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| - Les 31 attentats (ratés) contre DE GAULLE ,beaucoup ignorés des Français | |
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Auteur | Message |
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MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: ttentats. Jeu 10 Mar - 13:53:48 | |
| - Quan j'ai vu disparaitre la voiture u Général, dira un gorille , j'ai cru qu'elle avait explsé !Les utres voitures avaient ^ù s'arrêter devant labarrière de feu. Immédiatement l'alerte générale est donnée, de toutes les csernes de la région, des motards et les véhicules de la gendarmerie s'élancent. De barrages sont mis en plae sur toutes les routes des envirns.. Le capitaine de gendarmerie HONDET fai les premières co statations. La chaussée es couverte de sable, d'huile, de gravats, de fonte, de morceaux de ferrailles. Les remblais sontcalcinés. Des pains de plastic à demi consumé sont répandus sur plusieurs dizaines de mtres. Des morceaux de la bombe sont retrouvés. Lorsqu'il vit les pares de la voiture de CABANNE sallumer par eux fois, Martial e VILLAMANDY se sentit tout à coup très calm. Qulques secondes, puis le petit arbre qui lui servait de repère est brusquement éclairé: sans hâte, il appuie sur le bouton. Tout s'embrase. Il se lève et monte fébrilement dans sa voiture. Il s'mbrouille dans les boutons.La voiture démarre enfin. Il sait qu'il ne dispose que de qulques minues.Le chemin est erriblement cahoteux.La voitue tangue.Soudain il rate un viage et l'avant de la Neckar s'enfonde dans la boue. Il tene de faire marche arrière: impossible. Il s'énerve. Très vie, il comprend qu'il ne parviendra pas à se dégager. Les roues patinent. Au même insant, VILLEMANDY sans ses cheveux se dresser: un e voix éclate près de son visage. - Fallait pas venir là, mon garsç surtout la nuit! C'est un paysan, il s'applle PILLT. Il aide VILLEMAND à d&gager la voiture, mais VILLEMANDY comprend qu'il ne doit pas laisser rearir l'homme, à cause des gendarmes. - Vous prenrez bien n verre ? e vous doit bien cela. Au café du " Centre" à PONT-SUR-SEINE, ils commanent un vin blanc. VILLRMANDY trop nerveux qe met à parler, il parle même de l'explosion . Sans raison. - Une xplosion ? c'est donc çà Tanis que VILLEMANDY continue à boire du vin blanc pour se remonter, PILLET et un amivont voir " çà". Aussitôt ils sont entourés par les gendarmes - Vous n'avez rien remarqué de suspct ? - Non, juste un gars ui s'était mbourbé avec sa voiture et que j'ai aidé; il 'a même payé un verre au café du Centre. Au café, les gendarmes ne trouent plus le suspect, ils fouillent le village en vain Ils reviennent au café et, le prmier homme u'ils trouvent aucomptoir est Martial de VILLAMANDY.. C dernier s'était aperçuqu'il ne pouvait plus quitter le village, tout le secteur étanr bouclé. Il s'emmèle dans ses explications,pui se rendant compte u'il est acculé, il avoue. La police tient l'n des conjurés . PONT SUR SEI/NE est un double échec pour eux. | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: - Attenttjjh Ven 11 Mar - 13:43:10 | |
| Les plus recherchés sont évidemment les "vedettes" d PONT SUR SEINE, dont les nom sont maintenant connus de la police , bien que VILLEMANDY i brouillé les pistes malgré son désarroi. BELVISI réussit à échzpper au 2 policiers qi se précipitent à son garage. JeanMarie BOUVIERE est cueilli chez lui (personne ne l'avaitprévenu) BARBANCE est arrêté en Dordogne chez l'une de ses amies, chez qui il se cachait, CABANNE de la PRADE, réussira à passer en Belgique, mais sera appréhendé à Bruxeles, pour..... vagabondage, et, exradé vers la France où l'attendait une condamnation à la rélusion perptuelle. MANOURY, est arrêté à 62 Kms de... Colombeys-les-deux églises: il s'était recyclé à LYon etpoursuivaitbses activités clandestines; un panne de voiture l'obligea à faire escale à Langres, dans la Haute-Marne, où il se fit prenre presque par hasaed. Seul, BLVISI passa entre les mailles du filet. Ce qui accrédita sans doute la version du rôle trouble qu'il aurait pu jouer, et que la logique des faits dément. Le grand problème qui se psa aux exgégètes de l'attentates celui de la détermination des raisons de l'échec. Tout avait éé claculé et organisé, la mise à feu avait été faite quad il le fallait. Or,la bombe n'a pas explosé; le "napalm" a provoqué un rideau de feu et les pains de plastic ont été retrouvés sur la chaussée, répandus et à peie brulés. Des exprts hautement qualifiés désignés par le jug dinsruction, il en résulterait que :Chargement nsufisamment homogne, , enveloppe insuffisament résistane et.. suivant l'état physique de l'explosif, ce serait là que se trouverait la cause de léchec de l'attentat.
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| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: -Ttentts Dim 13 Mar - 14:18:10 | |
| Ilfaut d'abord considérer le rôle yout à fait nsolité joué das toue l'affaire par un personnage également peu commun: le Colonel FOUCAULT. Con nom officiellement apparaîtra lors du procès des conhurés de Pont-Sur-Seine, ouvert l 22 aoû 1952 devant les assises de Tryes. Les joournaux avaient façonné l'oinion publique et tou le monde s'attendaità voir d'ignoblestueurs, aux visages inquiétans t aux manières rustres. On vit arriver des homes du monde:brillants, polis, élégants, souriants. - Il s'agit d'un atenat "bidon" dirent'ils. Il a été organisé par le pouvoir Gaulliste, pour la gloire deDe GAULLE. Mêe l'arrestation de VILLEMANDY était prévue: pouruoiaurait'il trainé sur les lieux e l'attentat s'il n'avait pas voulu se faire arrêter? de toute façon, nous avons agit sous les ordrs de "Monsieur SIMON"/ Pour appuyer leurs dires, l'un des avocats exhibe en effet une lettre signée par un mytérieux " Monsieur SIMON", dns laquelle czlui-ci avoue avoie agit sur l'ordre du gouverement. Allant jusqu'au bout de son offensive, la défense réclame l'audiion de deux grosses têtes du régime, à savoir Jacques FOCART secrétairegénéral de l'Elysé et Alexandre SANGUINZTTI, chargé de misson au Minist§re de l'Intérieur. Et pour faire bonne figure, elle réclamel'audtion du Colonel FOURCAULT, l'un des hauts personnages du S.D.E.C.E. pendant longtemps, mais qui n'en ait plus partie. Jacques FOCCART nie, ben sûr, conna^ptre les ccusés et surtout les absents dont on ne connait que les noms: AUBRY, "GERMAIN" et "SIMON".
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| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: - Attentats. Dim 13 Mar - 14:43:16 | |
| Alexandre SANGUINTTI afform lamême chose. Acculé par les avocats, il est cependant oblgé de recnnaître que c'est bien lui ui avaot envoyé au Canada un Capitaine nollé MRRTZ avec un blillet offert par le Ministère de l'Intérieur. Sa femme qui et Canadienne, lui avait rouvé une situation . Alos nos avons sauté sur l'occadio et nous l'avons envoyé là-bas por nous en débarasser. Si j'avais eus l'ocasion de payerun billet à tous les OAS que je connaît, je l'aurais fait volontier./ Il fallais que MERTZ futun personnage bin génant pour une telle dépense. Or, Armand BELVISI avai connu MERTZ lors de son second séjour à Beaujon. On aprétendu depuis que MERTZ avat été placé là, parmiles quelques dizaines d'activistes,pour tenter de recueilli des renseignements. Et, certes, ont peut estimer qu cet hommr - médaile de la résistnce ^ Légion dHonneur - était en mesure d'insporer onfiance ) BELVISI, qui détenait à l'époque un terrible secret, car il étit le seul à savoir où se trouvait dans une re de Paris , la bombe destinée à De GAULLE "GERMAIN " (Bastien THIRY ) lui même l'ignorait MERTZ pparrenait au S.D.?C.E. où il avait été directement sous les ordres du Colonel FOURCAULT, dont l'interventiion ultérieur au procès déroutera les juges.
A SUIVRE | |
| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: Attentats. Lun 14 Mar - 14:20:22 | |
| Il existe donc une possibilité: conquis par MERTZ, qui avait sur gagner sa confiance, BELISI aurait pu laisser échapper un renseignement sur labombe Nani de ce renseignement MERTZ aurait avait ses chefs le CS.DE.C.E et le ColonelFOURCAUD, sur quoi,srait entré enaction les " artificiers" maion tandisque BELVISI était gardé en prison.Une fois la bombe neutralisée BELVSI aurait été relaché pour pouvoir poursuivre l'opération semonles plans prévus par "GERMAIN"./ A l'examen des faits, cette version ne tient pas. Je sait ce que l'on a puraconter à propos de ma rencontre avec METZ, je suis effectiveent resté 3 jours à Beaujon, j'y ai vu un tas de détenus, pour moi, MERTZ éait indiscutablemen un dégenseurde " Algérie Française". Mai il es possible qu'il y ai eus parmi ous des "mutons". Ensuite, orsque l'attentat a eus lieu et échoué, " ILS" auraient arrêté la tête Bastien THIRY et pas seulement les comparss. Il est exact que j'ai réussi à m'échapper, mas j'y ai mis le pric x, et e n'urais certainement pas été recontracté par l suite, pour péparer l'attentat du " Peti Clamart" Que le Capitaine MERTZ ai été le mouton, nul ne peut 'affirmer. Ce qu peut $etre affirmé en revanche, c'est que le septembre, le JOUR MEME DE L'ATTENTAT qui allait aoir lieu le soir même, MERTZ pris l'avion pour le Canada, muni d'un billt que lui avait remis Alexandre SANGUINETTI, proche collaborateur de Roger FREY Ministre de l'Intérieur
A Suire
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| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: - Attentat. Mar 15 Mar - 13:35:36 | |
| Le rôle de MERTZ 'étant pas exacreme,t éfini, la déposition la plus attendue fut celle du Clonel FOURCAUD, lui-même, car il apportait aux jurés un pargum de mustère et d'aventure. Grand, mince, le Colonel fit grande impression sur les jrés.. Ancien directeur adjoint du S.D.E.C.E. ,FOURCAUD avait bien connu De GAULLE à Londres et l'avait servi tout en ne l'aimant pas. - Il s'agit manifestment d'une provocation affirma le Clonel. e pense à uun opération organisée pour rehausser le prestige de DeGAULLE qui en avai bien besoin à l"époque. Ce n'est pas la prmoère fois que l'on monte ce genre d'opération en politique, depis la dépèche e'Ems jusqu'à la bombe de Vaillant, j'ai nettement l'impresion d'un attntat " bidon ". Venant après le mystérieux " Monsieur SIMON" l'opinion du Colonel désarçonna le jury, qui ne suivit pas l'Avocat Général (lequel rclamait des tetesà et acorda des circonstances atténuantes à tous les accusés. NANOURY = 20 ans de prison - BELVISI et ROUVIERE = 15 ans - BARBANCE = 10 ans - CABANNE= Perpétuité parcontumace. Le rôle joué par le Colonel FOURCAUD est trouble; ce serazit lui qui fournit les 43 Kgs de lasic. Il n'aimait pas de GAULLE, mis ne tenait pas à ce qu'ilfut tué, un exemple, à Londres ,entretien avec De GAULLE. - FOURCAUD, je sai que vous m'êtes déoué. Mais si je vous demandais d'abatre PETAI, vous refuseriez. FOURCAUD avaitregardé De FAULLE en souriant: - C'et exact,mon Général Et il avait ahouté - Le contraire est exact aussi
A suivre
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| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: - Attentats Le Général De GAULE avait décidé d'aller Mer 16 Mar - 15:34:23 | |
| Le Général De FAULE avait décidé d'aller visiter la CIRSE., il visia donc AJACCIO le 8 novembre,au milieu d'une foule proncipalement composée de sympathisants et de policiers débarqués dans l'ile par bateaux entiers. A 14H5 il quital'aérodrome de CAMPO DELL'URO et atterit à 15H45 sur celui de PALVESTRE, appartenant à la marine nationae, près de HYERES. Naturellement, une fois de plus, il ne se doute pas de ce qui l'attend. Il nefait pas trèsbeau, le cortège dans lequel se trouve le Préfêt HERTET, l'Amiral CABANIER et le Maire d'HYERESMonsieur DENGIS avance lentement le long de la ligne es salins et entre dans la ville en pasan sous le pont du chemin de fer. La ville est décorée, debout dans sa voitre le Général salue la foule, Avene Eduth CAVELL, puis avenue GAMBETA, es palmoers frissonnent dans le vent humide. Le cortège atteint la place du PORTALET,carrefour central d'HYERES, puis tourne à droite dans l'artre principale, l'avenue Général De GAULLE; la voiure avance lentement. Au dessus d'une boutique de lingerie féminine, derri§re les persiennes fermées d'une fenêtre, un homme est tapi dans l'ombre. Il est allongé sur une armoire et tien devant lui un fusil Mauser à répétition. Il a l'oeil près de la hausse.De son perchoir plongeant, où personne ne peut le décuvrir de la rue, il voit entrer dans son champ de vision le Général De GAULLE debout dans sa voiture. Il suit la tête du Général au dessus de son guidon. Il a le doigt sur l détente.La cible est à 4,50 m . Elle est immanquable. Elle reste 4 secondes dans son champde tir, puis la tête du Général disparait; l'homme n'a pas appuyé sur la détene. C'était pourtant l'occasion idéale taconte Albert SPAGGIARI, quile 8 novembre 1961 tint durant 4 secondes la tête du Général au bou de son Mauser;je ne pouvais pas le rater. Malheureusement, je m'étais placé là pour le plaisir, e ne pouvais pas tirer car.. Je n'en avais pas reçu lordre. Encore un fois, l'esprit de disciplineavait joué en faveur du Général.
A SUIVRE.
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| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Aentat. Jeu 17 Mar - 18:46:24 | |
| Avat de poursuivre sur les attenats, résumé del'état d'esprit qui régnait au Gouveremen, et quun jour De GAULLE s'étai peut'être levé du muvais pied, ou qu'Yvonn ce soit refusée à le stisfaire, de même MESSER, alors Minisre desarmées, ex Légionnaire? mis alors il l'à éé commedisait Richerd [i]renque : A l'inu de son plein gré. Lui,il n'a rin tenté pou sauver le Général JOUHAUD .
Le même jour,l'arestation d Général JOUHAUF ) Oran, va donner l'occasion au gouvernement de montrer sa femeé. La justice si lente, va se faire expéditive. 19 jurs après son aresation, JOUHAUD est condamné à mort. JOUHAUD disposa de7 jours pour préparer sa défense, cela dans ue cellule bruyante et sans lumière. Il falait qu'il fût rapidement élminé. De GAULLE reàoit brèvement le bâtonnier CHARPENTIER, l'u des défenseurs,; l'éoute brièvement et lui dit - Jevous ai entendu. En fai, il ne l'a pas écouté. L'exécution doit avoir liieu. Le Général Ranç:ois PETIOT,commandant la subdivision de Versailles est convoqué par le governeur militaire de Paris. Le Général VEZINET. - Il faut fusiller JOUHAUD, vous êtes chargé de la mise n place du service d'ordre.PETIOT, scandalisé d'une telle demande, refuse, il écope aussitôt d 30 jours d'arrêts de rigueur., Raison officielle: " N'a pas cru pouvir exécuterune mission découlant d'une sentence légal ". LeGénérl VEZINET fait ajouter cette précision : Mission, exécuter le Général d'Armée Edond JOUHAUD. Reçu par MESSMER, alors Ministre des Armées, l s'explique . - SALAN, a bénéficié de circonstances atténuntes; Exécuter JOUHAUD,serait un déni de justice à quoi MESSMER répond: - C'est l décision du Tribunal, qui pourrait êtr un déni de justice. Le pouvoir poursuit ses effortd en vue de constituer un peloton d'exécution La Marine obéit passivement et fournit son contingent. Le Généeal HUGO,commandant la 2 éme région, donne sa démission, suivi par son adjoint,le Colonel De SAINT-PEREUSE.
A SUIVRE.
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| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Attentats Ven 18 Mar - 13:05:23 | |
| Devant cette résistance, De GAULLE consent à retarer l'exécution et permet mêe au gardes sceaux Jean FOYER de présenter la requête de JOUHAUD devant la cour de casstion. FOYER, esuya une des grandes colères e De GAULLE, mais obtint n"anmoins que l'exécution prévue pour le lendemain matin, fut retardée une fois de plus. Le mardi 7 juin à 2 heures du matin, JUHAUD est rveillé dans sa cellule de Fresnes,par u va et vient dans le couloir: il pense que l'heure est arrivée. Mais personne ne vient. il apprendra un peu plus tard par la radio que ce sont Claude PIEGTS et Albert DOVECAR ui ont étés fusillés.au trou d'enfer.
Paradxalement, c'esr Georges POMPIDOU qui sauvera JOUHAU. Pour des raisons sans doutes politiques, le premier ministre s'opose fermement à la décision du 2néral. - Rappelez-vou lexécution du Duc d'Enghien,mon Général, plus qu'un crime, c serait unefaute. - Il doit être exécuté ! gronde De GAULLE/ - Dans ce cas, dir POMPIDOU, je préfère m'en aller. - Eh bien, POMPIDOU, il vous faut partir ! - Je suis prêt à le faire, mon Général, mais je dois vous préciser que je ne partiai pas seul. cins Ministres me suivront, parm lesquels : Giscard d'ESTAING - PISANI et FOYER. C'est l'éclatemet de la famese cohésion gouvernementale imposée par De GAULLE. Le Général comprend immédiatement qu'il est battu. JOUHAUD ne sera pas fusilé. - Très bien POMPIDOU. Je vous erai connaître ma décision. LeFénéral fera longtemps attendre sa frâce. Chaque matin, JOUHAUD attend la mor. Attente épuisante, E FAULLE se venge à s gaçon. Satisfait du résulta des lections Législatives du 25 novembre, De GAULLR consent enfin à sitgner la grâce e JOUHAUD e 2 novembre, soit 229 jours après la condamnation
A suivre.
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| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Attentats. Dim 20 Mar - 13:54:54 | |
| Les conjurés n'avaient pas abansovver l'idée de tuer De GAULE. La date du 29 mai leur parue bn :De FAUKE, devaitregagner l'Elysée dans la soirés, apès un voyage dans Centre-Ouest. Il descendrait de voiture et graviraut le perron, ce qui signfiat que,pendat 10 à 15 secondes, il contituerait une cible parfaite pour untitreur d'elite poté à un étge élevé, en face de l'Rlysée. Le choix du poste de tir étaitdonc capital. aby ANGLADE et Louis BERTOLINI tom§rent d'accord pour tenter lopération à partir de l'hôel Bristol, situé non oin de l'entée de l'Rlysée, rue du Aubourg Saint-Honoré. Louis BERTOINI, oujours en situation parfaitemant réguire de permissionnaire, lua une chambre au dernier étage de l'hôtel avec vue sur l'Rysée.. Avec ANGLADE et LIGIER,il étudia la possibilité de tirer au bazooka sur la voiture de De GAULLE, cartous trois s'étaient rendu compte imméfiatement que de la fenêtre de la chambre, on ne voyait pas le perrpn de l'Rlysée. a seule possibiluté était donc e tirer sur la voiture aumoment ou elle entrait à confition de savoir exatement dans quelle voiture du cortége, le Général se tiendrait. C'était évidemment risqué, car le tireur, si bonfut'i, se trouverait à 60 mètres. Une autre possibilité était offerte; le bazooka dispsant d'une hausse pouvait tirer en trajectoire sourbe, un pru omme un mortier. A confition de bien repérer l'endroi précis ou la charge devrait tomber, un spécialiste pouvait touche "au but".Mais c'était al"atoire d'autant plus qu'ilallait un guetteur pour donne le signal de tir. Nous n'étions ps emballé par ce plan dit BERTOLNI. C'est alors, qu'au curs d'une proenade - à la façon de paisibles passats - sur le trttoir d'en face de l'Elysée, nous constatâmes que toutes les fenêtres des maisons étaient brilamment éclairées. Les fnêtres du couturier Louis FERAUD notamment, éaient illuminées.. Nous eômrs la même idée, entrer et garder tous le monde prisonniers le temps de 'opération. Mais en constatant leva et vint chez Féraud, on s'aperçut qye c'était trop risqué, mais, l'idée était bonne si l'on trouvait un particulier solitaire habitant à côté.. Ils le trouvèrent dès le lendemain, en bavardant avec un ancienne A.F.A.T., prénommée Geneviève, et ex- secrétaire du Général SALAN en Indochin
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| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Atttentats. Lun 21 Mar - 14:22:54 | |
| Il existe au n° 88 du Fauvoutg Saint)Honoté, juse en face de l'Rlysée, un peti attelier appartenant à un peintre d'origine Russe, nomé PORTOFF. Il est rès âgé, mais il est toujors eavi d'accueuillir des visiteurs qui s'intéressent à sa peinture. Sn atelier est au 4 éme étage. De lafenêtre, la vue était splendide Le perron de l'Rlysée étalait sa magnificiense aux yeux de BERTOLINI et d'ENGLADE, devenus subitement des amaturs de peintures. ls échang§rent u regard satisfaut, tandusque le peintre, gier de ss 80 ans, lur gaisait honneur de sa colection. Passionnés en apparence, les deux jeunes loups, poussaient des cris d'admiratuin sans iublier de deander le pris des toiles. Tandis que BERTOLINI gravait dans sa mémoire la vue impressionnant qu'offrauent les deux fenêtres. ANGLADE bavardait avec le vieux. - Vous habitez seul ici ? demandair(il; et de l'oeil herchait le placard dans lequel il pourrait enfermer le peintre, après l'avoir baillonné et ligoté, le moment venu. D'un commun accord, ils estient qu'il sera indispenable de " Doubler" le tir: LIGIER tirera au bazooka, dont il est unvirtuose et ANFLADE utilisera la fusil à lunette.. Deux hommes en salopettes, portant des tableaux, seront chargés de neutraliser le peinre, et dèsque De GAULLE arrivera, le feu d'artifice commencera. - Je devais tirer le premier, dit ANGLADE, dès que leGénéral serait descendu de voiture, je devais tirer au fusil à lunette. En ême temp, IGIER ferai donner le bazooka Mais, au coursd'un brieging Marcel LIGIER, émet une idée. Puisqe De GAULLE, gait un voyage dans le centre, pourquoi ne pas le tuer pendanr ce voyage ? Ce serait plus facile ? Les autres ne sont pas de son avis . Aors, pourquoi pas à la gare d'Austerlitz au moment de la cohue d son attivée ?
A UIVRE
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| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Attentats. Lun 21 Mar - 19:15:11 | |
| Par acquit de concience, ils se renden à la gare, dont e commissaire est u pied-noir: FORSIOLI. Sans lui révéler leur présence, ls examinaient les liux et concluent rapidement à a difficulté d'une opération ponctuelle,étant donné le monde qui se trouvera là. il vont même jusqu') aller examiner une chambre dans l'hôtel situé en face de la gae. Non, dcidément cncluet'ils, l'appartement du peintre est le mieux. - Mais insiste alors LIGIR, obstiné, j'ain repéré, en venant ) PARIS, un petit bois désert, du côté ed'ESTAMPES. Et pisque BENOIT a rmené une douzainne de baton de cheddite, unecinquantane de mètres e filet une boitede détonateur...... Et ls voilà tous, évaluant cette nouvelle possibilité. Par le Cpitaine APUTO,un ancien offficier du génie, qui est en relation avecun personnage important de chez Citroën assurant l'entretiendu parc automobiles de l'Elysée, ils connaissent l'itinéraire exact du voyge de De GAULLE. Ils savent que le Général abandonnera la route à LIMOGES et arrrivera par train spécial , le 20 mai à 19H5O.ESAMES qui n'est qu'à une cinquantaire e kilomètres de PARIS, ils peuvent calculer à quelques minutes pès, l'instant où le train passera ans le prtit ois. L'affaire est tentante. Elle a l'avantage de doubler les chances de l'opération. 2 hommes pourraient faire sauter la voie, tandis que 4 autres s'occuperaient de l'action au fusil à lunette devant l'Elysée. - Douze batons ne suffirontpas,dit ANGLADE - Achetons des bouteilles de btane pour le camping: en expsant le butne a 7 fois plus de force que le plastc. Le lendemain 12 mai, ils se répartissent les achats. Vers 14 H ANGLADE,BERTOLINI,LIGIER et BIANCHI partent pour ESAMPES.afin d'eaminer la voie. Dans le cas ou cela serait possible de la pi"ger, ils se promettet d'y revenir la nuit. Tout lemonde est grave. On met la rado de bord de la voiture, qui moud de la musique. Soudain, alors qu'ESAMPES est en vue, un communiqué spécial leur appred que Fanfan LECAT a été arrêté à ALGER et qu'on le dit impliqué dans la préparation d'un attentat conre De GAULLE. les 4 hommes sont habitués aux coups dus, mais ls se sentent soudain découragés. L'arrestation de LECAT peut fornir aux policiers la filière et remonter jusqu'à Eux.
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| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: - Attentats. Mar 22 Mar - 13:07:24 | |
| Impossible estime ANGLADE, Fanfan ignore nos adresses.Je ne l'ai rensontré qu'au café d'Angleterre, sur es boulevard; depuis je n'y ai plus remis les piedespar précaution. Nous avns le champ libre. Ils poursuivent donc leurs taches, tous sont des bagareurs et saventdominer leur sentiment. Traversant le petit bois ou les conduit LIGIE, il y a 6 oies de chemin de fer: sur laquelle passera le traiin de De GAULLE ? - Aucune imporance di BERTOLINI, plaçons la bombe au milieu. Le train sautera tout aussi bien. Nous reviendrons cete nuit. A PARIS, où ils se rerouvent, ANGLADE donne l'ordre à BIANCHI de les laisser rue Finlay où se tiennent les autres. - Laisser moi aller jsqu'à mon hôtel, rue Ricer. a femme m'y attend. J'en ai pour une minute, et je vous reconduis re Finlay. D'accord? disent les autres. Ne trouvant pas de place pour se garer, ils ont une fois le tour du pâté de maisons, puis une seconde fois. Comme ses tours de pise risquent de durer, BIANCHI arrête la voiture à l(angle de la rue, descend et se dirige ers son hotel. Par pur réflexe ANGLADE e met au volant, carils peuvent à avoir à filer très vite. LIGIER et BERTOLINI sont à l'aeeère. La rue est parfaitement calme. Brusquement cest l trmpête. Plusieurs DS klaxonnent en même temps, débouchent de touscôtés, et bloquent toutes les issues de la rue.. ANGLADE s'appr$ete à bondir hors d la voiture; il sen un objt glacé sur sa nuque et une voix lui dit " Ne bouge plus". Les uns comme les autes, n"ont mêe pas drmes pour se défendre! ils restent aindi un quart d'heure sans bouger, puis..
A SUIVRE.
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| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: - Attentas. Mar 22 Mar - 19:04:07 | |
| Puis... Le ommissaire BOVIER arrrive, en compagnie d'un autr commissaire; toux dex montent dan la voiture et oblige ANGLADE à rouler direction quai des orfèves. Les trois hommes ont la rage au coeur; 24 heures de plus et De GAULLE était mort. Tout le long du trajet, ils se demandent comment la plice a pu les retrouver, ils avaient ptis le maimum de précautions, ils fouillntdans leur m"more: impossible de trouver la moindre autes de ler part. La vérité ce fut leommissaire BOUVIER qui la leur donna. C'est Fanfan LECAT qui lors de son arrestation, fut condui à la sinistre écolede poice de HusseinDey pour un inerrogatoire musclé.Qui est ton "patron" ui ont'ils demandés. Fanfan a vte réflchi son patron c'est Lo BIANCHI avec qui il habite, et il sait que ce dernier est en France, donc; hors de portée de la police, il peut donc révéler son nom et même son adresse à Alger. Les policiers s'y rdent, ne trouve riens, maisun lettre retiet leur attention une lettre "tendre" signée TANIA la fiancée de BIANHI, car la véritable raison du départ en francz de ce derier, est son mariage, mais les policiers l'ignirent bien entendu. Bref, BIANCHI s'était d'abord rendu dans le LANGUEDOC pour se marier, puis avait commenvé son voyage de noces en rejoignnt ses camarades de comat à PARIS. BIANCHI et sa femme sont arrêtés ' IDans le hall de l'imeeuble il avait remarqu se qui se passairt dehorrs)car il avait grimpé chez lui . Parmi ses conjurés dont certains étaient des commando Delta, qui étaient venus d'Alger pour tenter de délicrer DGUELDRE, et leur chef, n'étit autre que ..... Nicole GARDY, la fille du Général. L"opération se erminait donc par un fiasco t De GAULLE était toujorsvivant.
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| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: - Attentts. Jeu 24 Mar - 14:21:11 | |
| Bastin THYRI,apprend pr Maître TIXIER-VIGNANCOURT, que BELVISI est à Paris.Il demande delui fixer rendez-vous au cgé Corentin Poe d'Orlés pour le lendemain 16 heures. BELVISI a complèment hangé, grce à la chorirgie esthétique à laquelle il a été obligé d"acoir ecours, suite à un explsion. Basien THYRI, ne le reconnai pas, et illui apprend u'il a changé de nom de guerre, de " GERMAIN" il est devenu "DIDIER".et il n'a tujours pas bndonné l"idée d'abattre De GAULLE. BELISI,lui dit qu'il connait l'homme qui ourrait l'aider André CANAL. Un rendz-vous est pris pour le 24 mars, soit la veille du jour de l'arrestation à Oran du Général JOUHAUD. Le jour du rendez-vous, assis dans le caé, "DIDIER" s'nquiète de ne pas voir le " Monocle (CANAL), BELVISI laissé sur le trottoir pénètre das le café, la salle est déserte, il n'y a qu'un "Pasteru" accoudé au comptoir. CommeBELVSI s'apprète à ressortir, le Pasteur se retourne et dit simpleent: Bonjour, mon fils Vous chercez quelqu'un ? - C'étair André CANAL qui avaitadopté ce déguisement. - Prenez donc un chocolat, il est excellent ici. - Non merçi, mon père, je suis pressé, quelqu'n m'attend dehors. BELVIS sort en faisant un léger signe à "DIDIER". Quelques temps après, tous les trois se retrouent de Bastien THYRI et vont fair un tour; J'ai un projet di CANAL, , il y a des nombreus risques mis nous devons les courir. - Je suis de votre avis dit DIIER. Quelues jours pls tard, BELVISI présente un offcier à DIDIER, il s'agit d'Alain BOUGRENAY de la TOCNAYE, qui s'était rendu célèbre le 1 février 1962 en s'évadant de la "Santé". d(une fàon rocabolesque. Tous les trois, il commmencèrent ç mettre au polnt l'attentat du.... Petit Clamart.
A suivre
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| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: - Attentats. Ven 25 Mar - 13:39:38 | |
| Dans son corps menu, dissimulé derrière des lunettes, il y vait une étonnante réserve d'énegie.Il avait trouvé une cause à défendr , l"Alférie Française.Ul y a adhéré avec enthousiasme, ce qui lui a valut d'être déserteu, et qui lui a valu d'être art"t" au pied d'un cep de vigne, enoctobre 1061, par un soldat du 1er R.R.A. qui pri d'une subite envie pressante, du aller se soulager à l'écrt. Après un séhour d'un mois et demi àla maison d'arrêt de Maison)Carrée, il est transféré à la prison de la san à Paris, où il n'a plus qu'une idée en tête, s'évader. Les évasions de la "santé"sont rares, mais l'exemple de Léon DAUDET qui avait réussi dans les anées trente. Mas il fallait des complices, qu'i trouva dans des membres de l'OAS Métropole du Capiaine SERGNT et de son service action (O.R.O.) Grâce à un permis de visite truqué, destiné en réalité à son oncle, La TOCNAYE, reàu la vsite d'un authentique qui, dans s cellule le vieilli et le grandit avec des talonettes. Sur quoi, se faisant passer pour son propre cousin, i sort de la 6 éme divisin, nanti d'un faux permis de viite. Il réusit à passer les premoers barrages. Pour franchier les derniers, il prend dans ses brasun ravissant bambin qu'une épouse de prisonnier avait du mal à porter. Piquant les fesses du bbé pour l'inciter à brailler, il réussit ainsi à distrire l'attention des gardiens qui le laissent sortit à 17HO9 e 1 février 1963.. Dès sa sortie, fort réussie, d'une prison ualifiée " d'Hermétique" De La TOCNAYE, prend un nom de guete " MAX". et chercheà joindre un amo Jeaan BCHON, qu'il dait opposé à De GAULLE, et don e rôl a été al défini et trs peu conu. MX et BICHON, s'étaient rencontrés le 23 avril 1963, lorsdu pitsch des Généraux, et aaient éés présenté l'un à l'autre, par le Lieutenant DE LA BIGNE du 1 er REP.. A nter que Jean BICHON est l'homme que le "Vieil Etat-Major" a utiliser our recruter le Lieenant-Colonl Bastie THYRI. Au moment ou De La TOVNAYE sort de la prison, BICHON a relandé " DIDIER" (Bastien THYRI) pour monter une nouvell opération conre le chef de l'Eat, tout en mesrant parfaitement les difficultés de recrutement d'hommes décidés. Il fut confié à La TOCNAYE et BELVII de préparer l'attentat du Petit Clmart.
A SUIVRE
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| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Attentat. Sam 26 Mar - 13:40:34 | |
| BELVOSO apporte de s"rieux atouts qi ont noms : Georges WATTIN et Serge BERNIER sans compter 3 Hongrois et Louis de CONDE. Ils ont pour objectif: repérer le meilleur endroit pout tuer De GAULLE, par tirs direct avec des armes auromatiques. Ils savent, que depuis PPnt Sur Seine, De GAULLE se rend à Colombey en prenan un avion du GLAM (Groupement de Liaisons Aériennes Inistérielles) et que le seul moment ou il est vulnérable, c'est lorsqu'il se rend en voiture de l'Rlysée à Villacoublay, et de Saint-Dizier à Colombey. . Ne voulant rien laisser au hasard,Bastien THYRI gait relever les itinéraires minutieusement chaque week-end? dans le même temp il entretien des relations étroites avec un haut gradé, insttalé à demeure à l'Elyée et qui le renseigne sur tout les déplacements de De GAULLE. Grâce à so informateur du cabint du Général, il connait jusqu'au code secret utilisé dans le cortège par les agents de la sécurité. . Le 22 avril, deux jours aprs l'arresttion de SALAN qui le précipite dans sa décision , Bastien THYRI annonce à ses amis que, après avoir étudié longuemnt les rapports q'il a reçu il a décidé du lieu de l'attentat. Les rapports font ressortor que litinéraire le moins ariable dans le sens Villacoublay-Paris surun parcous porte de Châtillon - place d'Alésia - Avenue du Maine - les Invalides - Pont Alexandre III. Le plus étonnant est que le cortège Présidentiel ne se compose que de 2 voiures et qu'il se plie aux règles d la circulation. Pour le départ en avion à laérodrome de Saint-Dizir, il a éré difficile de savoir quel était l'vion qui emportait DeAULLE, car il y en avaient 2 et ils décollaiet à 10 minutes dintervalle. Après de multiples bsrvation ondécouvrit quel'avion emprtnt De GAULLR décollait très duvement, tandis que l'autre, décollait très sec.. Dès l'annonce de la décision de Bastien THYRI , BELVISI et De la TICNAYE mettent au pint lesdéails de 'opératio qui aura lieu avenue du Maine.
A suivr. | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: - Ttentats. Lun 28 Mar - 12:44:46 | |
| Le "Monocle" fournit ls armes : Mission III est ll seule à poséder un stock, ca ni Bastien THYRI, ni Jean BICHON ne son en mesure de les fournir.. Ces armes se composnt de :2 F.M. - 5 P.M. - 3 P.A? avec munitions ainsi que des grenades. Le tout est placé dancs une camionette que BELVISI,pour évite toute curiosité, va farer devant une casere de CRS au stade de la porte de Chatillon.. Des hommes sont également fournis : Georges WATTIN ditla boiteuse - Serge BERNIER,alias MURAT - le Honrois Lazlo VARGAS ( qui s'est battu contre les chars Russes à Budapest) - Lajos MARTIN, Hongrois lui aussi et ancien pilote De Mig et Yula SARI, ncore un Hongrois qui a combattu en Indochine - Louis HONORAT - Françis DE CONDE dit Petitou ainsi que 3 aniens paras , Alain éLa Pipe" - Gérarf "l Segent ainsique Christian. Le moment oportun se présente le dimanche 27 mai , il est confirm par l'informateur de l'Elysée que De GAULLE doirrentrer à Paris ce jour lç. Toute l"qupe connair le plan dattaque par coeur . Les voitures se tiendront avenue du Main avant la rue de la Gaité: les 2 camionette avec F.M. et P.M. au milieu. LA TOCNAYE sera dans la voitue de queue et, à laide d'un Talkie-Walkie, avertira BELVISI qui, dans la voiture de tête , sera prêt à emboutir le premier véhiculequi passera, afin de rovoquer un embouteilllage. L cortège Présidentiel , qui aura alors dépassé LA TOCNAYE se trouvera immbilisé à la hauteur ds camionetts, qui ouvriront le feu. LA TOCNAYE lancera ensuite des grenades par le toit uve-rant , fin d'empécher les hommes de la sécurité d s"approcher.
SUIVRE? | |
| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Attentats. Mar 29 Mar - 17:35:48 | |
| près réception du message du gueutteur de Saint-Dizier, les hommes du commando se renen dans divers cafés qui leurs ont éts assignés. Tandis que De GAULLE se trouve quelue part en l'air, ils bivent des cafés pour tromper leur impatience. Enfi, deuxième message - celui de l'autre guetteu qui se trouve à Villacoblay é De FAULLE vient d'atterur". Installé dans ses oitures , le commando démarre, traverse la place d'Alsia et commence à remonter l'avenue du Maie. La circulation est assez dense. Cela ne peut que faciliter l'opération:: L"embouteillage favoriser aussi bien le tir que la fuie des particpants. A la hauteur de la rue Vercingétorix, BELVISI, dans la voiture de tête, est surpris de n'avoir aucunenouvelle de LA TOCNAYE, qui esten queue.Nrmalement d'après les minutages, cet fois répétés, la voiture Pésidentielle devrait être là.Il appelle LA TOCNAYE avec sn talkie-walkie. - Que se passe t'il ? - Ren en vue - Certain ? - Certain. A la hauteur de la rue de la Gaité, à l'endroit ou la voiture de De GAULLLE devrait sr trouver, BLVISI rppelle LA TOCANE : - Tujours Rien ? - Toujours rien. Je ne comprend pas ? Les 4 votures des commandos, roulent jusu'àux Invalident, puis se dispersent. L'affaire est ratée p)r la faute d'un guetteur placé sur le prcours, et qui ne s'est pas aerçu que De GAULLE avait regagné l'Elysée par un autre chemin.. On ne sait la raison, mais plus tard,il y eus plusieurs arrestations dont celle e BELVISI., qu fut condamné et ne fut liéré qu'éprès mai 1968. Le conjurés durentattendr que l'informateur de l'Elysée contacte Bastien-THYRI.
A SUIVRE. | |
| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Attentats. Mer 30 Mar - 13:07:50 | |
| Le 6 août, LA TOCNAYE, tout bronz& après une campagnde pèche à la truite, rejoignait la capitale et retrouvait Bastien THYRI, qui lui revenait de Suisse. Cette rencotre n'était pas due au hasard. La visite du Général EISENHOWER à Paris était n effet prévue pourl le 8 août, et il tait évident qu De GAULL allait rentrer de Colomby pour l'cueuillir.Les choses érieuses allient donc recommencern. 7H30 du matin, peu de circulation à l'angle de la ru Vaugirard et de la rue de la convention. eaucoup de Parisiens sont en vacances; le métro ne déverse pas sa foule habituelle. Une camionette est arêtée en ace du métro - un estafettesRenault de couleur jaune. Au volant, un jeune hommed'une vingaune d'années lit un journal. Il sembl attendre uelqu'un. Deux agents de police passent à sa hauteur sns le remarquer: Ils ne peuvent se douter que le jeune homme se nmme Lazlo VARGA et qu'il dissimule une carabine américaine sous son siège,ils ignorent aussi qu' l'arrière de la camionete, 3 hommes sont dissimulés tenat 1 P.M.et 2 F.M.: Pascal BERTIN, Guyl SARI, et l'ancien éros de Budapest Lajos MARTON.. Plus loin, une Fiat Neckar stationne. Au volant un homme d'une quarantaine d'ann&es met en ordre des papiers et consulte ne carte, c'est Bastien THYRI. Vers 9 heures, un pett bonhomme s'approche du chauffeur de la Fiat et bavarde quelques insants avec lui. Bastien HYRI hoche la tête et appuie sur le démarreur. Lepetit bonhomme - LA TOCNAYE , travers la rue e ouvre la prtière d'une ID 19, il sasseoit au volant tandis qu'un homm monte à l'arrière et qu'un autre personnage -qui boite égèrement - se place à côté du chauffeur. - Nous venons de recevoir un coup de fil e notre informateur de Saint-Dizier; De GAULLE a ris l'avion. Nous allons nous poster en face du métro Bouciaut. Il y a lç un café où notre informteur de Villacoublay , nou appellera pour nous annoncr que De GAULLE a atterri e que le cortège est en route.
A SUIVRE. | |
| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Attrntats. Jeu 31 Mar - 12:28:19 | |
| Vers 11 heres, l'informateur de Villacoublay annonce le départ du convoi Présidentiel par l'itinéraire n° 1: Bois de Meudon - Pont de Sèves - Avnue de Versailes - Quai de Passy - Place de l'Alma - Elysée.Le compe à rebours est commenc. Le pln de Bastie THYRI, dix fois répété sur le terrin, est simple: La roue du Général De GAULLE et celle d commando se coperont dans le secteur du pont Mirabeau " o coule la seie" Il s'afit alors pour lecommando de passer le ont, de rouler doucement dans l'avenue de Versailles, de se laissser rattraper par le convoi Présidentiel et d'ouvrir le feu de l'arrière de l'Esafette, dès que la voiture du Général sera " cadrée " les 3 voitures du commano - l'ID en tête, suivie de l'Estaftte, la Fiat de Bastien THYRI fermanr a marche - roulent lentement dans l'venue de Vesailles. Suivant le minutage établi, la voiture de De GAULLE ne devrait pas tarder. Soudain les choses se précipitent. Au moment ou la voiture de Bastien THYRI, qui ferme la marche,est arrêtée par le feu qui passe au rouge, l convoi Présidentiel débouche en trombe, précédé par 2 motards. Mais au lieu de tourner ans l'avenue de Versailles, comme il avait accoutumé de le faire, il poursuit sa route par le quai Louis BLERIOT et disparait sous le yeux de Bastien THYRI , surpris par la rapidité des événements. Il n peut plus intervenir et se cotente de noter l'heure. 11 H 19. Il note aussi que De GAULLE se trouve dans la DS de tête, que la duxième DS est occupe par des policiers de la sécurité e que la troisième, conduit par le chauffeur du Général, est vide d'ocupants.. Lebouillant LA TOCNAE a compris la situation dans l'Instant.Il accélère et tente de se faufiler dans la circulation intense, pour essayer de rattraper leconvoi Présidentiel quil aperçoit loin devan. Très vite, l'Estafette est semée; mais l'ID de LA TOCNAYE parvient à remoner. Elle dépasse la DS des policiers,déjà elle est presque à la hauteur de la DS e De GAULLE. LA TOCNAYEdistingue les cheveux et la manche du Général. µ A SUIVRE. | |
| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Attntats. Jeu 31 Mar - 18:14:53 | |
| Georges WATTIN, tenant son P.M.sur les gnoux, baisse rapidementla vitre. Derrière, Louis DE CONDE en ait autant, tandis que LA TOCNAYE essaie toujours de se faufiler près de la DS présidetielle, qui roule à vive allure malgré les encombrements.
Au momnt ou il arriv presque à la hauter de la DS et où ses deux tireurs s'apprétent à levver leurs armes, une 4 CV, conduite par un jeune homme nerveux, s'interpose enre la DS de De GAULLE et l'ID de LA TOCNAYE qui, malgré ses efforts, ne parvient pas à coincer et à éliminer la 4 CV. WATTIN et DE CONDE sont prêt à tirer.
- On y va ? gronde " la boiteuse". - Non, aboie LA TOCNAYE. Il est trop de biais ! etil y aurait trop de dégats ! etpuis, nous ne pourrions pas filer !
A la hauteur du tunnrl du Trocadéro, LA TOCNAYE abandonne la poursuie
Ce n'est jamais que notre 17 éme tentative gémot'il
Ce ne sera pas la ernière;
a suivre | |
| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Attentats. Ven 1 Avr - 18:00:22 | |
| Le 22 août 1962 à 19H10 la DS PR2SIDENTIELLE EST AR2E DEVANT L PERRON DE L4Elysée. Madme De GAULE y a éjà pris ^mace à l'arrière côté gauche. Le Général descend les marches et vas'installer égaleme,t à larrière, côté droit. Sont présents le chauffeur habituel FrancisMARROUX, ainsi que le Colonel Alai De BOISSIEU, gendre du Général, qi remplace le Colonel TESSIERE, r il va loger à La Boisserie.Il y a une deuxième DS, occupée par lesservices de écurité. Les époux De GAAULLE, se trouvent dans la première DS, et le cortège s'ébranlevers la sortie de l'Elysée,prédés par eux motards. Dehors, la foule de badaus habituel pour apercevoir le Général. Mais, parmi ces badauds, il y en a u, plus pariculièrement inéressé de savoir dans laquell des deux DS se trouve le Général. Ayant contaté, il se drige vers un café e va directement au téléphone. A bar le Trianon, sur la vste avenue presque déserte de Petit-Clamart, letéléphone sonn. - Allo ?Monsieur PERRIN, oui il est là, je vais passer la communication dans la cabine. - Monsieur PERRIN, c'est l'appel que vous attendiez; allez dans la cabine. - Allo ! M.PERRIN à l'appareil. - Le représentant naional à Paris, a pris l'itinéraire n° 2, ily a 2 voiture. Il est en tête précédés de 2 motards. La voiture est imatriculée 5219 HU 75. Monsieur PERRIN raccroche et consulte sa montre: 19H45. Sans hête, il sort dubistrot alors que la pnombre commence à nvahir l'immense avenue. Le Colonel Bastien THYRI, alias DIDIER, franchit le seuil de l'Histoir.
A SUIVRE | |
| | | MICHAUX DCD
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| Sujet: - Attentats. Sam 2 Avr - 15:39:28 | |
| Au 3 ée étage du 2 avenue Victor Hugo à Meudon, la peite chambre meublée de Monique BERTIN est engumée: Une dizaine d'homes attendent. Un home se tient devant e rideau fermé dela fenêtre et, par un coin lgèrement relvé, oberv la rue. Sur le rottoir,en bas, un hommme s'arrête, jette un regard discret vers la fenêtre, pui déploie un jouenal. Lesignal ! crie le guetteur. Aussitôt, calmement, le commando s lçve et se dirige vers la porte. -Pas tous ensemble ! ordonne le plus petit du groupe. - D'accord, Max. Max, sort le premier, suivi d'un autre. Dans la rue, il sapproche d'une Simca 1000, Bastien THYRI est au volant. - Il doit arriver par l'avenuede la Libération, la R.N. 306, bonne chance.! - Cette fois, c'et la bonne. Devant eux, une Estafette et une camionette 403 passent. Max, se dirig vers une ID 19 dans laquelle il prend place, avec Jacques PREVOST et Georges WATTIN (l boitteuse). Max, alias LA TOCNAYE, démarre à son tour, tandis que la Simca a déjà disparu. Lorsqu'il débouche sur l'avenue de la Libéation, LATOCNAYE aperçoit Bastien THYRI éjà sorti de a Somca zt posté à 'angle d'une peite rue et de l'avenue.son journl à la main, à quelque pas d'un arrêt d'utobus. Lus loin, en direcion de Villacoublay, sur le côté gauche, la camionettte403 manoeuvre pour se mettre en position; u volant, le bleu de l'équipe Pierre MAGADE un jeune pied-noir, à ses côtés Louis DE CONDE et Pascal BERIN. Leur mission est de couper la route à De GAULLE. Encore plus loin à rès de 250 m de B.TG_HYRI , jusqte avanr une staion d'essance Antar, l'Estafett immaticulée 540 DM 89 fait halte, l'arri§re face aux voitures vnant de Paris. hommes sont à l'intérieure: Lazlo ARGA, le chauffeur Serge BERNIER, le chef de voiture, Gérard BUISINES et bles2 Hongris SARI et MARION. La nuit tombe lentement. BERNIER distingue à pine la silhouette de B. THYRI,qui parait très loitaine. Il est 0 H 05
A SUIVRE. | |
| | | MICHAUX DCD
Nombre de messages : 32771 Date de naissance : 11/11/1931 Age : 93 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 08/10/2006
| Sujet: - Attentats. Dim 3 Avr - 13:12:39 | |
| Page précédente, il faut lir :il est 20 H 05
Indos d'âne empêche BERNIER de voir parfaitement les voitures qui arivent , à travers les battants entrouverts de l'Estafette. Quelques voitures passent, veilleuses allumées. Un cou^le d'amoureux est tou près de l'ID, o^se trouve LA TOCNAYE et l"s 2 virtuoses du P.M. 20 H 08 , u autobu passe presque vide. L'ID est arr^tée rue du Château et ne doi intervenir que lorsque les premiers coups de feu auront étés tirés, afin de barrer la route à l DS de De GAULLE, si lle n'a pas déjà été stoppée. Ans le quartier, Jean-Pierre NUDIN patrouille, au volant de la 2 V prétée par la soeur de BERTIN. La DS Prsidentiele le dépassera , sera aperçue par Bastien THYRI qui fera le signal,puis sera "reçue" par les tireurs de l'Estafette, puis, "terminée" par les occupants de l'ID. Le plan est sans fissure, Tout a été prév, Minuté, répété, chaque détail a été calculé examiné, discuté et finalemet adopté. Les armes elles-mêmes, péniblemnt rassemblées, ont étés ssayées. Depuis des mois, le commando atend cette minue. Mais, au moment de l'action,aors que celle-ci approche à 99 à l'heure et se présentera dans quelqes secoondes, tousont le même doute: "Et si, une fois de plus, çà allait ratrer" ? Bastien THYRI, lui, est calme.Il a l'âme en paix: S'il a décidé de tuer De GAULLE, c'est pour le bien de tous. Sa propre vie ne compte pas, il n'agit pas par ambition, sinon il lui eus sufit de poursuivre sa carrière, à 2_35 ans,il est ingénieur militaire en chef t cevalier e la Légion d'Honneur, dans les milieux cientifique, il passe pour être le " Von Braun " Français. Bien connu en Amérique, il est méconnu en France, alors qu'il est l'inventeur des fusées Sol-Sol II.. Sa fmille:sa femme Genevive et ses 3 filles, il chasse ses papillns gris de ses pensées.. Debout près de l'arrêt dautobus, il scrute l'obscurité d'ou vasurgir la D noire....
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