Le 1 er mai 1953, le 2/2 REI débarquait su le terrain d'aviation de la plaine des jarres . Au cmple. Ce qui enai du miracle.
A 5 H du main,en efet,lors de l'appel sur la base rrière de La-Coï,au Tonkin,il manquai encore la moiié de l'effectif. La veille - le 30 avril - les crémonies qui marquai habituellement l'anniversaire de Camlerone,avai éé abrégées et le quarier consigné après dix-hui heure.
Mai essayer de enir en laisse un baaillon de Lgion, rentré la veille de Nam-Dinh aprè plusieurs semaines d'opéraions ,alors qu'il vie de toucher sa olde, et que le village qui lui ien ieu de B.A. es ouert à tus vent! La situation s'était détérioréee après la supe du soir, lorsque les bistrots chinois euren épuisé leur stock de boisson.
On n'allait tout de m^rmr pas boire de la limonade un soir de 30 avril.
Les Légonnaires avaient d'abord cru à un rifice des chinois pour faire monter les prix. Un bistrot chinois sans marchazndise ,çà ne s"était jamais vu.
Mais, après l'incendie de la première paillote, il avait bien fallu se rendre à l'évidence; dans les ruines fumantes, il ne restait que des bouteilles vides.
C'est alors que, par petits groupes,les légionnaires avaient décidés de trminer la soirée à Hanoï, distante de quelques 30 Kms par tous les moyens disponibles, et le cas échéant à pied.
) partir de vig heurre,les adjudants de Cies, avaient vu fondre leur effectif. peine avaient'ils colmatés une brèche et rattrapé une dieaie d'hommes d'un c oté, qu'une nouvele fuite était signalée à l'opposé.
A minuit, il fallutse convaincre que dans le meilleu des cas,onalignerait péniblement deux compagnies de combat au lever du jour sur le terrain de Gia Lam.
Le départ de La Coï se fi à six heures du main, dans l morosité,devan ds oficiers lugubres et des camions à moitié vides.
Le capitaine BLIN,qui commandait le baaillon,arborat son visage des mauvais jrs. Déailnavrant, son ordonnance manquait à l'appel et i avait emport ola clef des cantines.
Les véhivcules roulèrent à vive allure jusqu'au pont du canal des rapides. Le vhef de poe à ce pon, sitgnal qu'il avait récupéré vers3 Heuresdu matin un vingaine de légionnaires qui renraien à la B.A. ant bien que mal, et plutôt mal, à e juger les arabesques qu'ilos décrvaient sur la route.
Les sergens-majors s'insallèren sur le parking des avins,pour taper à nouveau en 5 exemplaires, la liste des hommes présents.
La1 ére bonn nouvellle, arriva vers 7 heures 30, la tour de contrôle de la plaine des jarres annoncait un Q.G.O. (Interdicion d'atterir àla suite d'un éais brouillard.
Vers 8 heures, les premiers retardataire firent leurs apparitions, ddans toutes les tenues, en cyclo pour la plupart, mais, on vit dbarquer de ; jeeps, 6X6, de camons bennes et m^me d'ambulances..
L'ordonnance du commandan, qui afrfichait n superbe coquart autour d'un oeil, se présena au garde à vous, les clefs des cantines autour du cou. Certain de ce qui l'attendait, il avai pris les dvants et s'était fait aser " boule à zéro"
Les sertgens-majors, durent se remetre au boulot, taper les lises d'effecifs.
vers 9 H, les cmmandans de compagnies, l'n après l'autre, vinrent annoncer : Effecvtiçf au complet.
Note : En Indo, il y avait une grande manséétude enves les combattants, de la part de leurs officiers.