Image du 25/02/2017

Remis KB

Remise du képi blanc dans les remparts de carcassonne  :bravo: :bravo: :bravo:

Petite question pourquoi 2 képis blanc ?

 

vivar a écrit:

Remise du képi blanc dans les remparts de carcassonne  :bravo: :bravo: :bravo:

Bien vu vivar

et pas de garde fésaut (excusé pour les fautes)

Henrydm a écrit:

Petite question pourquoi 2 képis blanc ?

 

Bonne question !  :hrte:

Henrydm a écrit:

Petite question pourquoi 2 képis blanc ?

 

Pour animer le débat et faire avancer le schimilibilick :rire: :rire: :rire:

vivar a écrit:

Henrydm a écrit:

Petite question pourquoi 2 képis blanc ?

 

Pour animer le débat et faire avancer le schimilibilick :rire: :rire: :rire:

Merci papy vivar  :rire: :rire:

Q:ui a inventé cela. ????

   1951, Sidi-Bel-Abbés, nou:s sommmes encoreen vetement civil, il y a des Arabes, q:ui sontµ
  
   là pour acheter les vetement civils. Ils offrent une "aumône" les sous-offs, conseillent de les
 
    vendre, car dans quel éta ils seront dans 5 ans. Donc ont vend.

     puis, passage au fourrier ou l'on eçoi vêtement militaire et ce compris le.. KEPI BLANC, et

     et départ pour le centre d'instruction. Moi, Tabarka en T/UNIIE de début février 1951 a

     mi juillet 1951 et, dur, dur, même très dur, fallait former les futurs combaantq d'Indo

Un élément de réponse Michaux:

A la fin de la guerre d'Algérie, la coiffe blanche était remise aux EV après trois semaines d'instruction, lorsqu'ils étaient jugés capables de prendre les gardes au poste de police, un service d’honneur où le képi blanc était de rigueur.

Mais le commandant du 1er Etranger ayant estimé nécessaire sur le plan psychologique que le port du képi blanc ne soit autorisé qu’à la fin de la quatrième semaine d’instruction, le chef de bataillon commandant le DLEB (Détachement de Légion étrangère de Bonifacio), le DLEB dépendant du 1er RE, fixe, au début de l’année 1966, le cérémonial de la remise du képi blanc. Ce rituel a lieu, en présence des deux compagnies, le vendredi de la quatrième semaine d’instruction pour chaque section d’EV.

Un certain panache manque cependant à cette cérémonie qui ne se déroule qu’en présence des commandants de compagnies. Le 13 juin 1968, le lieutenant-colonel Hanss, commandant le GILE de Bonifacio, décide d’organiser la cérémonie à son échelon et en fixe les règles.

La remise du képi blanc est précédée d’une marche de quarante-huit heures. La cérémonie se déroule de nuit, le vendredi de la quatrième semaine d’instruction, dans la cour du Quartier Montlaur de Bonifacio éclairée par des brûlots et par des projecteurs, en présence du fanion du DLEB, du fanion de la compagnie, des sections de la compagnie ayant plus de quatre semaines d’instruction, du commandant du DLEB et du commandant de la compagnie ou de son adjoint. Les participants doivent porter la tenue de parade.

La remise du képi blanc se déroule en trois phases. Avant l’arrivée du commandant du DLEB, la section est rassemblée dans une salle d’instruction où le commandant de compagnie lui explique la signification de cette cérémonie et remet la flamme de section au chef de section. Cette flamme sera portée sur un faisceau de trois fusils, dans la cour, face à la section d’EV. Après l’arrivée du commandant du DLEB, les EV lui présentent les armes et il les passe en revue. A la suite du « reposez armes » on remet leurs insignes aux nouveaux légionnaires. A l’ordre « coiffez vos képis blancs », les hommes se coiffent de leurs képis préalablement déposés sur des tabourets à leurs côtés. L’un des légionnaires sort ensuite des rangs et, se plaçant face à la plaque de marbre qui se trouve dans la cour du quartier où sont inscrits les mots « Honneur et Fidélité, Valeur et Discipline », promet en son nom et au nom de ses camarades de servir avec « Honneur et Fidélité » avant de regagner sa place dans le rang. La section chante le refrain du Boudin. Enfin, les nouveaux légionnaires défilent devant leurs anciens qui leur présentent les armes. Après le départ du commandant du DLEB, le commandant de compagnie fait sortir le fanion du DLEB et celui de la compagnie et fait rompre les rangs.

Ce cérémonial répond à trois objectifs. Il donne aux jeunes engagés le sentiment d’être accueillis au sein de leur nouvelle patrie. Les jeunes EV doivent se coiffer eux-mêmes de leur képi blanc, pour bien montrer leur volontariat. Il permet enfin de faire renouveler la promesse de servir la France avec « Honneur et Fidélité », promesse qui figure déjà sur l’acte d’engagement qu’ils ont signé, mais parfois sans en comprendre le sens.

Extrait du livre « Mythe et images de la Légion étrangère »
De Marie Larroumet
Préface de Thamar Kinski, née Amilakvari
Editions L’Harmattan

LIEN: https://questionsdecommunication.revues.org/7761

Je suis chiant  :hrte:
toujours pas de réponse pour le deuxième képis blanc.....??  :faché:

Henrydm a écrit:

Je suis chiant  :hrte:
toujours pas de réponse pour le deuxième képis blanc.....??  :faché:

Y en a un qui est parti pisser un coup.
Il a raté la cérémonie! Pas de bol...   :rire:

Para60 a écrit:

Sinon Henry, c'est ton kébour, ils t'on attendus  :hrte:  T'as loupé le coche.  :bravo: :rire: :rire: :rire: :rire:

Bien vu Jean  :hrte: :hrte: :hrte:

Henrydm a écrit:

Je suis chiant  :hrte:
toujours pas de réponse pour le deuxième képis blanc.....??  :faché:

il n'y aura pas de reponse,  du  moins  de  la  part  des  anciens

parceque  personne ne  sait

a  part  celui  qui  a  se  kepi  a  la  main

donc  le  contacter  et  lui  demander  pourquoi :hrte:

Quand j'ai quitté le Bas Fort St Nicolas le 6 Janvier 1964 pour la Corse, on nous avait déjà remis les képis blancs et on a pris le bateau avec. Avant, c'était le calot vert et rouge, qui donnait un air très con :rire: :rire: :rire: , du moins à mon avis.

A Bonifacio, la première garde permettait, non pas de recevoir le képi blanc, puisqu'on l'avait déjà, mais d'être autorisé à sortir en ville. Le dimanche après midi et avec une perm', bien sûr, pas encore question de quartier libre :faché: :faché: :faché:

AAMUNCH a écrit:

a  part  celui  qui  a  se  kepi  a  la  main

:bravo: :bravo: :bravo:

Merçi REPFIRST pour tes explications, je comprend.


  Q:u(est-ce q:u'il raconte ce HENRY avec 2 képis blanc ???????

  En 1951, les " coiffures reçues " éaient :

  1 képi blanc - 1 bonnnet vert et rouge e 1 bonnet keki, dit bérê de police, dont ceux qui

   éaient punis de jours de tôlr-e, devaient se le metre sur la tête, pour par  exemple alle

   casser des cailloux --- et En Indo, il nexistait plus, ( du moins à Saïgon -

MICHAUX a écrit:

Merçi REPFIRST pour tes explications, je comprend.


  Q:u(est-ce q:u'il raconte ce HENRY avec 2 képis blanc ???????

Bonsoir Willy,deux képis blanc sur la photo  :hrte: 

Gérard HUCK a écrit:

Quand j'ai quitté le Bas Fort St Nicolas le 6 Janvier 1964 pour la Corse, on nous avait déjà remis les képis blancs  et on a pris le bateau avec. Avant, c'était le calot vert et rouge, qui donnait un air très con :rire: :rire: :rire: , du moins à mon avis.

A Bonifacio, la première garde permettait, non pas de recevoir le képi blanc, puisqu'on l'avait déjà, mais d'être autorisé à sortir en ville. Le dimanche après midi et avec une perm', bien sûr, pas encore question de quartier libre :faché: :faché: :faché:

Idem pour moi gérard, pas de cérémonie Képi blanc .Premiére garde au poste de police et autorisation sortie le dimanche aprés midi promenade sur le port et baignade en bas des falaises . Souvenirs

Promenade sur le port...et visite au Bar des Falaises, où la gentille Huguette (qui vivait à la colle avec Willy, le chauffeur du Cdt Corbel) nous servait à boire. J ai bien dû y laisser la moitié de ma solde. Et au retour on se «finissait» au bistrot juste avant l entrée du quartier, qui était tenu par l ex adj Berki, un ancien du Sce Auto. Eh oui, souvenirs...