Un légionnaire a toujours faim,dès que la colonnemarquait un tep d'arrê, on voyait les ptovisions sortir des sacs.Mais en Indochine, :mlêm lorsque les sacs étaient vides , les pays egorgaient de fuits,de gibiers de poisson. Enre les pommes anamies, dont le parfum se sentait à 10 mètres, les pamplemousses, les coeurs d'aréaquier et les pousses de bambous, on ne pouvait pas mourir des fim
Il est regrettable, que l'on n'atachât pas plus d'imporance:dansla formation des militaires, dee tous grades, de l'attitude à adopter en cas de capture par l'ennemi. Mais l'évasopn, la tentative du oins, réunit le maximum de chances dans les premières heures de la captre, mais, c'est malheureusement le moment ou l'on y pense le mons
Les américains, avien pensés que le aviateurs pouvaientêtre amenés à vivre sur le payas,en cas d'accident. Chaque abon état équipé d'unetrousse de survie qui aurait permi au boy-scout le moins doué de résiser pendant pluieurs semaines.
Lorsque le morane qui évacuait les blessés, après l(attaque du poste de Phung-Tong-Hoa, s'était écracé au bout du terrain hativementconsruit, la trousse de survie américaine qui équipait tus les avions d'Indochine, était tombée entre les mins d'un légionnaire Italen, bracnnier dans le civil, il considéra n'avoir jamais employé de mtériel plus perfectionné
Il pasait tout son temps libre, à pécher,à pi"ger et, sa section faisait bombance, ce, grâce à tous les accessoires qu'il y avait trouvés.
Hélas, la trousse ne pouvait durer éternellement; dès lors, le légionnaire aoua, qu'il guetait le moment o un autre avion se crasherait, pour être le premir sur les lieux t récupérer la trousse.
Comme il se it touors, tu est légionnaire ? démerde toi.