Pendant l'affaire du "Canal de Suez" auquel a participé le 1 REP, ce dernier se trouvait à Port Fouad.
La France e l'Egypte avaient rompus leurs relations diplomatiques.
Les français demandèrent à la SUISSE de les représenter auprès des Egyptiens.
La Suisse accepa à condition qu'il n'y ai plus de légionnaires Suisse sur le " Front d'Egypte". La
L&gion devait donc "retirer" tous les suisses qui étaient présents.
Cela posait problème,car il ne fallait pas confondre les vrais des faux Suisse car parmi eux il y avait
non seulement des Français, mais aussi des Allemands, des Belges, des Italiens qui avaient choisi
cee nationalité lors de leurs engagements.
Les vrais, n'étaient pas nombreux,les autres au contraire.Le REP ne pouvait pas se permettre de
les retirer tous, cela un ferait un trou dans ses effectifs e le désorganiserait, ils le fire remarquer
à l'ambassadeur Suisse,qui ne voulut riens entendre et rétorqua: Un Suisse es un monsieur qui sur
les documents officiel porte la mention "SUISSE" Un point c'est tout.
Le Colonel BROTHIER sentait la moutarde lui monter au nez. il convoqua le commandant de la CCS
"Vous allez demander à chaque commandant de Cie de désigner une demi-douzaine de légionnaires
"Suisses", il faut constituer un détachement d'une quarantaine de Suisses au maximum, que nous
renverront très ostensiblement à Zéralda.
- De vrais Suisses, mon Colonel, ou des faux ?
- Je m'en fous,que les commandants de Cie choisissent ceux ausquels ils tiennent moins.
- E pour ceux qui resteront?
- Faites-en des " Monégasques "
Les engagements de Monégasques à la Légion, datent de cette époque.
E si la Principaué de Monaco, se plaint qu'il y a plus de Monégasques à la Légion qu'à Monaco
e bien, cela es de la faute de la SUISSE.
Ven 12 Oct - 12:37:28
