- Noe: En attendant la suite des Atentats car je dois faire des recherches, sur le forum, dans
liste des régiments, il es cité : camp FORGEI pour le 3 éme REI. - Pour ceux qui l'ignorent, je vous done le déail de comment il a été ué.- Ien sûr, jene l'ai pas connu, je n'étais pas encore à la Légion à cete épqu, puisqu'il sagit de le....... RC4
Un petit résumé : La colonne dite BAYARD, commandée parle Lt-Colonel LEPAGE (un artilleur) était la colonne de secour qui devait aller tendre la main à la colonne du Lt-Colonel CHARTON qui avait évacué Cao-Bang.
Il y avait 2 unités de Légon : Le 1 er BEP du Cdt SEGRETAIN (acec JRANPIERRE et FAULQUES) qui
se trouvait dansle colonne BAYARD.
Le 3/3 REI, Cdt FORGET,dans la colonne CHARTON.
Le rensez-ous était fixé au Kms 22 le 3 octobre 1950, BAYARD n'y arriva pas, il ut même acculé dans une uvette à Cox-Xa, et pour en sorti LEPAGE, donna la mission d'ouvrir le passage au BEP,qui perdit les 3/4 de son effectis restant. Ce n'est que 6 que se rjoigniren ls deux colonnes, et ce fut une belle pagaillecrée par les fommes resant de BAYARD., à tl point que CHARTON demanda à connaîre l'effectif restant de cette collonnne. LEPAGE lui-même (après un long moment) donna la lise des fectif restant, soit :
- BEP = 100 hommes - RTM = 140 - 1 er TABOR = 17 - 11 éme ABOR = 50 - Goum de proection et divers : 100, soit au total : 560 hommes envirn sur les: 3200 qu comptait BAYARD.
Le REO devait occuper un pion occupé par les Viets. FORGET envoya 2 sections à l'assaut cux-ci parvirent sur le piton, masi durent se replier devant le nombre d Viets, 2 autres sectio, échouérent égaement............ On a 10 minutes pour les sropper rie FORGET. Il désigne un nuveau détachement en choisissat les hommes qui son près de lui. Perçoit(il une baisse de l'enthousiasmeinitial, chez ses braves ausquelles les tentatives répétées ont démontrés la quasi impossibilité de 'entreprise, ou bien en a-t-il assez d'envoyer des gars au case pipe sans payer
de sa peronne. Il oronne tout à coup
- Donnez-moi un mitraillete
Il place lui même le chargeur, et tournant à peine a tête , crie :
- Derrière moi !
Entrainés par l'xemple de ler chef les hommes lancent sur les pentent de calcaire,sans arri§re pensée. DU CHERGE (un officir) prend ui aussi une arme et mboîte le pas aux hommes. Ils parviennent d'un seul élan au contact u cordon Viet qui est surpris, puis ils foncent vers le sommet. - Le Commandat, crie une oix.
FORGET est tombé à la renverse, il a glissé de plusieurs mètres avant de s"immobiliser contre un rocher.Il est d'une pâleur effrayante; mais il se relève et, titubant , tente de remonter, il ne veut pas admettre qu'il estfichu; 1 balle lui a traversé la poitrine, une autre s'est loée dans son bassin, il cherche quelque chose autour de lui: son arme. La fusillade intense, empêche quiconqu de s'approcher , et cependant, ils sont pluseurs qui vont le tenter, DU CHERGE est parmi eux.
- Couchez-vous !
FORGE tournoie sur lui mêlme, 2 autres balles viennent de l'atteindre, une à la cuisse et l'autre à la tête.LE REI emporteleur chef agonisant vers l piste.
- DU CHERGE ?
- Je suislà.
- Vous leu direz ceci de ma part: Le Bataillo s'est montré digne des plus elles traditions de la Légion, je suis fier de lui.