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| quesque ceci | |
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nelson
Nombre de messages : 13975 Date de naissance : 09/08/1974 Age : 50 Localisation : biarritz(64600) Date d'inscription : 24/02/2007
| Sujet: quesque ceci Jeu 4 Sep - 21:39:34 | |
| Pays Type : Equipage : Armement : maximum 45 mm. Dimensions : longueur : largeur : hauteur : Poids : Pression au sol : Moteur : Performances : vitesse sur route : autonomie. obstacle vertical : coupure franche : pente : Temps de service : | |
| | | NENESS
Nombre de messages : 45326 Date de naissance : 16/08/1948 Age : 76 Localisation : MARCK Date d'inscription : 21/04/2007
| Sujet: Re: quesque ceci Jeu 4 Sep - 21:44:29 | |
| 1935 CHAR RENAULT R 35 En 1933, pour assurer le remplacement des chars Renault F.T. de la Grande Guerre, l'autorité militaire mit à l'étude un char de six tonnes ayant les caractéristiques suivantes : - Équipage de 2 hommes. - Armement constitué par une mitrailleuse de 7,5 mm, ou un jumelage de même calibre, ou un canon de 37 mm CS. - Masse : 6 tonnes dans le projet initial, portée à 8 tonnes le 22 mai 1934 avec l'adoption d'un blindage de 40 mm au lieu de 30 mm. Ce chiffre devait représenter la masse à pleine charge mais sans l'équipage ni les munitions. - Vitesse maximale : 15 à 20 km/h. - Autonomie minimale : 40 km. - Pente maximale franchissable : 65 % . - Possibilité de manœuvre sur des pentes de 40 %. - Stabilité transversale sur des pentes de 60 %. - Franchissement de gué de 1,20 m. - Franchissement d'une tranchée de 1,70 m. - Encombrement minimal. - Chenilles entièrement métalliques. - Pression unitaire sur sol dur : 4,5 kg/cm². - Pression unitaire sur sol mou : 0,6 kg/cm². - Garde au sol minimale : 35 cm. - Moteur à essence ou gas-oil fonctionnant quelle que soit l'inclinaison. - Autonomie de fonctionnement sans ravitaillement : 8 heures. - Deux réservoirs de carburant capables chacun d'assurer au moins une heure de marche. - Allumage par magnéto ou système mixte. - Thermomètre d'eau. - Rayon de virage : 4 m - Freinage sur 3 m et permettant la manœuvre du char à 10 km/h sur une pente descendante de 40 %. - Épaisseur maximale du blindage : 40 mm. - Cloison pare-feu étanche. - Facilité d'accès aux organes mécaniques. - Deux issues pour l'équipage. - Ventilation efficace. - Surpression interne de plus de 20 mm d'eau par rapport à l'extérieur. Quatre constructeurs participèrent à l'étude de ce nouveau matériel : Renault, les Forges et Chantiers de la Méditerranée (F.C.M.), Delaunay Belleville et la Compagnie Générale de Construction de Locomotives (Batignolles-Châtillon). Le premier prototype présenté à la commission d'essais des matériels automobiles de Vincennes du char Renault ZM comportait un blindage de 30 mm comme prévu par le programme initial. Le général Velpry, inspecteur général de l'arme blindée, demanda presque immédiatement que ce blindage fut porté à 40mm. Le train de roulement de cet engin était dérivé de celui de l'A.M.R. Renault ZT modèle 1934. La longueur du char était de 3,85 m, sa largeur de 1,78 m et sa hauteur de 1,92 m, avec une garde au sol de 34,5 cm. Sa masse, de 7 150 kg pour le prototype avec blindage de 30 mm, atteignit 10 tonnes avec le blindage de 40 mm. Le moteur, un 4 cylindre 120 x 130 développait 85 CV à 2.200 tours/minute. Le char fut expérimenté à Vincennes en janvier 1935 par le colonel Keller, futur inspecteur, général de l'arme blindée, puis au camp de Mourmelon, où, du 30 avril au 30 mai 1935, il fut passé au crible par la Commission expérimentale de l'infanterie. Selon un rapport en date du 21 mai 1935, le prototype fut considéré comme "efficace pour l'accompagnement de l'infanterie". Seule la tourelle nécessitait quelque mise au point et les expérimentations nécessaires se poursuivirent. Lors de sa réunion du 9 avril suivant, le Comité consultatif pour l'armement décida l'adoption immédiate du char Renault ZM à blindage de 40 mm et armement double nommé le "char léger modèle 1935 R". Une première commande de 300 exemplaires fut passée le 2 mai 1935 à la direction des armements avec, pour objectif, de commencer au printemps 1936, le rajeunissement du parc des blindés légers. Cette décision se heurta à de nombreuses difficultés car le char Renault était bien loin d'être au point. La technique Le R 35 était un véhicule blindé chenillé dont la caisse comprenait 3 sections usinées par fusion et assemblées par boulons, avec un fond de protection en tôles. L'équipage comprenait le pilote, assis à l'avant à gauche, et le chef de char-tireur, assis sur une sangle suspendue au centre de la caisse, à l'intérieur de la tourelle rotative. Le moteur était monté à l'arrière du flanc droit, avec le radiateur sur sa gauche. L'embrayage et la boite de vitesses étaient incorporés au moteur. La force motrice était transmise de la boite de vitesses au différentiel logé à l'avant de la caisse par un arbre à joints de cardan. Ce différentiel entraînait les barbotins par deux demi-axes et des couples réducteurs cylindriques contenus dans des boîtiers remplis de graisse lubrifiante. Les organes de propulsion externes et la suspension comprenaient les deux barbotins. antérieurs, deux poulies de tension à l'arrière, 10 balanciers montés sur pivots fixés aux flancs du char, et portant cinq galets caoutchoutés de chaque côté. Six amortisseurs en caoutchouc maintenaient constamment la pression des galets contre les gorges des poulies. Ces dernières comprenaient deux chaînes à double rangée de dents qui couraient sur deux galets de soutien. Comme armement, le R 35 avait donc un canon semi-automatique de 37/20 jumelé à une mitrailleuse de 7,5 mm, modèle 31, de la manufacture de Châtellerault, tous deux montés dans une casemate ménagée sur la paroi avant de la tourelle rotative. L'emploi Au début de la Campagne de France. l'armée disposait de 945 chars de ce type, plus 243 autres outre-mer. Le Renault 35 se caractérisait à son époque par un blindage sérieux mais aussi par une indiscutable lenteur. Son chef de char à la fois pointeur, tireur et chargeur de ses pièces, était surchargé de travail. Son optique, son habitabilité et son armement se révélèrent nettement insuffisants. Longueur : 4,02 m. Largeur : 1,87 m. Hauteur : 2,13 m. Vitesse : 19 Km/h. Poids : 10,6 t. Équipage : 2 hommes Bataillons équipés du Renault R 35 : 1er, 2e, 3e, 5e, 6e, 9e, 10e, 12e, 16e, 17e, 20e, 21e, 22e, 23e, 24e, 32e, 34e, 35e, 39e, 43e et 44e BCC | |
| | | nelson
Nombre de messages : 13975 Date de naissance : 09/08/1974 Age : 50 Localisation : biarritz(64600) Date d'inscription : 24/02/2007
| Sujet: Re: quesque ceci Jeu 4 Sep - 21:47:00 | |
| ok ok ok neness magali coca tout bon bon après le tiens je t'en un et a giant chaud il faut que tu paaaas | |
| | | nelson
Nombre de messages : 13975 Date de naissance : 09/08/1974 Age : 50 Localisation : biarritz(64600) Date d'inscription : 24/02/2007
| Sujet: Re: quesque ceci Jeu 4 Sep - 21:49:13 | |
| je rajoute ca il y a des info en plus Pays France
Type : char léger.
Equipage : 2 hommes.
Armement : un canon de 37 mm ; une coaxiale de 7,5 mm. Blindage : maximum 45 mm.
Dimensions : longueur : 4,2 mm ;
largeur : 1,85 mm ; hauteur : 2,37 mm.
Poids : 10 t. Pression au sol : 0,67 kg/cm2. Moteur : Renault 4 cyl. à essence, développant 82 ch à 2 200 tr/mn. Performances :
vitesse sur route : 20 km/h ; autonomie. 140 km ; obstacle vertical : 0,5 m ;
coupure franche : 1,6 m (barres de soutien comprises) ;
pente : 60 %. Temps de service : introduit en 1936 dans l’armée française, au feu jusqu’à l’armistice de 1940. Egalement employé par l’Allemagne, l’Italie (qui recevait les chars de l’Allemagne). la Pologne, la Roumanie. la Turquie et la Yougoslavie.
En 1934, l’infanterie française lançait un appel d’offres pour un nouveau char léger devant remplacer les très nombreux biplaces Renault FT-17 datant de la Grande Guerre et toujours en activité (en fait ce char devait rester en service dans l’armée française jusqu’en 1940 et dans l’armée allemande pendant quelques années encore).
Le nouvel engin devait peser 8 t, avoir un équipage de deux hommes et une vitesse maximale sur route de 20 km/h, son armement devait consister en deux mitrailleuses de 7,5 mm jumelées ou en un canon unique de 37 mm, et le blindage atteindre l’épaisseur maximale de 40 mm.
Quatre sociétés soumirent des dessins : la Compagnie générale de construction de locomotives, Delaunay-Belleville, FCM et Renault Le modèle Renault désigné Renault ZM (ou R-35) sortit vainqueur du concours et la commande pour les 300 premières unités fut placée en mai.
Le prototype était armé de mitrailleuses de 7,5 mm jumelées sous tourelle ; les modèles de série allaient s’en écarter par de nombreux détails. Le train de roulement dérivait d’un autre véhicule Renault l’Automitrailleuse de Reconnaissance 1935 Type ZT, déjà déclarée bonne pour le service.
La production du R-35 se situa entre les 1 600 et 1 900 unités ; à la déclaration de guerre ce char était le plus répandu de tous les blindés français et, de plus. souvent exporté. En mai 1940, les formations de première ligne comptaient 945 chars R-35/R-40, parmi lesquels 820 en dotation organique des armées et 135 autres à la 4e DCR (Division Cuirassée de Réserve). Comme ils étaient prévus pour le soutien d’infanterie, leur manque de vitesse sur route ne leur permettait qu’une mobilité stratégique fort réduite.
Le candidat soumis par FCM en réponse à l’appel d’offres des années 1930 fut également adopté sous la désignation de Char Léger Modèle 1936 FCM mais, en 1940, la fabrication se limitait à 100 unités. de quoi armer deux bataillons seulement. Le char FCM surpassait le’R-35 en vitesse et surtout en autonomie. Le moteur diesel développait 90 ch et la suspension était similaire à celle employée sur le Char 81. La coque était en acier corroyé. à cet égard. le véhicule représentait un progrès certain. Le poids en ordre de combat était d’environ 10.5 t. Certains de ces FCM furent convertis en canons automoteurs après l’invasion allemande.
Comme sur la plupart des chars français, la coque du R35 était faite d’éléments coulés assemblés par boulonnage. Le poste de conduite était à l’avant légèrement déporté vers la gauche, avec une écoutille à deux panneaux l’un s’ouvrait vers l’avant l’autre vers le haut la manoeuvre de ce dernier vantail étant assistée par un piston hydraulique.
La tourelle APX, au centre de la coque, était identique à celle des chars Hotchkiss H-35 et H-39. Le chef de char avait sa coupole mais entrait dans la tourelle par une trappe arrière qui. abaissée, pouvait également lui servir de siège lorsque le char n’était pas en action. L’armement principal consistait en un canon SA 18 de 37 mm, flanqué d’une coaxiale de 7.5 mm L’emport en munitions était de 30 coups de 37 mm et 2 400 coups de 7,5 mm. Les douilles vides de la mitrailleuse tombaient dans un toboggan qui les évacuait par le soubassement Les derniers modèles de série montaient le canon de 37 mm à tube long SA 38. Le moteur se plaçait à l’arrière droit de la coque, le réservoir d’essence (du type à auto-obturation) occupant la partie gauche. Une cloison pare-feu séparait le moteur de la chambre de combat.
Le train de roulement groupait de chaque côté. cinq roues caoutchoutées, la première indépendante, les autres en deux bogies eux-mêmes montés sur bras oscillants coudés suspendus. Barbotin à l’avant roue tendeuse à l’arrière, trois galets supports. La plupart des engins de ce type emportaient des barres de soutien pouvant se fixer à l’arrière pour accroître les possibilités du char lors d’un franchissement de tranchées.
Aux premiers stades de sa carrière, le véhicule était dépourvu de radio mais les derniers modèles de série en étaient équipés. Cette addition ne faisait qu’ajouter au surmenage du chef de bord qui devait bien sûr, exercer le commandement mais aussi faire office de canonnier et de pourvoyeur. Un autre perfectionnement du R-35 fut I’AMX 40 dont le train de roulement comportait douze petites roues de route. le barbotin à l’avant la roue tendeuse à l’arrière, le retour de la chenille étant assuré par quatre galets-supports.
Cette suspension était nettement meilleure que le mécanisme de Renault. Deux bataillons furent équipés de AMX 40 (auxquels on donnait aussi, parfois. la désignation de R-40) Le R-35 faisait également usage de char à fascines. Sur ce modèle, un cadre courait de l’avant à l’arrière de la coque, par-dessus la tourelle, permettant le transport d’une fascine qu’on jetait dans les excavations pour faciliter le franchissement.
Certains chars portaient une tourelle coulée ou corroyée qui n’était pas encore mise en service de façon officielle. Parmi d’autres variantes destinées à l’expérimentation, il faut citer un char détecteur de mines et un char téléguidé. Les Allemands assignèrent diverses missions au R-35. Le modèle de base fit de la reconnaissance sur le front de l’Est à partir de 1941 sous la désignation de PzKpfw R-35 (4,7 cm). Beaucoup de ces engins de prise perdirent leur tourelle pour devenir Traktore d’artillerie ou transporteurs | |
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