23 décembre 1953, il et un peu plus de 14H lorsque le GMC amenant les "renforts" pour le Bataillon
(3/5 REI) stoppe dvant le pc du commandant LIESTIENS, qui commane le Bton,en opération dan la région
de Thai-Binh. Une douzaine de légionnaires sautent du GMC, sivis dusergent/chef ROVERA et de Moi.
Nous sommes d'abord accueillis par oe capitaine HORA, qui nous depande nos nopms, puis prsentation au
commandant pour les affectations. Je me souviens maintenant, qu 3 légionniresb et moi-même, avons été affectés à la 12 me compagnie. Présentaion au lietenant VERCRUYSSE cdt la Cie, qui pm'afecté à l
4 éme section, comme chef de groupe FM et adjoint au sergent RISAVY (un Hongrois, je fait connaissance de mon froupe : lég. RECHT un Autrichien) tireur M - lég. FONTAN (Italien) chargeur -
MUGNOI supplétif Vietnamien) pourvoeur et (son no me revient) TUAN, un PIM '(Prisonnier Interné
Militaie) qui portent des chrgeurs. Puis je renconte d'autres légionnaires, es voltigeurs : Caporal
FERNANDEZ, Legs : STAUB - ORALEK - ERNST - VIAL etc..... la nuit se passe.
Le lendemain 24 décembe, la 12 éme Ie est désignée pour l'ouverture de route, car un convoi de ravitaillement oit passer, direcion An-Xa. Une Cie s'installe dans un vllage, une autre en prolonation de la route; c'est la capitaine HORA qui nous command. La route et même la rieières asséchée, est truffée de miners. Tout à coup, undes voltigeurs, un Espagnol, tombe dans un trou ou se trouvent 4 viets; il a le temp de crier pour donner l'alerte, alors les viets sortent de leur trous, et c'est un copmbat sauvage, le corps à corps, on tire à bout portant, on se bat a poignard. lesviets par radio donne l'ordre de se replier, le capitaie HORA hrle, Non: vous connaissez monaccent (il est Tchèqe- Ce
sont oles viets, nécoutez que ma voix, en avant. Jene sait pas combien de temp à duré cette bagarre,
mais si les viets ont étés refoulés en laissant de nombeux tués, hélas, le Ieutenant VERRUTSSE assez sérieusement blessé, des tués, dont un des légionnaire du renfort et d'autres, que jevenais à peine de fire la connaissance la ceille et dont je n'au pas pu retenir les noms.
Le soir, ma cie étai dans un des villages, c'était le réveillon, nus étions une douzaine assis autour d'un feu,un cochon avait été déniché, et occupé à cuire, et c'st alors, que 3 légionnairesAllemands, se irent à chanter : Stille Nacht,, beaucup d'entre nous avaient les yeuxhumides, car nous pensions ) nos camarades tués lematin même et qui seraient enterrés à Na-Dinh le lendemain, jour de la Noel. Et c'est pourquoi, epuis ce jour là, je n'aime plus et ne fête pas Noel.