors. J'ai entndu unflash à la radio,il a simplement dit 
 - Cette fois, cétait tangent.
 Et il a pris l'avion pour Saint-Dizier
 Une fois de plus, il s'en est tiré, cest décourageant
Pui, LA TOCNAYE descend, et nettoye la voiture d'"ventuelle traces; il esuie soigneusement le volant,le tableau debord, les poignes des portiàres: Puis, il s'en va abandonner la voire, et, il trouve amusan de la laissser près d'un commmisaria de police.

       A SUIVRE.

LA TOCNANE revient à pied à l'appartement, B. THYRI et Jean BICHON ont arrivés. LA TOCNAYE enrage,l- lupez une occasion pareille. B. THYRI le regarde calmement - ce sones hasards de la guerre. De totes façons Max, tu nous a sauvé lavie. En tournant au café de l'aviation, tu nou a permis defiler. Nous ne serions jamais sortis librs de l'autoroute.
 J'espère que les autres ont aussi réussi à iler.
 _ Sils ont fiés, ils sont à l'abri, appelons BERNIER,son téléphone n'est pas sur écoute.
 LA TOCNAYE, compose un numéro, laisse sonner 3 fois et raccroche, puis, il efaitle numéro - c'es un code.Au bout du fil on dcroche. BERNIER répond. Il confirme qu'ila pas vu le signal de B. THIRY.
 Le commando de l'Estafette a été surpris par l'arrivée rapide de la DS de De GAULLE et na pas pu opérer selonle plan prévu.
 Après l'attaque, ils sont tous rmontés dans l'Estafetteet ce sont dirigés vers le Tapis-vert où se trouvait la Fiat-Nickar, garée près d'un bar. Le carrefour était calme, mais les hommmes énervés. La Fiat refusait de démarrer; ils ont du la pousser, et, lorsqu'elle a consenti à démarrer, ols se sont aperçus qu'ls avaient oubliés les FM dans l'Esafette. Trop tard pour revenir en arrière : des barrages de police devaient déjà être en place.
 Effectivement, un peu avant la porte d Versailles, un barrage de CRS se mettait en place au moment où ols arrivaient. Pour compléter le tablea, le feu est assé au roug, les stoppants.
 BERNIER, n'a pas perdu son sang froid : il a posé le canon de son PM sur l'épaule de VARGA qui était au volant, et attedu calmement que l'officier CRS s'approche. C'esten se penchant que ce dernier a vu le canon du PM à quelques centimètres e sa poitrine; il n'a pas sursauté, n'a pas dit unmot, il a reculé de quelques pas, puis, il leur a fait signe de partir.:
 On ne saura jamais s'il a eus peur ou, s'il était sympathisant (il est égalementpossble qu'il ai pris ls hommes de la Fiat pour des barbouses.
 Entr temp, les policiers découvrent l(Estafette abandonnée et son chargement, ausitôt, ils communquent la nouvlle par radio : Mais l'émission est également écoutée par des oreilles indiscrètes, ce qui permet aux sations de radio priphériques de donner un flash spécial quelques minutes plus tard.
 Quand à l Fiat, ellle sera retrouvée le lendemain matin. Dans son cofffre, la police découvrira  2 PM et une carabine US

     A SUIVRE.

La grande chasse commence poules policiers, toues affaires cessanes, ils se lancnt à la recherch des homes qui ot "osés" tirés sur De GAULLE - sans l'atteindre, car, une fois de plus, le Gnéral est sauf " la canard est toujours vivat". Il est néanmoins eac que cette fois il est passé tout près de a mort.
 Il faut savor, que lors du déclencment des tirs, le chauffr MARROUX sest penché un peu plus sur son volant, que Madam De GAULLE, elle aussi s'es penchée très en avan, quele Colonel De BOISSIEU,s'est laissé glissé de son siège avanr, et qe se retournan,il vut leGénéral, touhours assis, rès droit, alors il lui dit : Père, je vous en supple, hurla t'il, baissez--vous 
 Le Général obéit. Une fraction de seconde plus tard, la vitre arrière vole en éclat et le revétement inérieur tome sur le Généra, qui se redresse e regarde vers l'arrière.
- C'est trop fort ! dit'il sans se déparir de son impassabulité. Ils nous suivent.
 MARROUX maintient son rain d'enfer, sans parvenir à empêcher la DS de zigraguer.
 Soudain, les poursuvants disparaissent. On ne tire plus. La DS arrive en ouragan ) Villlacoublay. Tremblant,BOISSIEU descend et aid sa belle-mère,puis son beaupère,  mettre pied à terre.
 Le Général, d'un revers de main épousette les morceaux e verre qui constelle sa veste, il sa fait ainsi, une légère blessue à un doig, et, en s'essuyant le visage, se acule un peu la jue de sang..
 Leur coup était mal monté, dit'il alorsau Colonel. Ils ont tirés comme des cochons. Ce n'étaient pas des spécialistes.. Mais je vous félicité, dans les grandes occasions, vous avez la voix du commandement..Et brusquement, il lui donne l'acolade.
 Dans l'avon, il s'adresse au séwat: Du Wsky ! et de la bière pour mafemme
 Il fallait vraiement une occasion exeptionele, pour que De GAULLE consentit à rechercher quelques réconfot dans une boisson Briannique.
 Le lendemain de e 33 août, Bastien THIRY, Jean BICHON et la TOCNAYE,font la revue de la presse. Toutes les manchettes des juraux sont consarée à l'attentat. A la lecture ils mesurent ne fois de plus , l'incroyable chanse de De GAULLE.
 Des Phtos de la DS s'étalent. 6 impacts, 2 pneus crevé : 1 à l'avant, l'autre à l'arrière.. Une balle a pénétré au dessous et à gauche du nméro 5 de la plaque minérlogique, a traversé la malle et a été se fiché dans la partie gauche du siège arrière, des balles dans la portire, le cahe bouchon essece, mais surtout, la balle qui avait pulvérisé la vite arrière a traversé le véhicule et est pssée à 12 cm u dessus  au dessus du sommet du siègearrière. Si De GAULLE ne s'était pas baissé, il aurait été touché.

      A SUIVRE

La voiture des gorilles a reu 4 balles dans le chssis : WATTIN n'avait tiré que pour la stopper.
 La moti dugardien EHRMAN qui escortait le Général a reu 1 balle das le porte bagages droit, tandis que son collègue a retrouvéune balle dans son casque.
 L SEMBLE QU4UNE MËME 3 BARAKA3 AI PROT2F2 TOUS LES ACTEURS PASSIFS DE L4ATTENAT / MËME CE MONSIEUR FILLO, dont la Panhard gaillit être pecutée par la DS de De GAULLE et qui s'est trouvé en pleine lignede feu, est sorti ndemne de la fusillade avec sa famille, saud une ératignure à l'index droi, provoquée par un éclat de son vlant enlevé par une balle.
 La seule victime de 'attenta - si l'on excepte Bastien TIRY qui le paiera de sa vie - fut le chef de gendarmeie de Colombey, Robert LOMBARD,  qui s'efondra  au téléphone en apprenant la nouvele, frappé pa unecrise cardiaq:ue.
De fait, amais pareile chasse à l'homme  n'avait été prise par la police. Le chef de la brigae criminelle, Maurice BOUVIER, avait reçu du Ministre de l'Intérieur Roger FREY, un ordre ipératif.
 - Ilnous les faut ! Vous avez 15 jours pour les retrouver.
Les policiers, fnt des recherches tous azimut, commele garagiste qui a loué des voitures, tous les cafés près de l'Elysée pour savoir si aucun suspect... On ciera bien R PERRIN,qui a reçu uncoup de fil le jour de l'attentat, mais c'est vague et aucune description srieuse n'est donée.
 Mais enfin, le30 août, un remier maillon. L"équipe qui s'occupe du loueur de voiture, un certain Mr DUPRAT, découvre une contravention  dressée à ce nom,, par un gaefien de la paix, qelques, jours avat l'attentat. Convoqué, ce dernier se souvient de son "client" qui lui avait paru bizarre : un petit rouquin , au volant d'une Fiat-Neckar..
 - L'une des voitures de l'attentat.
 U rapide examen du fichierde l'OAS permet d'isoler 2 individus répondat au signalemet. L'un d'eux,avait déjà fait parler de lui lors de l'attentat e Pont Sur Seine.
 Son nom : Louis DE CONDE.

    A SUIVRE.

Bien que sérieuse, la piste ne donne rien: Louis de CONDE à suposer que ce' es lui DUPRAT, est introuvable.
L"tude du fichier IAS, prmet de découvri  qu'une ancienne secréaore du "Mouvement populaire du 13 mai", habie pratiquement sur les lieux de l'attentat, au 2 de l'avenue Vuctor-Hugo à Meudon, son nom : Monique BERTIN.
Pour en avoir plus, ls policuers interrogent les voisins et l'environnage de laveue.. La question posée est toujours la même : N'avez-vpis riens remarq:uer de pécial le mercredi 22 aoûtvers 20H10,n'avez-vous rien entendu ou remarqué quelque chose de bizarre coire supect, avant dans le quartir? des inconnus etc.....
 Soudain l'undes interrogés fait "tilt", il se souvient en effet d'voir remarqués , devant le 2, des oitures étrang§res au quartie, notamment une Esafette Jaune, les vitres passes à la peiture blanche.
 BOUVIER sent qu'in tint cee fois l bon bout.
 D'autres,, ont remarqués que le frère deMonique BETIN venait souvent voir sa soeur avec des " copain " . Un témoin précise m$eme que l'un d'eux boitait.
 Georges WATTIN ! le nom  jaillit dans l'esprit de BOUVIER.
 L'inaisissable WATIN, qui a toujours réussi à lui filer entre les pattes, et qui était pourtant de tous les coups.durs.
 En catstrophe, on amène un photo de WATIN, et le époin reconnait que cétait bien l'hommme qui venait chez Monique BERTIN !
 La jeune fille est arrêtée devan sa porte, alors qu'ell rentrait se son travail. Elle proteste de son innocence, et n'a aucun mal à paraître sncère "car elle ignre tout de l'attentat". Son frère ne lui avait dit. A tel point, qu'elle'hésite pas à déclarer qu'elle a rendez-vous avec lui dns une librairie ce mêlme jour à 16H20..
 Aussitôt, BOUVIER téléphone au quai des rfèvres, qui immédiatement envoie 3 voitues.
 Lorsque BOVIER reourne à son bureau, il y rouve Pascal BERTIN, qui à littralement été kidnappé par les policiers, alors qu'ils attendaient patiemment sa soeur..
 On le fouille on trouve sur lui des numéros autocollans, destinés à camoufler des plaques minéralogiques; des papiers qui n laisse aucuns doute sur sa particiption à l'attentat, et même la clef 'un appartement, dont BERTON refue de donner l'adresse, d'aillleurs, il refuse d parler systhémathiquement, et l'enquête qui semblait prendre un démarrage fulgurant, se trouve à nouveau bloquée.
Il ne reste à BOUVIER, qu'à poursuivre des instigations et compter sur un coup de hance.

     A SUIVRE.

Le cou de chanse, seprésente sous la formede 2 genarmes.
 Le jour vient de se lever sur laNationale 7 à l'entre de Train-L'Hermiage, dans la drôme. Les gendarmes ont pasés la nuit à filtrer les voitures dans un barrage mobile : Ils avaint l'ordre d'arrêter et de contrôler toutes les Renault se dirigeant vers Paris.
 Ilssont sur le point d'enlever lurs barrières et de renrer se coucher, lorsqu'ils apercivent une Saphine de couleur rugeimmatriculée (0A) à Alger.
 A bord, 3 hommes, l'un d'eux correspond au signalemet u déserteur qu'ils recherchent: cheveux rès court,strabisme prononcé. Il ne fait d'ailleurs aucune difficulté à l reconnaitre.
 - C'est vrai, je suis dserteur.
 Les 2 autres dont les papiers sont en règles, disent qu'ils ont pris ce type en auto-stop, e ils sont relachés.
 Nterrogés tote la journée, le désereur, finit par aouer qu'il appartient  l'OAS et qu'il se nomme Enri MAFADE.
 - Et naturellement tu était au Petit-Clamart  lance ungendarme, histoire de plaisanter.
 - Oui, j'y étais !
 Les gendarmes sont stupéfaits: ils ont mis la main sur un gros gibier.
 Amené à Paris devant le commissare BOUVIE, MAGAE ne tient pas longemps. Il parle de WATIN, de Max et du Lieutenant de BREMONVILLE, qui roule dans une Chevrolet bel-air immatriculée à Alger. D'ALEXIS, qui l'a caché chez son beau-père, un Général en retraie hbitant rue de Vaugirard. Le Chef ? un certain DIDIER.
 Branle-bas de coba à la P.J.
 Cette fois, ls pises son nobreuses, et il faut agir dans le plus grans secrt, evite que les conjurés n'apprennent que certains d'entre eux ont éés arrêtés.
 Il expédi une équipeau domicile duGénéral en reraie.,rapidement identifié : Le Général VENO, demeurant 185 ue de Vaugirard. Son gendre, Alexis DUASSE, amis de Louis DE CONDE e qui avait aidé les conjurés es arrêé à son tour.
 Tous les policiers de Paris, rcoivent l'ordre de rechercher une chevrole Bel-Ai immaticulée en Algérie.
Cette foi, l'enquête a vraiment démarré. Roger FREY commence à resirer.

   A SUIVRE.

Lorsqu'il comprit que toute la police de France étai mobilisée pour rerouver les régicides, LA TOCNAE cercha dans ses relaqtions qui pourratle cacher, lui e quelques autres.Il pensa aussitôt à un diplomate étranger qu'il avait connu en Algére; et, qui lui avait formellement promis de lui procurer une cache exra-erritorialité si un jour....
 - Je vous l'i promis, je tiens promesse., lui répodit le diplomate,mais je n'ai de places que pour 2 personnes. LA TOCNAYE poposa à WAR_TIN de l'accompagner et ce dernier ccepa..
 WATIN, dont une longue pratique de la candestinité, lui avait appris, que i l'on ne volaitpas se fare pendre dans la rue, il suffisait de rster cacher, ce qu'il décidade faire pendant longtemps.
 En revanche, à peine arivé, LA TOCNAYE, anonça qu'il devait aller voir des amis.
 - Tu a tort, MAX, lui di ATIN. Tu vas te faire prendre.
 - Je dois absolument truver le moyen de gagner l'Espagne sans risque, je dois donc sortir.
 - U a tort de prendre les flics pour des imbéciles. MAX.
 - Jusqu"à aintenan nous avons été plus malins queux.
 Sur de lui, LA OCNAYE effectue plusieurs sorties, et reviens avec une bonne nouvelle; par l'intermédiaire des GHISLAINE,il a trouvé un piloecivil, qui accepe des les conduire en Espage en avion, ar sa profession lui prmet de se redre libre come il veux.
 - Bravo  dit WATIN. E maintenant u ne bouges plus.
 - Impossible, j'ai rendez-vous dansune heure avec DIDIER.
 LA TONAYE quite à nouveau sa cachete. Il retrouve à Paris Bastien THIRY et BICHON, en train d'examiner ensemble, la calendrier des ativités de De GAULLE.
 - Que cherchezvous ?
 - Le moment ou nous allons pouvoir faire une nouvelle tenative.
 Les 2 hommes, Bastien HIRY surtout, ne penda qu'au prochain attenta, qui cete fois, doit réussir. LA TOCNAYE comprend que rien ne le fra changer davis, et déide de rerouver seul " ses"
hommes.
 Il réussit à retrouver BERNIER, qu se cache en compagnie de Louis DE CONDE? Par eux, il pprend que NAUDN et BERIN ( BERTIN déjà arrêté, mais ls l'ignorent) doiventtouhours êre ) Paris ainsi que les 3 Hongrois
 Je suis en train 'organiser notre pssage en Espagne, en aendant, sortz le mois possible. Mais pour montrer que cette consigne ne s'applique ps à lui, il retou:rne oir GISLAINE, et apprend par elle, que PREVOSTest revenu d'ESpagne et cerche à le contacter.
 Dislui, de se trouver à 11 H demain 5 septembre, au métro Dupleix.

    A SUIVRE.

La sation Dupleix es aérienne e très peu feéquenée, ou il est fcile de repérer si l'on est suivis. A 11heures, LA TOCNAYE retrouve PREVOST. . LA OCNAYE lui demande ce que sont devenus DUISINES e MAGADE; J'n sait riens, à Marseille, j'ai loué une voiturepour passer n Espagne er, Eux, ils ont préférés partir pour Nice e, je n'ai pas de nouvelles depuis.
 - Je n'ime pas çà, tote la police est sur les dens, ils risquentde se faire prendre. Je compte sur toi pour faire sortir de France BERNIER et les autres.
 - Bon, n attendant, je tinvite à déjener chez moi, rue Chappe à Montmartre.
 - Tu est fou d'y retourner !
 - Pas de danger, car il est au nom de BREMONVILLE et j'y ai planqué les armes qui ont servis.
 - Bon, mais on va les sortir et les mettre dans un cache à moi.
 - OK. viens, ma voitre es là.
 Face à 'entrée de lasation, le Chevrolet Bel-Air, immatriculée en Algérie, étale ses chromes à la vue de tous.
 - Comment, tu a encore le culotde circuler la dedans ?
 - Ce que tu peut être troullard, MAX, personne ne fera le rapprochement.
 Après le déjeuner, PREVOST et L TOCNAYE entassent les armes dans une vaise et les papiers comprometants dans une serviete, puis, ayant tout installé dans le coffre,ils démarrent.
 Il est 17 heurs.
 A l'instant u ils vont tourner dans la rue Berthe, une voiture sort brusquement de la file des véhivules en stationnement et leur barre la route. E un éclair, une demi-douzaine de policiers entourent la Chevrolet, révolver au poing.Un policier pse sn arme sur la tempe de LA TOCNAYE en lui criant :
 - Fait gaffe.
 LA TOCNAYE devant la soudaineé de l'attaq:ue, n'a pas eus le temp d predre son Luger P 08 dans le porte document ou il l'avait rangé.
 Au commissariat, ils sont fouillés: En pls de leur papier, les 300.000 francs que LA TOCNAYE portaiednt sur lui sont conisqués : L ne les reverra jamais. Devant ce coup dur, LA TOCNAYE e trouve qu'ue façon de se réconforter
 - Que lavolonté de Dieu soit faite, murmure t'il.

    A SUIVRE.

Pour l'isnt, c'est la volonté du Commissaire OTAVIOLI d la brigde criminelle qui compte.. Naturellement, LA TOCNAYE refuse de dire aue chose que : é Je suis  M. GUILLET, je reviens 'Espagne ou j'ai rencntré monsieur de BREMONVILLE".
 A minuit, le commissaire BOUVIER entre en scène, il appore un chapeau vert déoré d'une plule.
 - Votre chapeau, monsieur. on vous a vu le porter du côté de Petit-Cmar.
 Coup de chace : Le chapeau est tro grand pour LA TOCNAY
 BOUVIER, accuse le coup. LA TOCNAYE précise :
 - Je n'ai rens à voir avec Petit-Clmart. Je suis de l'OAS c'est vrai, je m'appelle en réalié Alain BOUGRENET DE LA TOCNAYE. J n'ai rien à vous dire de plus.
 - Cmme vous voudez.
 Après quelques heures de sommeil sur le plancher du bureau, il demane à se rndre aux toilettes. Dans le couloir, il a un choc: il aperçoit CONSTANTIN, BERIN et MAGADE, qui font d'ailleurs semblant de l'ignorer. Immédiatement LA TOCNAYE voit ou est son devoir : I doit prendre ses responsabiliés et ne pas laisser accabler ses camarades.
 Il demande à parlerau commissare.
 - J'ai une déclaration à faire
 - Je vous écoute.
 - Voici ma déclaration. Je suis l'instigateur, lorganisaeur et le chef de l'opération du Petit-Clamart
 A partir de cet insant,je récusera tout ce que 'on pourrai me faire dire, au cours de ma garde à vue de 15 jours. Je vous livre ma tête. Cela doit ous sufire
 Je vous prie, maintenant, de me laisser en paix..
 Ce n'est que 3 jours plus tard et, comme par hasard, alors qu'on le condisait au dépôt que, LA TOCNAYE aperçut Bastien THIRY, les menottes aux poignets
 Il passa devant lui sans le regarder le coeur battant et l'ame au désespoir.

     
      
      

      A SUIVRE

Mais commment, le commissaire BOUVIR tait'il arrivé à ibtenir ces rsultats.
 Tout d'abord, pour la Chevrolet Bel-Air immatriculée en Alg&rie, les recerches du véhoule s"avéran vaines, il eus l'idée de faie surveiller "toutes" les Chevrilet Be- Ai se trount à Paris etce, quelque soit leurs couleirs, immatriculation. In grand nombre de pliciers furent aggectée à cette tache, et avec succès, puisqu'elle permei l'arrestation notamment de LA TOVNAYE.
Resait le gros morceau : DIDIER.
 Pour ce faire, il eus l'idée de s'adresser à la sécurité militaire, en leur fournissant un signalement vague,basé sur ceux reçu de cerains inculpés : Il doit avoir une quarantaine d'années, c'est un haut gradé certainement et doit travailler dans les environs du boulevard Hugo. BOUVIER,demande de lui fournir la liste des hauts gradés, qui correspondraent à ce signalement..
 Quelques heures plu tard, la Sécurité Militaire fait parfenir une enceloppe. A linérieur, une unique photo et une fiche, sur laquelle il lit :
 Jean-Marie Bastien THIRY, l le 10 ocobre 1927, àLunéville. Ecolle polyechnique (1948-1950). Ecole supérieur de l'aéronautique: 1 er avril 1951. Promu ingénieur de 2 éme classé : 1953, Promus ingénieur miliaire de 1 ère classe le 15 ocobre 1964; affecé au srvice techniqe de l'aéonautique, engins téléguidés, le 30 octobre 1961: Chevalier de la Légion d'Honneur au tite de personnelnaviguant, le 1 er janvier 1962: Ingénieur miliaire en chef de 2 éme classe avec rang de Lieutenant-Colonel. Marié en février 1955 avec Geneviève LAMIEAND.
 BOUVIER est soucieux. 
 Certes, il est sûr que le renseignemnt fournis est correct et, les miniscules détails fournis pr les hommes arrêtés sont concorans. D'autre part, la sécurité Militaire ne lui afournit quune seule fiche. Il décide de monrer la photo aux autres.
 LA TOCNAYE, dit : connait pas., mais chez certains autes, quelques ractions discrètes, que le commissair décide d'exploiter par nterrogation individuele. Et, 3 des hommes, finissent pas reconnaitre DIDIER..
 BOUVIER n'a plus qu'à asser à l'action; mais on n'arrêe pas un Polytechncin Lieutenant-Colonel, comme un voleur de pommes.

   A SUIVEE

A laube du 17 sepembre 1962, Bastien THIRY sortant de son pavillon à Bourg-)la-Reine, toujours sanglé dans son éternet imperméabl vert, est interpellé. Son pavillon fouillé ne donne pour ainsi dire riens, 1 carnet de n° de téléphone, sans rpport avec ce qui intéresse la police, un carnet de note, en rapport ui avec son ravail, mais.. aussi un bout d journal sur lequel est écrt PERRIN..
 E nom éveille un écho dans la mémoir du commissaire, il fouile dans tous les ocuments et trouve.
B. THIRY nie être ce M.PERRIN. Le ommissaire encie 2 inspecters au café, ou ils montre la photo de B. THIRY, que le patronreconnait firmellement comme étant le M. PERRIN..
Mos devan l'évidence" DIDIER" qui depuis des heures refusai de parler, dit : Très bien, e suis prêt  prendre mes responsabilités et j demande à rédiger moi-même à la main, le rapport des faits et.. en un seul exemplire.
 - D'accord di BOUVIE.
 Lorsque Roger FREY le Ministre d l'Intériur apprend que le chef d la conjuration est sous les verrous,il est heureux, i va enfin pouvoir enfi entrer eans le bureau du Général et lui annoncer d'unair modeste, que lui, FREY, a réussi en moins de 1 mois à retruver les Régicides..
 Mais en consultant les dcuments, il a une meilleur idée, il va apporter le tout au conseil des Monotres, qui fera pâlir de jalousie ses "amis"..Il sera la nouveau FOUCHE du régime.
 - Je garde le dossier pour l montrer au conseil.
 Dès que BOUVIER a quité son bureau, FREY décide de placerle dossier dans le nouveau cffre qu'on lui a installé l'après-midi même. Coffre qusiment inviolable, supe-blindé, résistans aux chalumeaux, aux acide et au plastic. Serrure ultra moderne. La mison lui a jré qu'il 'agissaitdu coffre le plus moderne du monde.I y place donc le dossier.
 Le lendemain matin, de très bonne heure, il se rend à son bureau, pour lire à fod le dossier..
 Il sort la clef du coffre t, s'aperçoit alors qu'ilne connait pas l combinaison. Il appellle sa secrétaire.
 - Mais, Monsieur le Ministre, je ne connais as le nurero de code.
 Branle bas de combat dans le bureau, la Réublique est en danger. On tire de son bain, l directeur de la firme qui a vendu le coffre et on l'amène d'urgence.
 - Je suis content de vous voir, Monseur, dit FREY, vous allez pouvoir m'aider à ouvrir ce coffre que ous m'avez vendu 
 - Je ne connais pas la combinaison, Monieur le Ministre.
 - Mi non plus.
 Les deux hommes se regadent avec étonnement..
 -Mais enfin, dit FREY avec hauteur, si vous, le Directeur neconnaissez pas la combinaison, qui la connait ?
 - VOUS, Monsieur le Miistre, nous livrons les coffres, mais 'est le client qui détermone la combinaison.à sa convenance, dès que le coffre se refermne, la combinaison se brouille et, personnne d'autreque VOUS ne peut louvrir.
 FRY, mesure l'étendue du désastre: Son triomphe repose sur un blindage inaccessible.
 - Je n'ai pas le choix dit'il, nous allons l'ouvrir u chalumau !
 E directeur a une moe légèrement ironique,puique la qualité de son produit, va recevoir un brevet Monostériel.
 - Mais Monsieur le Ministre, nos coffres sont inattaquables au chalumeau.
 - Ne peuton employer un explosif ?
 Le Directeur, vexé proteste :
 - Même ce enre de procédé est inutile, M. le Minisre, ns coggres sont inviolables ç
 Un long moment, REY s'abime dans la méditation. Dans 2 heures, le conseil des Ministres;le Général était aussi précis sur l'here qu'une penduele Suisse.. 2 heures pour ourir ce coffre?
. - Mais enfin, éclae FRY envers sa secréaire, vous aueiez pu me ire qu'il fallait établir une combinaison.
 - Monsieur le Ministre, j'a cru que pour une chose aussi imporane, cous l'aviez établie vous-même pour être le seul à la conna^tre.
 FREY n'aurait pas son triomphe. Il ne pourrait as brandir au nez de ses collègues, la donfession écrite à la main, du chef des conjurés
 Alors, il a une idée.

        A SUIVRE.

Il appelle le commisaire BOUVIER.
 - Commissaire, apporez-moi immédiaement le double du dossier Bastien THIRY 
 Etonnement du commissaire.
 Mais Monsieur le Minisre,je vous ai donné le seil exemplaire que je possède : l'original à peine sec ( Badtin THIRY avait tenu à écrire sa confession à la main et en un seul exemplaire)
 Impasse totale. Soudain un des membres du cabinet tousse :il essaye d'attirer l'attentin du Ministre.
 - Je vais peut-êre dire une bétise.....
 - Alors ne la dies pas  rugit FREY
 Mais il se ravise :
 - Au point ou nous en sommes  dites toujours 
 - Nous avons dans nos services un officier de polce spécialiste des coffres. Tous ne servvices se l'arrachent; jusqu'à maintenant, aucune serrure ne lui a résisté.
 - Qu'est-ce que vous attendez pour aller le chercher ? crie FREY
 " P'tit LOUIS" - c'est son surnom - n'a jamais à bien une opération pareill : Fracturer le coffre du Ministre de l'intérieur, sous les yeux même de l'intéressé.
 Commence alors une étrange cérémonie. Tout le monde retient son souffle. L'homme, se frotte doucement le bout des doigts, puis applique son stéthoscope contre la serrure, les Minutes passent. FREY très nerveux fait du bruit: il prégère sortir. "P'tit LOUIS" poursuit avec délicatesse l'ausculation de la srrure. Sa carrière peut dépendre d  son habileé. Il est en sueur. 60 minutes avant le conseil des Ministres? 45 minutes... FREY passe la tête par la porte; on lui fait signe de se taire. Plus que 10 minues avant que le Général ne pénètre dans la salle  du conseil, où son d&jç tassemblé, sans doie ls Ministres..
 La porte de l'antichambre e FREY, s'ouvre soudain  Monsiur le Minise, venez vite 
 FREY se précipie: "P'titt LOUIS" est debou devant le coffre ouvert. FREY s'empare du volumineux dossier, traverse la place Beauveau au pas de course, s'engouffre dns lElysée, ouvre la pore du consil, pose le dossier devat lui. A cet insant, la double porte du fonf s'ouvre e De GAULLE fait son entrée.

   A SUIVRE.

Le Ministr de l'Intérieur pavoie, lenquête de police est erminée, le chef des conjurés sous les verrous.. On lui fair savoir que non, ce n'st pas terminée, cae;eson toujours pa arrêtés :
 JeanBICHON - BERTIN - CONDE -MARTON - SARI, ni surtout le redoutable WATIN..
 Les conjurés seront jugés par la cour militaire de jusrice, constituée le 1 juin 1962, e, en lieu et place du Hut Tribunal Militare, qui avait osé ne condamner qu'à la prpetuité SALAN, alorsque  ayant déjà fontionné (maisissoute après) l cour de justce, avait condamné àort DEGUELDRE..
 Bien entendu, les erdicts qui sernt prononcés, ne pourront en aucun cas être remisen questions soit en Appel ou mêe Cassation., ils seront exécuoies sauf grâce Présientiel. - Principe absolumnt contraire à la déclaration univrsell des Droits de 'Homme ( Que le France, est un des rares Pays ayant refusé de siger).
 Les avocats des inculpés n'auront qu'une seule ressourc, multiplier les incidents de procédure L Le Gouernement ne s'enémeut pas, il promulgue une nouvelle Loi le 290 févrir 1963, en pleinprocès, Loi qui promonge l'existence de la Cour..
Et, avant même qu ne s"ouvre le procès, De GAUULE échappe à 2 aentats :
 Le 1 er, le 19 janvier 1963, alors qu'il assiste à l'assemblée générale  des anciens élèves de l'E.N.A. 
 La 2 émé le 15 février 1963, alors qu'il s'apprète à rendre visie aux officier de l'Ecole Militaire.
La cour Militaire, sera présidée par le fameux Général GARDET ( Ceux qui ont lu mes anecdots, se rappelleront, que c'est lui, qui au Laos, avir voulu faire abattre les chiens qui l'empêchait de dormir)., l'un es assesseurs, avait déclaré lors d'un diner mondain, LA TOCNAYE, pas e problème, il faut le fusiller, un autre assesseur, offrant lui aussi touts les garantiesd'impartialité (lors du Ptsch, il avait été arrêté et busculé par les Pars), un troisiéme, qui annoce qu'il juera selon les imératifs de la discipline.
Au bans de l'accsation, on note la présence du conseillr à la cous d'appel REBOUL, qui pour l'occasion a éé promus Lieuenant-Colonel. Sa p:résence provoqera de violent incident de la part de la défense, ayant comme résultat la suspension pendat 3 ans de Maître ISORNI.

     A suivre.

Le 4 juin 1963 à 23 H 39, l verdict est rendu, après 2 H 40 minutes de délibération " 3 minutes pour suire un oe:uf auraient suffi" note LA TOCNAYE avec amertime.
 ) Bastien THIRY = condamné à mort.
 - LA TOCNAYE = condamnation à mrt.
 -PREVOST = condmanation à mort
 Pour ceux-là, l'Avocat Fénéral obtenait satisfaction.
 - Il avait réclamé la peine de mort our BUISINES, mais PREVOST l'avait réclamée à sa place, car il avait entrainé son ami dans le ommando. On le lu a accordée
 - 3 autres condamnations à mort pr contumace : WATIN - MAETON - BERNIER
 BUISINES = condamnation à perpétuité.
 Udem par contumace pour Louis de CONDE
 BERTIN et MAGADE = 15 ans de réclusion.
 CONSTANTIN =  ans
 DUCASSE = 3 ans.
 Deux faits peuvent être raprochés, qui jusqu'à présent ne l'ont jamais éé
 Le 4 mars à 23 H 30 - c'est à dire presue le 5 mars 1963 - Bastien THIRY est sondamné ) mort par la cour militaire de justice. Le lendemin 6 mars à 10 H 39 du matin, M. Henti LAFONd, Président de la banque de l'Union Parisenne, est ssassiné à Neuilly, à l'engle de l'avenue Roule t de l'avenue de Chzy;
 Apparamment ces deux événemets n'offrent pas de rapport. En réalié, le second est la conséquence directe du prmier. Pour faire cour, il faut savoir que le dir banquier, frand partisant de De GAULLE et s politique Agérienne, avaitfait bloquer un imporante somme d'argent, provenant d'un hld hup cmiis à Iran par l'OAS, et cettesomme destinée pour combare De GAULLE et dont Bastien THIRY avait le pouvoir de manipulation.
 Ce banquier fut abordé par un home
m qui lui demanda d'intervenir auprs du Général, pour qu'il gracie B. THIRY, car ol avait une gande inflience sur De GAULE. Il répondit, et si je refuse d'intervenir, qe ferez-vous. ?
 Il eus comme répnse, vous serez abattu. Ce qui fur fait.

     A SUIVRE.

- Vous êtes Monsieur LAFOND ?
 ^Oui, répond le banquier un peu surpris.
  - De la part de Bstien THIRY !
 Pus le tueur ( un dénommé Jean DEBREM) tira 2balles dans le coeur du banquier.
 Pour De GAULLE, le tempde la réflexion avaitpassé et n'avait guère duré. Condamn le 5 ars, B. THIRY fut exécuté le 12 à 6H42, au fort d'Ivry.
Dansle nuit du 11 mars, vers 2H du matin, au cimetière de Thiais quelques homme s'affairent ans les ronces et les détrtus,à la lueur de lampes torches: Ils creusent une tombe sommaire dans le carré des suppliciés. Au même instant, aux alentours de la prisn de Fresnes de mêlme qu'au fort d'Ivry,un éploiemen inaccoutumé de gendarme,de gardes mobies et de soldats prend place.
 A 4H30 la prison est encerclée de toute part. Les véhicules de la télévision t radios sont là. La foule comence à s'arouper. Une à une les voitures des magistrats, des avocats, et des personnalités franchissent le rans porail.
 Bastien THRY dort sur son lit de camp, dans une cellule éclairée nuit et jour. Il s'est endormi dans la sérénité. Il est prêt à mouri. Il l'a dailleurs dit à l'un de ses avocats : 3 J'étais prêt dès le premier jour ". à 4H45 le Directeur de la prison et l'avocat général pénètre dans la cellule. L'un ds avocats met la main sur l'épaule de B. THIRY,qui ouvre les yeux sans étonnements et dit
 - Suis-je le seul ?
 - Les deux autressont graciés ( DE LA TONAYE etPREVOST)
 ^Dieu soit loué!
 Au fort d'Ivry, il pleut. On lisse au condamné son manteau bleu marine dofficier de l'armée de l'air.. Lepeloton composé de jeunes aviateurs en place. Bastien THIRY n'a pas laché son chapelet. La salve retentit. Il s'écoule sans un mot. Il est 6H42.A 7H30,i repose au carr des suppliciés,qui sera gard pendant une semaine.
 Et aujord'hui, se 3 filles portent touours son Nom.

    A SUIRE.

J'ai l'intention de tuer De GAULLE lors de sa visite à l'Ecole militaire dit WATTIN, quand doitil y aller ?  ?deux dates de visites sont prévues, répond l'Adjudant-chef, la premi§re est  après-dmain.
 - Alors, si c'est après-demain, c'est bon di WTTIN.
 Ils examient la situation de l'école, un dédale de btiments avec des coins, des recoins.
 - Dès deman, le Capitaine POINARD se rendra à l'Ecole, je vous demande de le piloter..
 Rentré chez lui, l'Adjuant-chef,nedort pas, il se rend compte qu'ilvient de se fourre dans un affaire trop grosse our lui.
 Le lendemai, il reçoit sans nhousiasme, le Capitaine POINARD, qui s'attarde longuement dans les grniers et sur la pise d'atterissage de l'hélicoptère. L'adjudant-chef THO, prévient le Capitaine, que la 1 ère date de visite est annuée, donc, le Général viendra le 15 février.
 Mais, l'Adjudant-chef, n'est toujours pas tranuille, car ol pense que les reponsabilités de l'attentat retomberon sur lui, d'ou, d'énorme ennuis..
 Le samedi matin, i a soudain ue inspiration en voyant une coiture officielle appartenant au service du premier Ministre. Il s'approche du chauffeu qu'il connait et, non sans embarras, lui révèle qu'il a onnaissance dun attentats contre le Chef de l'Etat.
 Le chauffeur, croit tomber des nues, et il lui conseille de s'adresser au commissaire COMITI, qui fait partie des services de proection du Président de la Républque.
 C'est au tor du commissaire de tomber des nues, car ce n'st pas la prmière fois qu'on lui fait d tellesconfidences, mais comme certaines proviennent d'illluminés, il préfère ne pas s'en occuper.
 - Je vous remercie de votre démarche. Mas elle ne me concerne pas, c'est à la Sécurité militaire. C'est à elle que vous devez vousadressez

   A SUIVRE.

L'Adjudant-Chef, plus tremblant ue jamais,maintenant qu'il avait franci les premier pas et qu'il se sait en droit de redouter les repraisailles de ses nouveaux "amis", va quad même trouver l'officier de la Sécurité Militaire. L'officier alerte imédiatement ses supériurs, qui envoient un voiture, por amener l'Adjudant-chef devant le Colonel BELLEC, appartenant à la direction de la SM.
Le Colonel écoute longuement le récit de l'Adjudant et le rassure demblée : La Loi stipule que tout individu qui dénonce un complot est exonéré de poursuites judiciaires.
- Vous ne serez pas inquieté si vous exécutez mes ordres, vous devez rester en cotact avec vos "amis",et même leur fournier le plan qu'il vous demanderont. Voici un n° de éléphone que vous appelerez chaque fois qu'il se produit du nouveau..
Il pécint que Paule ROUSSELET lui avait organisé un rendez-vous avec un certain Jan BICHON,
, dont le nom est ainsi prononc pour la première fois dans une affaire d'attenat contre le chef d l'Etat, et il dévoile comment cela se dérolera.
Le 14 février veille de a visite, THO est censé faire pénétrer lecommando WATIN dans l'école militaire, ATIN seraporteur d'un fusil à lunette quiservira à l'attentat, caché dans un étui à violon.
Entr-temp, le Colonel BELLEC a porté l'affaire au plus haut niveau, jusque dans l'antichambre du Général. Dux ministres, se sont aussitôt sentis concernés; Roge FREY, ministre de l'intérieur et.. Pierre MESSMER, minisre des armées, de qui dépend l'Ecole militaire.
FREY, stime qu'il faut laisser aire le  commando,tout en les tenants sous étroites surveillance, avec l'espoir qu'i les ménéront jusqu'au chefd occultes du complot dont, il devinent le noms mais, n'a aucune preuves.
MESSMER, lui penque le danger est tro grand pour le Général, et qu'il faut coffrer tous le monde sans perdre ne seconde.La bagarre verbale entre les deux ministres est vive., si vive, que la sécurité militaire se trouve dans une impass et ne sait plus à qui obéir. L'abitrage du 1 er Ministre POMPIDOU devient indipensable. FREY dt que tou les protagonistes sont su surveillanc, sauf..WATIN,qu'iln' pas réussi à localiser et qui est le plus dangereux.
- MESSMER, vous voulez laisser enter le rat dans le fromage ? vous ites vous même que ce type et dangereux. POMPIDOU tanche.
Le risque est trop rand, une oération de police immédiate, même si elle est prématurée simpose

     A SUIVRE

Nous arrêteron tous le monde la veille. Et nous l'annoncerons lors de la visie du Général. REY, vous aurez satisfaction, puisque l'opinion pulique, sera grappée par l'efficcité de la police.
FRY, tente de proteser.
- Cela veut dire que WAIN nous échappera une fos de plus.
- De toute gaçon, tranche POMPIDIU, j'en ai parlé au Général et, il st de mon avis.
Du moment que le Général a dit, il n'y a plus qu'à s'incliner.
Le jour J, es fixé au 14 février, veille de la visite du Généra. Le Général GEUVRIER nouveau promu àla têe de la Sécurité Militaire, est chargé de l'opération. Premier objectif, arrêter WATIN qui d'après des renseignements " Surs" se trouverait dans un imeuble de Montparnasse..
Un formidable dispositif policier boucl le quartier,et se met n placeavec discrétion: il s'agit d'écraser une puce avec un marteau-pilon. Bien entendu la "puce" a filé, lorsque le policiers se présentent à sa anière; la " boiteuse é a quitté les lieux 2 heures auparavant.
Le rste de l'opération, se poursuit mécaniquement;on arrête - sans difficulté - toutes les personnes qui pourraient êtres impliquées dans lecomplot, de près ou de loin., puisque leur nom a été prononcé devant l'Adjudant-Chef THO.. En fait, la pêche est plutôt mauvase, on ne ramène dans le flet que le Capitaine POINARD,la "comtesse" et un médecin véérinaire.
La réalité est que l'opération de l'Ecole militaire a été anulée au dernier oment.. Ls complicits que Jean BICHON entretenaôt au ministère de l'intérieur et au sein de la Sécurité Militaire,lui ont permis de conaitre les plans de la police. Malgré le faible résultatobtenu pr a police,a plus large publicité lui fut donnée. Les jounaux titrèrent sur HUIT colonnes:
ATTENTAT DEJOUE CONTRE DE GAULLE,IL DEVAIT ETRE TUR CE MATIN A L'ECOLE MILITAIRE AVEC UN USIL A LUNETE; 6 offiiers arêés, mais le journaux furent forcés d'ajouter en petits caactères : Le chef du comando WATIN, déjç impliqu dans l'affaire du Petit-Clamart, est en fuite.
Dans l'après-midi, De GAULLE, convoqua POMPIDOU, et lui dit.
- Je vous avais demandé de minimiser cette affaire 
- Mon Généra, il est bon que les Français et même àl'étranger, l'on sache que votre vieest constamment mise en danger. De GAULLE lui répondir.
- Je ait mon métier, fites le vôtre.

    A SUIVRE.

L'annonce d'un prochain voyage de De GAULLE en Grèce, du 16 au 19 mai1963.
- La voilà, loccasion ! s'écrie DE CONDE
C'est que depuis plusieursjours, il est beaucoup question  entre eux, d'une invention mise u point par le Capitaine MEMAIN, excellent technicien et bon bricoleur; en effet, ol a ilaginé d'introduire un barillet de 6,35 ans un apparel photo. Extériurement l'appaeil parait tout à fait normal et, peut même continuer à prendre des photos; mais un orifice pacé sous l'objectif permet d'expédier 6 balles endutes de cyanure sur le sujet visé..
Le voyage à Athènes  est loccasion révèe pour lui de réussir ce qu'il a raté au Petit-Clamart.
Les esais se révèent concluant et, DE ONDE prend lavion pour Athènes, quelques jours avant la visite du Général.. Fans es bagages, il emporte; de faux papiers d'identité, 250.000 rancs anciens lui remis par l'Etat-Major Bruxellois,et 2 exemplaires du fameu appareil photos.
Il fait escale ) Rome, ou il rencontre un proche collabotateur de Jacques SOUSTELLE, auquel il remet un des appareils photos..
A Atgnes, il joue les touristes, visitant les ruines le jour et les boites la nuit, histoired'oublier l'ngoisse de l'ction qu'il va tenter. L'avant veille de l'arivée du Général, alors qu'ila parfatement reconu les lieux choisis pour l'attentat, ilpasse une soirèe mouvementée au cours de laquelle,il e fait voler; argent, papiers et bullet e retour, cela, dans les bas-fonds d'Athènes.
C'et la catastrophe, il ne peut plus espérer de fuite rapide après l'attentat.
Il expédie aussit^ot un élégramme à son antenne Bruxelloise, pour réclamer de nouveaux papiers et de l'argent.Les transmissions n'étaient pas facile à l'époque; DE CONDE ne reçut ucune réponse le jour même, le lndemain, aucune réponse non plus, zt lorsqu'il se rendit sur l'avenue ou De GAULLE allaitpasser t, normalemet être tué, il comprit qu'il ne pouvait rien tenter sans risquer d'être pris immédiaement, puisque sans papiers ni argent.
Il asssta en se morfondan à l'arrive triomphale du Général, qui passa à... 4 mètres de lui.
DE CONDE,se contena d'appuyer sur le déclencheurphotos pour fixer sur la pellicule la phtographie historique de E GAULLE, offrant une cible idéale      

   A SUIVRE?

Je vous donne lasuite fu dernier post. - et les premoèeres liges d'un aute "étrange" attentats.
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Ce n'est que l'zprçs-modo qu'ilreçu les papers et l'argent, et de ce fair, il put regagner Bruxelles, où ol pit comme preuve de l'accomlissement de sa mission avortées,donner un rouleau de photos, qui furent développées et jgées ravissantes,car on  voyait D GAULLE, deboit dans sa voiture découverte et salunt la foule, et prsenantson profile, que pour mêmeun tieur moyen,il tait une cible imanquable..
Photos et appreils truqués furent placés dans une malle, et remie à unhomme du C.N.R.
Ce homme  qui s'enuuyait (comme un certain nombres d'xilése l"OAS) décidade se donner un peu de bon tallps dans une boite de Buxelles, le  Shox-Boat", le Wisky, les pépées,la musiqie, opérérent vit sur lui, et ue bagarre écata. L police intervint et arrêta tous le monde. Elle s'aperçut que l'hommr possdai des paoes Français et surtout, qu'il ortat un pistolet chargé. La polce belge comrit qu'elle e trouvait en présence dune personne de l'OAS.. Une perquisition à son domicile permit de retrouver dans la male, les phoos de De GAULLE, mais égalment l'appareil photo truqué. Elle prévint la polce française, qui encoya immédiatement par avion spcial, une équipe de finslimiers..
Les belges, refusèrent l'extrasition du type arrêté. Mais bientôt, l'affai:re s'oublia, elle allait se déplacer dansle dud, avec le voyge que De GAULLE s'apprétait à fare dans le midi de la France.
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Pendant près de 3 mois, du 26 septembre u 12 décembre 1963, les atmobilstes qui empruntaient la Nationale 550, d'Orange à Carpentras, n'ont jamais su quils sont passés touts près d'une bombe énorme sur laquelle, De GAULE devait sauter.

            A SUIVRE

Cette épée de Damocls, avait été préparée par un réseau  étrangé, dépendant de l'OAS Méropole,mais indépendant Il était composé de 5 membres qui ne se connaissaient pasentre eux, et cacun de ceuc-ci, avait recrutés 5 nouveaux membres.. Ce groupe était fondé par des ex parisants du Général GUIRAUD qui avai été une des premières victimes politiques de De GAULLE.
Dirigé parun ancien chef du maquis F.T.P. devenu gargiste en Ardèche.
C"tait l système de la " Main " inventé par les communistes penant leur résistance de 1941 à 1945.. De cette façon la police ne pouvait pas pénétrer le réseau, ni le démanteler.
Au début de 1961, de rseau fu mis à la disposiion de l'OS Métropole, dont le scteur Sud-Est, était dirigé par Jean REIMBOLD, professeur de français dans un lycèe de Toulon. Il s'agisait de souteni le putsch d'avril,et après l"échec de ce dernier, le roupe persista.
A l'annonce du voyage de De GAULLE dans le Vaucluse, la "Main" décida d'agir contr lui, puisque le Chef d l'Eat venait en visite sur son teritoire.Pour la forme, elle demanda le feu vert à l'Etat-Major de l'OAS Métro, et, sans attendre la réponse, elle montat son attenat.
A 31 Km d'Orange , peu avant Jonquières, sur la route que devait emprunter De GAUULE, les POonts et Chaussée effectaient des travaux pour supprimer le virage, entre l'ancienne chaussée t la nouvelle en voie de constrution. Il existait un petit fossé.
C'estce fossé que la Main" décida d'utiliser,car forcément, le cirtèège Présidentiel devrit emprunter le virage à du 40 KmH.
 Les hommes de la "Main" instllèrent donc un bombe cmposée de : 2Z5 Kgs de plastic, fournis par un fficier du 2ème Uirassiers installés à Orange. Un fil courait jusqu'à un bosquet , situé à 80 m et d'ou la mise à feu devait se faire.La mise en plce d système ut avoir lieu, grâce àdes complicités d'un des chefs de travaux et membre du réseau.

      A DUIVRE.

Tout était en place le 24 septembre, veille de 'arrivée de E GAULLE, lorsque l'OAS-Métropole expédia l'ordre de ne pas faire sauter la bombe.
On peut iscuter cegenre 'ordr contradictoirre,mais le fait est là: la "Main" reçu l'odre formel de ne pas agir.
Naturelement il était trop tard pour la retirer: les gendarms ptrouillaient sans cesse le long de la route donc du parcours,et les services de sécurité étaient sur les lieux. La "Main" laissa doncla bombe en plae. Ses membres eurent en tous cas la stidfaction de cinstatr que la population d'Orange étai restée chez ele et avait boudé le chef de l'Etat.
Seuls le service d'ordre et la bombe inutile étaiet au rendezvous..
Le fil fut retiré l 27 septembre, 2 jours après le passage du Général, par le chef e chantier.
Comme certains ouvriers campaient sur pace pendant les travaux, la bombe ne put être retirée que mois plus tard, le 12 décembre - c qui donera sans doute des frisons rétrospectifs aux paisiblesautomobilistes qui passèrn tout à côté avec leurs voiture..
Entre-temps, le Capitaine Jean Marie CURUTCHET, responsable action de l'OAS-Méro, avait été arrêté. L'ncien adjoint du Capitaine SERGENT, avaitconnu une sérienoireà partir d'avril 1963.
Il s'était réfugié au Sénégal. Au coseil des Ministres, Roge FREY annonça fièreent. Nous voilà débarassé de lui..
De GAULLE, resta silenieuc quelques seondes, pis il dit.
-Emparez-vous de lui.
Ine voie timide, tente de faire objection - POMPIDOU :
- Mais,mon Général , le Sénégal est un Etat indépendant.
- Indépendant ? gronde De GAULLE.Je ne sait qu'une chose: C'est oi qui paye.
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 Pour la prtite hitoire, il faut saoir que CURUTCHET, fut enlevé par des services Français, dans un avion.... d'air Italia, qu'ils ne tinrent aucl comptes des protetations de l'équipage, et par la suite, le Gouvernemen Français gnora comlètement les protesations du GouvernementItalien.
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    Le Prochain épisode et je pense le dernier, concernera l'attentat du Mon Faron

Le mont Faron est une petite montafne de 500 m située à 3 Km au nord de Toulon. Ai sommet se troue le fort de la Crox-Faron occupé par la Marine Nationale. A 3 km du sommet, des ouvriers travaillaient au mémirialdu débarquement de 1944, en Rovence , par les troupes du Général De LATTRE E TASSIGNY et PATCH.
De GAULLE avait annocé son intetion d'y aller inaugurer en personne..
A l"écart de tout, il était facile, à une équipe d'y enterrer un bombe pendantla nuit.
La décision d'oganiser un ttentat au mont Faron étant prise, SUSINI répartit les tâhes.
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Les groupes controlés par SOUSTELLE sur la Côte-d'Azur sont chargés du repérage. Roger GONZALES, le secrétaire de l'ancien ministre de De GAULLE, a mission de prendre contact avec certains éléments sur place. On prend une série de photographies u mont Farn sou toutes ses faces,qui sont remises ç SUSINI.
Une deuxième équipe dépendant de SOUSTELLE est hargée e faire passer en Franc, les appareils préparés par ROSFLDER.
L'ancien directeur de Radio-France avait eus d'énormes difficultés technique à surmonter, pour réalisr le système émetteur-récepteur, en rason de la minniaturisation  indispensable.. OL réussit d'aileurs là une performance technique exceptionnelles. A propos des expertises qui furent effectuées après l'attentat, l'on nota qu'il n'existait en Fance que... 4 technicuens capable de parachever un tel cfef-d'oeure.

    A SUIVRE.