Qui suis-je

Mon prénom est : Roland - j'étais Colonel - Je suis décédé d'un cancer.
J'ai fait la guerre d'Indochine - j'ai participé à une tentative de sauvetage qui n'a pas russi. J'ai épousé une Vietnamienne.
J'ai fait la guerre d'Agérie, et été quelques fois en opérationavec le 5° REI.
J'avais comme beaucou d'autres officiers, donné ma parole que la France n'abandonnerait pas les Algériens qui leurs étaient fidèle. Convoqué par le Ministre de la défense, je lui ai it que je ne renierais pas ma parole - j'ai été mis aux arrêts de forteresse. J'ai fait partie de l'OAS, j'ai été arrêté, je
me suis évadé de la prison de Fresnes - je n'ai pas été repris - je me suis exilé en belgique (Bruxelles) avec le Colonel GODARD.
Question : Quel est mon nom.

argout . gardy . zeller . broizat .
salut michaux je patauge

si je ne me trompe pas c'est bien le colonel godart qui dirigeait la dst a un moment ?

non le prenom a godart est yves
salut vanzini

christobald a écrit:

non le prenom a godart est yves
salut vanzini

ha ok merci christobald :bavo:et :x1:

Salut CHRISTOBALD et resalut VANZINI : :x1: :x1:
Non aucun des noms cités,
Oui GODARD érait le chef de la sureté à Alger
Je ne suis pas out à fait certain, mais ou je cite
" j'ai participé à une opération de sauvetage en Indo, je crois ?? que le
chef de cette"opération" (je ne puis en dire plus, car alors trop facile pour trouver) était GODARD. Mais, ce n'est pas lui qui en a eus l'idée.

colonel argoult . lui s'est évédé de fresne

Pour Information :
ARGOUT = était en Allemagne ou il a été enlevé par barbouzes
ZELLER = Général était en prison ave CHALLE
GARDY = était dans la nature

Confidentillement: J'en ai rencontré " par hasard " car certains des officiers se trouvaient à PROFONDEVILLE,(près de Namur) et le Gal SALAN est même venu à Bruxelles.
BROIZAT, je crois que c'est lui qu est entré au couvent
ou alors c'est LACHEROY.
et d'autres : CHATEAU-JOBERT dit Conan
mais ce n'est aucun de ceux là.
PS AGOUD ne s'est pas évadé de Fesnes, l'évadé, c'est celui dont je vous dempande le nom

:legio: moi je seche

Un indice : Colonne CREVECOEUR .

MICHAUX a écrit:

Un indice : Colonne CREVECOEUR .

donjuan

yves godart c'est lui qui commanda la colonne crevecoeur qui tentait de rallier dien bien phu

brvo munch ca aurais pus etre don juan :rigole: :rigole:

christobald a écrit:

brvo munch ca aurais pus etre don juan :rigole: :rigole:

:riresza: :riresza: :riresza: :riresza:

réponse : Don Juan = non - Casanova= c'est à voir ?
CHRISTOBALD, tu est sur la piste,
Celui quel'on recherche , je cois (lis bien)
sot il faisait partie de la colonne commandée par GODARD, et il aurait été son adjoint............. OU
souviens toi (bouquin) la Liaison des Paras de DBP, commandée par le Colonel LANGLAIS, partie en liaison avec des gars venu du Laos, il se pourrait que ce soit avec eux.
ou peut'être même les eux.
u autre indice : Sa femme Vietnamienne a écrit un livre qu parle de lui,
(quasi introuvable, car de 1973) le titre " PHUOC " et elle écrit de son nom de feme marié= Marie Thérèse ....... (nombre point = nom)

colonel de crevecoeur . merde j'aurai dus faire tilt de suite :x17:

Et bien voilà, bravo CHRISTOBALD,
oui le Colonel VAUDREY.
tu l'a méritée :tasse 47: et comme t'est pas Suisse, je bois avec toi :mich:

Ben qu'est-ce,?????
Je te dis oui, car il me semblait avoir lu que tu donnais le nom de VAUDREY
et je le vois pas ???
Pourtant je ne suis saoul.
ou alors j'ai la berlue .
:calva: un petit pour me remette les idées en place

c'est vaudray alors savais pas . t'a pas abuser de le leffe :paix: :paix: :rigole: :rigole: :rigole: :rigole:

Colonel Roland VAUDREY

Ce numéro est dédié au Colonel Roland Vaudrey qui défendit l'Occident d'Hanoi à Alger, des camps viets aux prisons gaullistes, de l'armée coloniale à l'armée secrète,
et qui mourut en exil mais libre le 15 janvier 1965

Commandeur de la Légion d'Honneur, Croix de Guerre 1939-1945
Croix de Guerre T.O.E. (Indochine), Croix de la Voleur militaire
Croix de guerre vietnamienne, 17 citations à l'Ordre de l'Armée

VAUDREY NOTRE AMI
Je n'oublierai pas ce lundi 18 janvier ni ce déjeuner, curieusement situé rue de la Santé, où nous devions nous retrouver quelques-uns avec Bernard George, Michel de Saint-Pierre et Paul Dehème. C'est ce dernier qui m'apprit la nouvelle, parue le matin dans la Lettre Confidentielle, que j'avais, pour une fois, omis de lire. Il me tendit un carton, bordé de noir: le colonel Roland Vaudrey venait de mourir, en exil.

Nous ne sommes pas les bateleurs de nos morts, et plût au ciel qu'ils soient vivants, Degueldre, Piegts, Dovecar, le colonel Bastien-Thiry, le commandant Casati, et maintenant le colonel Vaudrey. Mais nous ne pouvons pas les laisser partir sans un mot, sans un signe d'adieu, nous ne pouvons pas ajouter le silence à la terre qui les recouvre.

Raoul Girardet; Jacques Laurent et Jean Brune avaient connu le colonel V audrey en Algérie, quand il y exerçait un commandement sur la presqu'île de Collo. Chassé d'Algérie avec le colonel Romain-Desfossé par une décision significative et élogieuse du pouvoir gaulliste, il devait tout naturellement retrouver ceux qui, à Paris, venaient de fonder « L'Esprit Public » et que j'ai nommés. Je le vis pour la première fois, un samedi matin de décem.bre ou de janvier, dans le bureau modeste où Henry Smadja, le directeur de « Combat », avait bien voulu abriter notre feuille anti-conformiste. Nous nous préparions sans moyens, sans argent, à la bataille, à la défaite du Référendum. 1'audrey frappait par la clarté de son regard par la résolution de son caractère. Malgré une situation de famille lourde et difficile, il n'était pas de ces officiers qui mettent dans les balances de leurs devoirs des considérations de solde ou d'avancement. Je crois qu'il était sorti du rang : de toute manière, ses qualités étaient populaires, et j'emploie ce mot, sans restriction ni démagogie, dans son sens le plus fort et le plus noble.

Arrêté Avenue Kléber, au matin du Putsch, et compromis dans ce que la police a appelé le Complot de Paris, il n'était pas homme à accepter la détention. Les conditions de son évasion sont peu connues, mais elle fut spectaculaire. Il rejoignit en Algérie l'armée de l'ombre. Il évita une nouvelle arrestation et, après la victoire commune des Présidents De Gaulle et Ben Bella, prit le chemin de l'exil. Atteint d'une maladie impitoyable, on imagine quels turent ses derniers mois, loin des siens et de sa patrie.
Pourtant, ni il ne désespéra ni il n'abandonna. Sa contribution spontanée à « L'Esprit Public »(ce n'était pas nous qui étions allés le rechercher. Où et comment ? Il nous envoya son texte par la poste) prouvait qu'il n'était pas résigné, et qu'au milieu de tous ses soucis, ou plutôt au-dessus d'eux, celui de la nation asservie, trompée et malade, l'obsédait encore.
L'ami qui entoure de soins une voisine très respectable et affectionnée me rapporta que dans l'église de Bruxelles où eut lieu la cérémonie religieuse due au Colonel, les orgues jouèrent la Marseillaise et que les employés des Pompes Funèbres se mirent au garde-à-vous. Seuls, ceux qui n'ont pas connu l'épreuve glaciale de l'exil ou ceux qui, ne l'ayant pas connue, manquent d'imagination, peuvent rire ou sourire de ce détail. Je le dédie aux autres.
Roland Vaudrey repose maintenant dans la terre de Reims.
Il aura ainsi manqué au tableau de chasse du général Debrosse et des policiers français. Comme Jacques Isorni le proclamait à la face du substitut du Procureur de la République qui venait de requérir contre lui, je ne souhaite pas que les prisons qu'il faudra ouvrir et vider se remplissent de nouveau (une bonne douzaine de cellules suffira), mais je rêve que tout ce joli monde de généraux et de poulets soit un jour contraint - je dis contraint - de faire les pèlerinages des cimetières où dorment leurs victimes. Et qu'ils restent debout, tête découverte, de longues heures. Et que s'agenouillent ceux qui savent. Et que le rouge de la honte leur monte au front, dans le vent glacial du jour d'hiver que nous aurons choisi pour ces cérémonies expiatoires. Et qu'ils se taisent. Et qu'ils repartent, les mains moites d'une peur inutile, leurs visages de cafards enfin démasqués et décomposés, retrouver la chaleur de leur petite existence médiocre.

Mais c'est magnifique cela,
c'est de qui et paru dans quoi ? car je ne connaissais pas, à part le livre écrit par sa femme Vietnamienne sous le nom de :
Marie-Thérèe VAUDREY, donc titre:"PHUOC" La maison du bonheur.
J'ai le livre ou l'on parle son évasion,c'est dans : soit :
- La fronde des Généraux de J. FAUVET et J.PLANCHAIS
- Je veux la tourmente = ex Capitaine J.M. CURUTCHET = ex OAS
- La décadence,l'imposture et la traédie. = A. ARGOUD = ex Colonel.
- Ojectif De GAULLE = P. DEMARE et C.PLUME.
:x1:

trouver sur un site en tapant colonel Vaudrey avec geogle . je fais une recherche

voila ta reponse . bonne soirADIMAD Association Defense Interets Moraux Anciens Detenus A.D.I.M.A.DCe numéro est dédié au Colonel Roland Vaudrey qui défendit l'Occident d'Hanoi à Alger, des camps viets aux prisons gaullistes, de l'armée coloniale à ...
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ée michaux .

Oui c'est vrai, j'ai déjà cherché dessusle nom de deux officiers que j'ai eus comme Cdt/adjoint et Cdt de Cie : G. DESFETES et A.MILLIEN, mais riens
par contre si tu tape Loulou MARTIN il y est et d'autres comme Alin de STABENRATH du 1 er BEP.

suis en train de taper une anecdote que je mettrai demain sur le forum .te souhaite good nigth . moi je vais m'ouvrir une autre leffe brune pour me donner du courage