- Les 31 attentats (ratés) contre DE GAULLE ,beaucoup ignorés des Français

Et oui, il y eus 31 attentas contre Lui, 5 sont connus et 97% des utres ont toujours étés ignorés par les Français. Je vais donner des résumés, carsinpn trop long. Certains noms sont cités.

- DAKAR fin 1944, le Généal De GAULLE, grimpe la coupée du croiseur "George-Leygues". l savoure sa revanche, car 3 ans plus tôt, alors qu'il approchait de DAKAR, il fu reçu à coups de canon tirés pard les marins Français du "Richelieu". A cette époque,il n'était encore qu'un petit général "félon" qui n'avait même pa protesté. - du moins officiellement - lorsque la Royl Navy avait détruit la fltte Françase de Mers-El-Kébir. Certains maris Français n'avaient pas oublié.
La Marseillaise éclate, il est 11 heure du matin.. De Gaull, au grde à vous écute l'hymne National. C'est alors, qu'à 30 mètres delui, un homme lève lenement sonmousqueton et le pointe sur la nuquedu Général.. Il s'appelle Heri B. Il est quarter maître à bord de l'air Fance III,un escorteur .
Heri B est de ceux qui n'ont pas pardonné Mers-El-Kébir et tiennent De Gaulle pour responsable
L'escorter, était tout proche du Georges-Leygues.:
: Henri B avait calculé quedu poste de plotage, il avait ne vue splendide sur le pont ou De Gaulle se tiendrait. Quelques secondes de concentration et son index sur la détente. A ce moment précis, la poe s'ouvre, l Quartier-maitre Jean G. egarde de'abord saisis puis comprend tout. - Tu est fou crie t'il, ne décnne pas et, il parvint à désarer Henri B.
De Gaulle ignorant qu'il avait échappé à une mort cetaine, continua son inspecton.
C'était le premier essaid'attentat contre lui.

On devait attendre 14 ans, avant que ne recommence es attentats.
Le 4 huin 1958De Gaulle débarque de son avon à Alger,il est accueuilli par le Général MASSU, auquel il dit - Vous avez été le torrent et la digue.! Après quelques visite, vers 19 H il se rend au forum devant un formidable rassemblement populaire qui l'acclame.; il y retrouve le Général SALAN et Jacques SOUSTELLE
. et d'autrs personnalité.
Derièere la foule, un ancien Pétainiste, quin'avait pas oublié le discoursde De Gaull à Brazzaville..
C'est un QAntiquaire, il est muni d'un fusil à Lunette, il a décidé d'abattre le Général, car il sait que celui-ci vendra l'Algérie Francaise.
De Gaull s'avance sur e balcon, lè ses bras comme il n a l'habitude. La foule hurle et sande son nom. L'antiquaire lève son fusil à lunete, il ise la t^te du Général, pose son doigts sur la détente,cade bien la tête du Gé&ral, so index sur la dérente,ilva appuyer sur celle-ci, lorsqe retentit u formidable " KE VOUS AI COMPRIS " 4ntiquaire est abasourdi , ol relâche doucement la détente tandis qu"une fomidablle clameur monte de la foule.
De Gaulle poursuit - Je sait e qu'il s'estpassé ici... Je voisce que vous avez voulu faire. L'antiquaire écoute médusé, la fin du dicours: c'est beau, c'est grand la France. Il y aurai donc une chace ? De Gaulle seraitl'homme que l'Alg&rie attendait ? Cette chance, si mince soit'elle doit être courue. L'antiquaire décide donc de laisser en vie le Gnéral
De Gaulle, n'a hamais su que cette simple phrase "Je vous ai compris" lui avai sauvé la vie

A suivre

Le 17 juin 195, De Gaule prend contact ç TUNIS avec les " rebelles" il signe des accords avec le gouvernemen Tunisien qui pourtant abrite la reellion.. Il n' pas changé. Les militants deJeune Nation comme les ancens Pétainistes de Marseille en sont eux,définitivement persuaés et décident à leur or de mettre fin la carrièredu Général. à lçoccasion de la vsite qu'il doit effectuer dans lacité phocéenne en novembre 1958.
L'attentat doit être exécuté eue de Rome,sur le trajet de la préfecture à la mairie. La rue es étroite et la foule y sera dense. Le commando de Jeune Nation chargé de l'aggaire, choisi d'opérer au poignard.
Il s'agit de créer un commencement de panique dans la oule,en faisant exploser des pétards et des bombes fumigènes qui prooqueront une énorme émission de fumée. A lafaveur de la cnfusion, le commando se précipitera sur la voiture découverte et assassinera le Généra/
La veille , pendant la nuit, les jeunes conjurés procède à la fixation d'une trentaine de pétards et de fuigènes dont la mise à geu sefera en série. La grosseur des engins leur interdisait de les porter sur eux au moment de 'action: les policiers nombreux,pourraent les découvrir et l'alerte serait donnée.
A l'abe, tout st en place. De Gaulle doit passer à 11 heures.
A 9 heures dumatin, un terrible orage, comme il en éclate parfois dans le Midi, s'abt sur la ville et noe totalement les fumigènes. L"attenta s'acève comme une blague de potaches.
Les choses sérieuses ne vont commencer que 2 ans plus tard.

Tout d'aord une parenthése pour les exparas du REP, bien que ce ne soi as le même.

Le 14 novembre 1960 à ZERALDA kours de l'enterrement de 1O légionnaires u 1 ze EZP apparenan ) la 1ére Cie du Capitaine SERGENT et ués dans une embuscade du FLN, Le Colonel DUFOUE , patron du régiment pronona un véritable réquisitoire ponctué par le goupilon de l"Aimonier DELAEUE.
Certes, le Colonel DUOUR étai assez mal noté t passait pour une forte ête. Iln"avait pas hésité à traiter publiqueme,nt De GAULLE de " Jeanne d'Arc " et, lors d'un défil de 14 juillet , il avait donnél'ordre à ses hommes de ne pasporter leurs décoratins. Mais son algarade donnait le ton: le Colone DUFOUR avit di tout haut ce que eaucoup d'officers pesaient tout bas.

Il fu muté en méropole,mais le jour ou il evait remetr le régiment son successeur e Colone GUIRAUD, la troupe rassemblée et GUIRAUD, l'attendirent en vain, DUFOUR s'était enfui en eportant le drapeau: du régiment.

NOTE? Je vais mantenan taper la suite desattentats, ici le nom est cité,

Une poignéede partisans de l'Algrie Française, conduite par le sous/officier l plus décooré de l'armé d'Indochine, l'Adjudan André ORSONI, décida d'intervnir en organisant l'enlèvemen du Président de la Eépublique.
Enagé à 16 ans dans la FranceLibre, il avait participé à la prise de Tunis avec la 8 ée armée Britannique. Pui il s'engaea sans les paeachutistes S.A.S., la guerre terminée, il continua sur sa lancée en Indochone puis en Algéeie. Il s'enflamma pour l'Algérie Française et, le 27 janvier 1960, 3 jours apr§s l'insurrction des barricades Il passa chez les insurgés avec armes et bagages et devint ainsi le premier déserteur sur le sol d'Algéri.
Lorsque les idurgés se rendirent,il les quitta t nanti d'un viatique de 800.000 francs que lui avait doné le père de LAGAILLAEDE, il s'istalla à Paris, dans laclandestinité ous le nom de Arcel NOUVEAU.
Mais, toujours aussi casczdeur, il se rendait chaque jour au restaurn de l'Assemblée Nationale où, o déjeaunasuccessivemen aec Pierfe VIGNEAU, député de MEDEA, JeanMarie LE PEN député deParis et  leBachaga BOUALEM vice président de l'assemblée. Tus le saluaientavec déférence ignoranttotalement qu'il "tai recherché par la police comme déserter "particlièrement dangereux".
Des amis dORSONI, lui reirent le plan exact de l'Elysée, un énorme lot de photos motrant le batiment dans sa totalité et prises ous tous les angles . L'armée de son coté lui fournit des arme et des compagnies organique, en tout 220hommes tous volontaires pour enlever l Chef de l'Etat. Le problème dit ORSINI, ce n'éai pas d'enlever De Gaulle, mais... ce que l'on allait en faire .Il contacta le Général FAURE, qui réépndait, e dois réfléchir, revoyons nous dans.. 15 jours
ORSONI fu déçu, ce délai pararaissai rrop long, srtout que beaucoup d'hommes étaient au courant du projet.. Ce dernier fut certainement évnté, car ; 24 heures plustard, le Comandant de'ARS (comploce) fut muté en caastrophe en Algérie, l'armement promis dispersés, es hommes dispersés. Si bien, que sans out cela ORSONI ne pouvait plus agir.
C'est d'utant plus dommage gémot ORSONI, car nous aions des complies à... l'intérieur même de l'Elyse

Arnau de FIRISTARZU reçu par ALAN, lui dit.
De GAULLE doit effectuer un voyage dans le sud-oues, certains de mes amis m'ont demad& si cen'était pas ue excellente occasion del'éliminer?
A cettesugggestin SALAN répond en donnant sn accord,devn SUSIN et lecapitaine FERRANDI/
- Comment allez vous procéder ?
- Mes amos ont l'intention de pacer une mine télcommandée sur le raout qu'il est obligéd'emprunter rès de Mont de Marsan.
- La rapport que 'ai entre les mains, di alors SALN dit que 5% des minesne sautent pas.
GERRANDI qui a longtemp travaillé avec le Général SALAN en Ondochine,hovhe la tête.
- C'est excactdot'il. Aissi mon Général, ai-je peut'être moeux à proposer. C'st un procédé que j'aiutilisé. Pour défendre no postes, nous placion des mines reliées à des fils posés en travers des sentiers et dissimulés sous le sable. Mais les viets avaent vie compris comment désamorcer: l'un d'eux,avancai à plat centre, en promenan une baguette à fleur de terre et, dès qu'il sentait une résistance,il svait qu'il sagissait d'un fil. Quandj'ai compris leur astuve, j'ai fait placer des obus de 75 peint n vert, dans les arbres de chaque coté de la route, et j'ai fait tendre les fils à 49 centimètres du sol. Le viet n trouvair rien avec sa baguette,mais il heurtait le fil et faisait tout sauter.. - Va pour les obus piégés dit SALAN
De toute faàon, si nous ne poucons montr cette opération, nous en avons une utre en réserve.
N ancien légionnaire nos a proposéde tuer DeGAULLE au fusil à unette, il nous a demandé 40 millions our çà. SALAN lève les bras au ciel : 40 millions ? mais c'est exorbitant !
GOROSAZU se râcle la gorge:
- Nous lui avonsremis déjà la moitié
SALAN reste les bras en l'air.
Le 12 avril De GAULLE passa dans le S.O. et rentra à PARIS en excellente santé.
SALAN déjeunait avec SUSINI, il demanda =De GAULE est renré à 'Elysée. ?
Bien sur, le canard est toujours vivant
Que se passa t'il vec les obus piégés ?? et ou est passé l'ancien Légionnire ??
:

Dès leatin du départ du 8 décembre 1960, les services de sécurité présidentielles avaoen réussi leur numéro de passe-passe habituel à Orly.Deux caravelles ideniques avaient été prévues afin de déjouer une tentative de sabtage.
De Galle débarque sans incident à ZENATA-TEMCLEN et monte dans un hélicoptère qui décole en directio de AIN-TEMOUCHENT, situé nà 80 km de ORAN.
Le Général descend de l'hélicoptère et monte dans sa voiure encadrée par deux motards CRS et suivie par celes des membres de sa suite, dont 4 gotilles ç COMITI, ESSIER, SASIA et DJOUDER).
Lorsque De GAULLR descend de voiture, c'est la gifle: 5000 personnes brandissat des pancartes: Alférie Francaise et hurlan " à as De Gaulle ", des sifflets, des ti ti ti , ta ta. Il est 11H15, il pleut.
Sans accorder un regar à la foule, il pénètre dans la Mairie,suivis de JOXE, MESSMER TERRENOIRE et des généraux ELY, CREPIN et OLIE. Quand il sort, unefemme crie " Alérie Francaise ", DeGAULLE lui répond - Mais bien sûr Madame. Il regagne sa voiture, il passe - à le toucer - devat le motard CRS qui l'escorte et se tient à la hauteur de sa porte.
Les goriles ignoraient et ignorent toujours, que le Généra n'est passé plus près de la mort; car c'est à cet intant précis qu'il devait être abattu, et l'homme qui devait trer était le motard CRS.
- J'étaissur ma moto, une SMEC Ratier 750, u côé de la portière droit, raconte le motard surnommé GERONIM. Le Général se trouvait à 85 cm de Moi, les gorilles regardaient ailleurs vers la foule. Le Général mpe fit un furtif sourire. Je rrai les dents, j'étai blanc de rage sous mon casque, car je n'avas qu'un gese à faire, sortir mon MA.C. 50 et l'abattre.. Je ne pouvais le panquer, mmai ma main resta sur la crosse, ILS n'avient pas voulu que je le tue
En efft, lorsque l Général avait descendu de sa voiure, GERONIM s'était éclipé pour téléphoner à SUSINI,qui a répondu : Pas question de le descndre maintenant. E effet, l croyai q:ue De GAULL jouait la comédie, et qu'en réalité, il voulait garder l'Algérie.
Hilair GERONMO, ne feut jamais autaznt déçu qu ce jour là.

Un motard chargé d'éliminer de Gaulle. - OAS - Histoire d'une ...
www.livresdeguerre.net/forum/contribution.php?index=19318&surl...
14 nov. 2005 - Le tueur prévu, Hilaire Géronimo, alors motard de l'escorte du général, a reçu l'ordre de ne rien faire de l'état-major FAF oranais, ce dernier ...
1960 Decembre - guerre d'a

Josepp RIZZA, zq un homme de Ban-ElOued, petit, trapu, la moustache fine, bref, un cisag que l"on ne remarue pas..
Il dit: - Il faut faire quelque chose. Alos il monte une &quipe Tireur étonnant et rapide,il ne manqe jamais sa cible. c'est un homm " sûr" .  
Qans on lui delan de s'il consentirai à abattre le Gnéral de GAULLE, il dit silplement:
- Quand et Où ?
Au pied des monts de Dajaet sans la valle de l'Oued Forra, près de ORLEANVILLE  ou le Gén&ral doit se rendre en visite.
Mais voilç, les services secrets de l'Elysée on eus vents d'un attentans, embuscae, sur la roue menant à ORLEANVILLE.. Pourtant Jo RIZA était aussi bien renseigné, car il a des antennes chez les rnseignements eux même,
; il sai que le Gén&ral doit emprunter cette route, il connai:t auussi l'heure de passage, i attend le doigts sur la détente.
Jean MORIN est assi dans la DSprésidentiele à côté de De GAULE., le délégué du gouvernement hésite encore à avertir le général, il voit ce dernier, assis droit et ipassible, alors il se décide.
- Mon Général,je suis très inquiete, selon nos services de renseignements, une embuscade vous est tendue contre vous près dORLEANSVILE, je vous supplie de changer d'itinéraire. De GALLE lui répond : - Vous n'avez pas à me demandr quoi que ce soit, MORIN, vous êtes le responsable du maintien de l'odre, Alors décidez.. Sans perdre une seconde, MORIN, se penche par la vitre et crie à la voiture qui pécède,, de prendre le chemin decrête qui contourne l'agglomératon.
Après quelques kilomètres la voiture entre en rombe dans la ville et s'arête devant la mairie..
L'hauee prévue de l'arrivée du cortège tant dépadsée depuis plusieurs mintes, Jo RIZZA a compris, - Allez es gars, on rentre dit'il simplement..
Le Général, Lui, a poursuvit son chemin de croix, le dimance main, après la messe, il doit se rendre à BLIDA ou400 officiers du corps d'Armée d'Alger l'attendent.

" La victoir de ka France en Alférie est acquise , di'om aux officiers en ajoutant d'utres boniments,
dns un silence total à eine roubé par le loteur lointain d'un petiavion d'obervation qui tournoie aux abords du terrain; le officiers écouten le " chef" leur développr sa politique coups de gtandsmots qui les ouchent: " honneur, conscience, patroe etc..."
- L"Alférie Algerienne àa besoin d'abord d cette monorité d'origine Grancise et... etc....
Aant dit, il prend ongé et se dirige vers LES hélcoptères de con escore.
A bord du petit avion , le piote voit sortir le Général, entouré dune nuée d'officiers.
Christan P.. le pilote de l'avion a 30 ans , de taille moyenne, le visage halé par lr doleil des plaes de Moretti. Cest un fils de bourgeois. Il est enthousismé par SUSINI et LAGAILLARDE, il s'engage à find dans la lutte pour l'Algerie Francaise. Les militairs semblent paralysr par De GAULLE, il faut donc leur forcer la main en élimonant le Général.
Christian .. a décidé a déidé qu'il serait l'jomme d destin.Il est détermoné, et tournoie donc au dessus du terrin de BLIDA
ZEn bas, un troupau d'Hélicoptères, où se trouve celui du Général ? il verra bien
Des hommes embarquent dans les hélicos, l'avion prend son dernier virage, por se présenter fac à lhélico d Général, mais, a cet instant précis , une nuée d'hélicoptères se lèvent en.. même reps. Christian P.. ne sait pas ouse rrouve elui du Généra.
C'est raté,bétement. I s'éloigne d terrain, yandis que les hélicoptères foncent vers l'Est.
Mais le lendemaon, De GAULL manqua un autre rendez-vous avec la mort) REGHAIA.

C'est dans tte ambiance explosive qu se poursuit l voyage du chef de l'Etat.
Le Lundi après-midi, un homme sort d'un immeuble à loyer du quartierde la redoute, ol s'agit du sous-Lieutenant Pierre DLHOMME, et s'appr^te à rejoindre son corps,le commndo de l'air 40, qu est au repose sur la base de REGHAIA ou De GAULLE est attendu.
Pied noir, marié à une Vietnamienne, il a été nommé sous-Liutenant au feu, tout come Roger DEGUELRE.. Comme la plupart des baroufeur d'Indochin, il a un complexe:celui 'avoir perdu là-bas, un morceau de la Frane., comme de plus, il est pied noir, ce comlexe s'est transféré sur l'Algérie, qu'il ne veut pasperdre non plus.
. Sortant de chez lui, il veut prendre sa voitue, mais celle-ci refuse de démarrer; il réfléchssait au moyen de trouver un autre véhicule, lorsque l'émeute gagna son quartier. Des Arabes postés sur les toits, tiraient sur es paras du 18 éme RCP de MASSELOT. Il ne peut donc rien faire.
Pour d'aures faits OAS, ol comparut le 2 septembre 193 devant le Tribunal miliaire, après que le Procureur Général ai requis la peine de mort contre lui, il demanda la parole et déclara :
Le 12 décembre 1960, sur la base aérienne de REGHAIA,
" Les commandos parachutiste de ll'air furent passés en revue par De GAULLE.. Des camarades et Moi devions abatre le Chef de l'Etat policuer. C'et par indéision que nous avons laissé là échapper une bonne occasion. A l'automne de 1951, ayant armé un commando qui devait l'abattre au ours de son voyage dans le Sud-Est de l'hexagone, j'ai manqué d'audace, en ne participant pas mo-même à l'action; de ce fait l'opération bien que mise au poin-t n'a pas ét tentée. Aonsi, puisque j'ai gillit à mon devir avec l'infamie, je mérié la peine de mort plutôt deux foi qu'une.
Il fut comdamné à la récusion perpétuelle, mais bénéficia d' amnistie générale en août 1968.
Pour De GAULLE, le vente allait de nouveau se lerver et c'état encore l'Adjudant ORSONI qui allait lefaire souffler, car ilavait analysé longuemet son échec d'enlvement.

Phoos de certains ateurs.dedits atentats : GERONIMO - Ju RIZZA

Sous-Loeutant DELHOMMO.

Appliquant un rocesus de pensée, OESONI, en arriva àla conclusion suivane : Puisqu'on ne svait que faire de De FAULLE prisonnoer, ol n'y avat quà le tuer.
Je savais que je ne pouvais pas mensortir, j'ai même appris apr§s que la police e les serices spéciaux étaient au courann de mon projet.
J'ai même menti au gars que j'avai recrutés, en leur affirmant que je dispserait de 300.000.000
de francs nous parager. Naturellement, ol n"y avait pas un centime et personne ne m'aai promis le moindre sou..
Ecaud&s par leur premier chec (l'nlévement à l'Elysée même) OIRSONI et son adjoint FUSIL,décidèrent de tenir secret le lieu et les modalités de lopératpn..
Plisieurs foisil parcoururent la route que De GAULLE empunterait pour retrer à Colombey , cherchant l'endroit idéal pour leur attentat. Ce qui séduisit ORSOI et FUSIL, c'était l'implantation des arbres au bord de la rute; un portion d'environ 500 m état délimitée par 3 arbres à u bout et 2 à l'autre but. Entre les 2 groupes d'arbres, un gros tas de gtaviers, la bombe pouvait y être dissimulée. L'attenat devait se dérouler suivant un plan très précis : Dès que lavoiture du Gnéral arriverait à hauteur d tas de gtavier, la bombe explosarait, mais en même temp, les 3 arbres de l'avan et le 2 de l'arri§re tomberaient surla caussée, le cortèfe serait ainsi "engermé" , un commmando de 4 hommes armée de motraillettes devait achever les survivant./
Toute l'quipe devait attendre dans une ferme la confimtion du départ de De GAULLLE de l'Elusée.. Le soir du 23 écembre tous le monde est en plae, i a été calclé que lecortège présientiel se présenterait vers 21 heures.
A 22 heures, riens, pas de coup de téléphone, 23 heures, ORSONI donne le signl de la dispersio. et serend chez TUPETOME qui devait donner le signa? quand ORSONI arrive, fou de rage, il l'interpelle, alors ue celui-ci estoccupé à préparer le sain de Noël.
- Tu ne nous a pas prévenu ?
- Non
- De GAULLR n'est pas parti ?
- Qi
- Il est passépar la National 19 ?
- Oui
- Mais enfin, pourquoi tu ne nous a pas pévenu ?
) Jen'ai paspu, je n'ai pas voulu que ce soit moi qui donne le signale de l'xécution.
- Tu me compreds, j'éais à Ondres comme ui, alors j'ai pas pu.
Les Ners à bout, ORSONI se met à pleurr
Ce soir là, De GAULLE passa à 110 kmH, devant le as de gaviers.

Après cet échec, la troupe des conjurés se dispersa, car ils n'avaient aunun apptui politique. ORSON ne désarma pas, il songea uninstan à platiquer l'Elysée par les égouts.En réalité, le coeur n" étaitplus. Et, la presion de la police devenait de pus en plus fortes.
Lorsqu'ilfut arrêté ORSONI ne dessera a les dens, n donnant aucuns noms.
Lorsqu'il comparut devant le tribunal, il ne parla même pas de ses décoration.
- Zn egget dit'l, un de me samarades avait dit aux jufes qu'il aait laLégion d"honneur; ols lui en ont collé pour 20 ans. Alors vous pensez, moi, avec mes 17 citatons !

Apeès ves épisods, les attentats séieux allaient commencer.

- Pont sur Seinr - Hyères - Petit Clamart.

Le général avait la baraka ........et les autres ...peut etre des charlots. :hrte:

jean.972 a écrit:

Le général avait la baraka ........et les autres ...peut etre des charlots. :hrte:

Peut'être mais pas tos - GERONOMO, on ne lui en pas donné l'ordre. l'
L'embuscade près d'Orléansville, si MPORIN ne décide pasde changer de route....
Le pilote du petit avion, allez reconnaire celui du Général, quand ils S'ELEVNT TOUSRNSEMBLE

Mais ans les HAUS CHEF d'OAS ou conhurés, il y en a qu se sont fait prndre, par manquede...... Jugrote.

- DEGUELDRE:; il est dansune réunion, des CRS fouillent unr maison.. vosine. L'es sous-Préfe ACHARD, dit, jr vais sortir, mes faux papiers sinen rgles. Il sort et passe. DEGUELFRE dit, mes papiers sont auss comme cux de ACHARD, donc... Il sprt, un gendarme l'interpelle, " papier SVP' DEGUELFRE les tend, et le gendrme voit laz.... photo, sans même relever la têe il di:t. Lieutenant DEGUELDRE, je vous arrêe.

SALAN : On vint lui présenterun.... Adjuant déserteur, et ce, dans sa cachee ) Alger. IL refixe rendez-vous au mêe Adjudant dans une semane et cde....AU MEME ENDROIT. , comme il s'agissait d'un daux Adjudant,mais d'un membre des forces de police, il est revenu, maos..... PAS SEUL.

- Le mardi 5 septembre 1961, une personnalié de l'Union Nationale des combattants, disons X, rentrant de vacances sans sa femme ni ses nfants, reçoit la visite d'un de ses ams ontimes, haut fonctionnaire de la police, qui connaissait ses activites pro Algérie Française:
- Je viens te prévenir que tu vas ^tre arrêer très prochainement. Le Monosre de l'Intérieur est au courant d'une opération qui doit avoir loeu dans quelques jours, il sagit d'un attentat contre E GAULLE.. Nous savons que sont imploqués2 généraux ( il ne s'gait ni de FAURE, noi de VANUEM, no de CREVECOEUR) 1 Volonel et 2 civils , tu est un es civils.
Il s'agissait d'un atentat qui alait peu de temps aprè faire du brui..
La personne de l'U.N.C. n'était pas au cournt du détail de l'affaire. X, connaissait bien les milieux clandestins de PARIS et prévint la Colonel visé par la police, ce dernier eus le temps de disparaitre la police ne connaissait pas son nom. Ils arrét§rent 2 officiers, qui n'avaient rien :ç voir:;encore une preuve de l'iduffisance d renseigneents.
Le chef des conurés Armand BELVISI.
Né à TUNIS en 1/926, cest un "pied noir" Tunisien. il a été recruté en prison, ou il se trouvait, ondané pourune affaire de hold-Up. Le comble, il même travaillé pour " le servoce spécial" de l'Ambassade de France à TUNIS, soit le S.D.E.C.E..
Après le Putsch d'Alger, ol entre dans un embryon deréseau connu sous le nomde "plume"il sera à nouveau arrêté et relaché 1 mois plus tard.
Alors, les choses sérieuses allaient commecer pour lui la semaine suivane.lorsquun certain AUBRY, garagise, qui lui fit rencontrer un autre personnage dot il tut le om

A SUIVRE

Le 24 huin une première mission lii est coniée. On lui remet un paquet contenan 2 pains de T?N.T., 2 détonnateurs et de lam§che lnte. Sur le paquet il lit : Librairie Maspero, la joie de lre, 20 rue Saint-Séverin..
On doir à la vérité, e dire, qu'il a amentablement raté cete premièe affaire: Le veilleur de nuit découvrie à temp la bombe et la lança sur la chaussée..
Mais pour les " recruteur" le test était valable.
Il fut convoqué devant l'église d'Alésia quelques jours plus tard.Un inconnu s'installe à ses côté dans la voiture et dit simplement: - Roulez.
Au bout d'un moment l'inconuu lui deanda -êtes vous prêt à participer à une grosseenreprise, Monsieur BELVISI ? Je ne peux pas cous dire de quoi il sagit, mais si vous acceptez, je vus mettrai en rapprt avec la peronne qui dirie l'opération. - Le meilleur d'entre nous/ Rendeez-vos fut pts pour le samedi suivant. - Devant l'Eglise Ste-Jeanne-de-Chantal, la porte de S Cloud, un homme sera là à 21 heues. Il est grand, il est blond, vétu d'un imperméble vert. Voici le mot d passe.
A 21 heures, BELVISI arrive au rendez-vous et aperçoi l'homme, il descend de voiture et s'approche.
- Vous attendez uelqu'un demade t'il.
Non, répond l'homme.
- Excusez-moi, mais vous ressemblez à un de mes mis qui s'appelle GERMAIN.
L'homme lui fair signe de la suivre, ils montent dans une 403 vertr, c'est l'homme qui concduit, ipassible, après un moment il dit, j'ai bsoin de vous dit'il silmplement. Il se dégage de li une grade autorité. -Je m'appelle GERMAIN, c'est tout ce que vous devezqavoir de moi., quand à la mission pour laquelle vous avez été choisi, voou la connaîrez ce soir: rendezvoous à minuit dans un peti village, ç 7 km après Brie-Comte-Robert, sur la Nationale 19/ en direction de TRYES. A la sortie du village, une DS noire immatriculée 5699 HZ 75 vous attendra; il y aura 3 homms à l'inérieur
En le quitant, GERMAIN lui a simplement dit:Les grandes choses, se font dans oe calme
Mis, vu sa méfiance cotumière, BELVISI a machinalemet noté le N°de la plaque de la voiture de GERMAIN.. BELVISI ui a un ami à la précture, va le trouver,pour lui demander le nom du propriétairede la voirure, disant que ce dernier lui a fait ne queue de poisson, et qu'il aimerat lui dire son fait.
Deux jours après, il reçvir son ami, qui ui conseille de laisser tomber, car il s'agit d'une personnalité importante, u haur gradé, onc pas faie d'histoire. Je n'en ferai pas dit BELVISI, dis moi smplement son nom.
- - Lieutenant-Colonel Bastien THIRY.

A Suivre.

BZLVISIse rend au rendez-vous fix& à monit.. I voit la DS dans les phares de sa voiture, il s'arrête et s"appoche. A l'intérieur, il y a 3 hommes. Il demane - Excusez moi messieurs , mais je cherche a route de JOGEBT )C'est touts droit, répond l chauffeur, sans buger la tête. - Merçi, vous n"êtes pas en panne ? - Ous attendons un amo - Quelle coincidence, moi ussi ! il s'appelle Manon. - Qui vous envoie ? - Germain. Le chauffeur tourne la tête et dit, je suis Manou, montez.. Une fois VELVISI dns la voiture, il désigne les dux autres - Dominique, Jean-Maec.
Manou démarre en direction de Provins. En réalité, les 3 compagnons de BELVISI s'appellent :
Henry MANOURY, Dominique CABANE de la PRADE ET Jean-Marc ROUVERE.
Les autres, sont au courant de ntre mission, unegrande mission. GERMAON a assez confiance en vous pour que je vous la révèle. Nous decons installer une bombe qui suppimera De GAULLE.
C'est la 24 jun, 6 jours après le 18 de célèbre mémoire. A DS travese le village et sarrête devant un tas de sable de AZ2 mètres de hat, qui se trouve su le côté gauche de la route, quelques mètres avant, un petit chemin , part à angle droit versle village..
La bombre sera placée sous le tas de sable, un fil de 400 mtres le reliera au système de mse feu qui sera planqué au pied de l'arbre , là-bas dans le champ. Cesera un déclencheur à bouton, actionné par 4 pules.
Les nuits suivantes sont consacrées à l'installation. BELVISI, sugg§re de faire curir le fil dans les orties. Souvent dérangés par les voitures qi passent dans l nuit, et balaie la campagne deleurs phares.
Dès le 2 ème soir, MANIYRY anonce son départ en vacances., elles sont prévues de longues ates et il semblerait curieux que je ne les pennent pas.Je te donne la bombe, à toi de jouer.
BELVISI, installe le matériel dns le coffre de sa voiture. La bombe est impressionnante et très lourde: près de 8O kg. Une boutille de butane transdormée.
Le premier contretemps se produit dans la journée du 30 juin: ils s'persoivent qu'il manque environ 39 mètres de il.
VELVISI demande à AUBRY de rencontrer GERMAIN.
- Vous pensez que cet attentat a des chances de réusssir ? demande d'abord GERMAIN.
_ J'en sui sûr, répond BELVISI
Germain lui promet le supplémentde fil, et lui fixe rendez-vous 2 jours plus tard.
Il lui remt le fil, rt avant de partir, ol pose sa maon surl'épaule de BELVISO et dit :
- Vous et moi, nous somme faits du même sang.

A SYUVRE

Dans la journée du lendemain, BELVISI et CAANE allèrent faire un tour su côté du tas de sable, pur vérifier, si en plein jour , on ne voait pas de traces de travail. Un choc les attendait: Un cantonnier brûlit les hrbes, à uevingtaine de mètres du petit de l'arrivée du gil
Les 2 hommrd lr drvrillent, et ce dernier, vers 18 heures rangent ses outils et part.
Le feu, s'est arrêté à une dizaine de mètres du fil.... Le lendemain matin, ç ce train là, ce sera la catastrophe, le fil sea découvert et l'on remontera jusquà la bombe et l'alerte sera donnée.
Il se rendent donc , sur les lieux ds minuit etv démontent tout le dispositifuiij
BELVISI,rencontre à nouveau GERMAIN au café Biard à la porte d'Orléns.
- J'aidécidé de chager l'endroi de l'opération dit'il, là-bas c'st trop risqué.J'ai prté mon choix sur un lieux plus a&qua: Du pointde la mise à geu, on voit la route sur 3 kilomètres. De combien d'hommes sûrs disposez-vos ? - Au moins 3,un ami qui travaille au garage avec moi, Bernard BARBANCE, et 2 Corses que 'ai connus a F.N.C.
- Il fauda en effet suffisammen de monde pour qu'un comando sit posté à 300 mètres du lieu de l'explosion; si De GAULLE réussit àpasser à travers l'explsion, il sera reçu pr 2 FM, des PM etdes grenades. Qu vous faudrait'il pour cette opértion ?
- Une voiture noire, des plaques d'immatriculation militaires, et des uniformes: Des militires passeront plus facilemnt au milieu de la panique, il me faudra aussi un ordre de mission en blanc,en cas de contrôle depolice.
- Je pense vous obteir tout cela, je vais en référer à mes supérieurs.
BELVISI se souvint de cette dernière pgrase, qui confirme que l'ordre 'abattreDe GAULLe, venai de plus haut qu'un Lieutenant-Colonel.
- Quelque chose d'autre, demanda GERMAON.
- Oui
- Parlez, Monsieur
- Madame De GAULLE, sera t'elle dans la voiture ?
Bastien TJITY posa un regard sur BELVISI et réponit :
- Elley sera
- BELVISI dit, mais nous n'avons pas le droit.......
- Nous avons tous les droits lorsu'il s'ait de sauver le payas, trancha leColonel.nous ne pouvons gaire autrement, Mme De GAULLE ne quite jamis son mari, comment toucher le 1énéral sans la toucher Elle ? Mes supérieurs et moi, y avons réfléchis. C'est la seule soution, et nous la d&plorons autant que vous.

A SUIVRE.

Le nouvel endroit, avait été choisi sur la commune de PONT SUR SEINE,au km 158 de la Nationle 10., peu avant le villagne de CRANCY.. A cetenroit, la route est rectilignesur 599 m en direction de PARIS et sur 2,500 Km e direction de TROYES.. Su le côté droit, il y avait un gro tas de sable, servant au sablage en cas de verglas.
L''endroit n'avait pas été choisis par hasard, une autre quipe (demeurée inconnue, car ppartenant au 3 Vieil Eta-Maor ") avair étudié les 4 itinéraires possible, cela pendant des semaines, et elles en était arrivée à la conclusion que les ointages effectués, donnaient 60 % de hanse à ce itinéraire..
BELVISI, s"occupa de récupéer les armes nécessaires, réservées au commando " d'accuil" AUBRY, lui fit rencontrer un mystérieux personnage surnome le " Tunisien" qui lui remit valises contenant 1 FM Bren, 3 M allemand, 1 Sten, 6 grenades et 1 colut 11/43 ainsi que les munitions.
A loccasion d'un e répétition organisée par BELVIS, ls mmbres du commandos arrivèrent en retard et l'un des éléments prévus, c'avéra trop " moi" . BELVISI, suggéra à MAQUNOURY de prendre sa plce, ce dernier n'aimas pas cela et s'en ouvrit à GERMAIN, en des termes tls que le Colonel décida d'annuler 'intervention du commando et e s'en tenir au seul attentat à la bombe..
La dessus, MAUNOURY annonca son épart en vacances, et laissa les autres s'occuper de la mise en place du dispositif..
2 jours plus tard, le 12 août, fait son rapport à GERMAIN.
L'essi aura lieu le 15 aoît, pour saluer le blocus de la bae de BIZERTE

A SUIVRE

CABANNE arriva en retard au rendez-vous fixé,il avairt eu mission de fabriquer la bombe au napalm,ol la harga dans la voiture e parcoururent les 158 Km, mais arrivé lç, une émotionles attendai; eneffet, une Jua 4 de la gedarmerie était arrêtée pès dutas de sable.. Ils pssent au ralenti sans êtrs inquiétés, ils vnt cacher la bombe dans le peti cimetière du vllage proche deCRANCY, derrièe la tombe imposante d'un ancien combattant fraichement décédé. Ils décident de vérifier pourquoi les gendarmes sintéressent à " leur tas de sable ", aant éventuellement de renoncer à cet endoit pourtant odéal.. BELVISI et CABANNE sans complexes arrête leur voiture à hauteur des gendarmes
- Bonoirmessieurs. On peut vous être utile ?
-Non, merçi, ce n'es pas la peine. Ils sont en train de vérifier les papiers d'un motard 10 mintes plus ttard, ils seront partis, il s'agissait d'un contrôle de routine.
L'installation peut alors commener.
La premre nuit, ils enterrent 150 mètres de fil. Le 31 aoît, l'instant vint de placer la bombe. A l'exception de MANOURY, personne ne connaissai e nom de lartificer ui avait réalsé l'engin. Il s'agissait d'une bouteille de propane de marque C.F.R. et de type A1. MANOURY avait affirm qu'il y avait :ç l'intérieur 43 Kgs de plastic; mais comme il estzit de la place, il avait bourré l'espace vide avec du papier. La bome installée dans son trou d sable, BELVISI introduisit le détonnateur Hercle dans le trou pratiqué sous a bouteille. Il enfona la tige aussi profondément qu'il le put dans le plastic.: ol ne restait plus qu'à brancher les 2 fils au dernier moment. A côté de la bombe, ils placèrent le bidon de napalm constitué de 15 litres d'esence, de 3 litres d'huilr de moteur fine et, de 2 Kgs de paillettes de savon. Au moment de l'eplsion, le napalm serait projeté sur la oute et constituerait un véritable barrière de feu.
Le dispositifs étant en place, restait à efectuer des essais, en plaàant au out du fil, au lieu de la ombe, des pastilles de Fulminae de mercure.
Martial d VILLAMANDY, chargé de la mise à feu s'inslla dans un peit bosque t et ROUVIERE se lança sur la route ) bord d'une DS noire à du 110 Km/H.. Au premier passage, VILEMAND trouva le bn repère, puis que les pastilles éclaèrnt à hauteur de la voiture.
- Gormidable, dit BELVISI. On rentre.

A SUIVRE.

"GERMAIN" fit savoir a commando que l'opération était prévue pur le 5 septembre et convoqua tous le monde dans un appartement du XV éme arrondissemen, le 4; cerans le voyaient pour le 1 'zez fois.
- Messieurs, je vous répète vos instruction, DOMINIQURse rouvera au café " L bon Roi Henry" à Nogent sur Marne et MARTIAL au " eu "beau Rivage". Un certain Monsieur PAUL appellera DOMINIQUE qui à son tours avertira MARTIAL sous le nom de monsieur Raymond, vous ganerez alors vos postes sur le terrain.
Lorsque le convoi sera en vue, DOMINIQUE qui sea à bord d'ne voiture postée non loin de là, fera 2 appels de phare et quittera aussitôt la Nationale pour rejoindre la D 52 et dispaaîre. MARTIALappuiera u bon moment sur l'appareil de mise à fu et quittera les lieux, en utilisant un vélomoteur qui se trouver là, afin de rejoindre sa viture cachée beaucoup plus loin.
VILLEMANDY se racla la gorge.
- Quelque chose ne vas pas ? demandaBastien THIRY.
- Pourquoi un célomoteur? je pourrais partir plus vite avec ma voiture.
- Hors de question. Vous utiliserez ce velo-moteur. C'est un ordre ç
Le Colonel se leva, imité par les autres.
- Messieurs, le sort de la France est enre vos mains.
Tut avaiit été prévu, il y avait un véritble relais de guetturs, qui ommencaient à le grille du Co, à la dortie de l'Elys&e. Un couple de "Promeneurs" $agés, devaient aertir le deuxième maillon de la chaine, dès que l convoi Présidentiel quiterait le palais. Le véritale problème c'était de déterminer dans quelle voiture du convoi e trouverait De GAULLE, car la sécurité Présidentielle dirigée par le commissaire DUCRET, changeait toujours au dernier moment, l'ordre des 4 DS identique. Le coducteur du Général était conduite par son onducteur fétiche Francis MRROUX ) côté duquel s'aseait le colonel TEISSIERE l'aide cemp du 2néral. Une 2 éme DStransportait le docteur ELAMARRE, le dédecin personnel fu Fénéral ainsi qu des hommes de la sécrité, la 3 éme voiture était réservée aux voyages officiels et la 4 émpe, dite "voiture fantôme", aux policiers. Aux derner momen, DURCEL fixait l'ordre du convoi.

A suive

L'observateur qi verrit sortir le convoi de l'Elysée devait ééphoner au premier elais en disant
- Je vous appelle au sujet de l'appartement. J'en ai troucé une. Il est au 3 ém étage.
Celasignifiaitque la voiture du Général se rouvai en 3 éme position. De reis en relais, ce renseignemnt devait arriver à VILLEMADY, qui savait alors quel était l'objecif.
Pour éiter un changement d'ordre dns e convoi, toujours possible, un renseignement supplémenaire éait ransmis, le numéro de la voiture du Général.
- L"apparement est payable au compant: 801.000 frs. Il suffisait de retirer les z&ros pui d'ajouter 1 à chaque chiffrepour obtenir le numéro de la DSprésidentielle: 912 come ce fut le cas. y
Le 8 septembre, in dmanda BELVISI au téléphone;
_ J'arrive pour le bridge comme convenu, annona une voix.
C'était en code, l'annonce qu le Général De GAULLE partait de nouveau pour Colobey dans la soirée, et que l'atenat allait aoir lieu, et, il devait réssir.
- Colonel TEISSIERE, e partirai our Colombey ce soir à 19H30.
-Bien mon Général, e le colonel prévint le comissaire DUCRET.
Près de 1.000 hommes sont sur pied de guerre: le commissire DUCRET ouvait logiquement se sentir rassuré.
Il e l'eît pas été, s'il savait qu'un officier à 5 galons renseignait les conjurés depuis l'Elysée même: le ver était dans le fruit.
A 19H49 exactement De GAULLE desced les marches du prron de l'Elysée suivis de Madam De GAULLE. Le chauddzur Francis MARROUX referme la portière arrière drpote sur le Général, Madame s"installe à côté de lui, le Colonel TEISSIERE s'installe devant àcôté du cauffru.,qui démarr lenement en direction de la grille du coq.. Dans la voiture suivante se trouvent, le commissaire DUCRET, le médecin personnel du Général et un gorille. dans la 3 éme oite, une ID, des policiers de la arde Républicaine..
Le convoi, précédé d'un "faux" convoi qui atend déjà le vrai à BOISSY-ST-LEGER - pase au pas devant quelques badauds, précédé d 2 motards. L'un des badaud se détache et e dirige vers la place du Châtelet e entre dans un café, prend e téléphone. L'opération est déclanchée..
Il est 20H45 lorsque CABANNE de LAPEDE, prend le téléphone au café du "bon Roy Henry"
- Ici monsieur PAUL
- Je vous ai trouvé l'appartement, ilest situé au premier étage,mais il vous faudra versr 801.000 gfrancs. Autrementdit, De GAULLR occupe la 1 ére voiture du convoi et elleporte le n° 912.

A suivre

CABANE saute dans sa voiture et va rejoindre VILLEMANDYà l'hôtl "Beau Rvage" Ils filent vers le lieu de l'opération: dans ses pharesCABANNE voit VILLEMANDY se diriger vers le petit chemin,il se poste alors au coin de la départementale 52 et de la Nationale 19; il n'a pus qu'à guetter le onvoi dans son rétroviseur
Martiel De VILLUMANDY est nerveux. Toute la journée, il a souffert d'une rafe de dents. Il arrive à la hauteur du buisson u est cach le vélomoteur: Il ralentit et hésite. Il devrait laisser sa Neckar à cet aendroit e utiliser le vélo moteur por gagner le bosquet, situé à environ 300 mètres de là,comme lui en a doné l'ordre Bastien THIRY. Mais VILLEMANDY estimr qu'il pourra fuir plus vite en voiture; il accélère et s'enfonce dans le petit chemin qui le mène au bosquet
Il effectue le branchement delappareilde mise à feu et attend.
A son volant, FrancisMARROUX fixe la route.Il l connait bien. Il sait qe derrière li, le Général la regarde aussi.
La DS roule à 110 Km/H, a route est droite.
Brusqueent, un bruit terrile : un nuage d'huile rt de sable jaillit de l'ombre. La voiture est déportée versla gauche, MRROUX tente de la reteni, mais un mur de flamme sz dresse devant lui. oute la route flambe. Il appuie sur l'accélérateur: la DS bondit
- Plus vite! dit le Général.
La DS s'enfonce dans les flammes. Elle traverse le mir de feu et, oujours plusvite poursuit sa route,dans son rétrovseur, il voit la barrière de feu s'éloiger et voit aussi le Général toujours aussi calme, Madame De GAULLE est aussi immobie. MARROUX regarde machinalement l'heure à s montre: 21H35. Quelques minutes plus tard la DS entre dans la caserne de l'armée de l'air ) ROMILLY et s'arrête.
MARROUX descen et examine la voiture. Le phare avant droit et le feu arrières sont casés. Le reste est itact.
Le Gééral descend à son tour, et sans un mot, monte dans ue autre voitre. Le Colonel TEISSIERE s'approhe et lui demande
- Tout va bien,mon Général ?
- Oui, Colonel, nous ontinuons
Escortée par des voitures de l'armée de l'air, il poursuit sa route vers Colombey.
La France Gaulliène continuait.