Un écrivain a en outre écrit ce qui suit à propos de GIADINH
à 2 Kms de Dakao c'est Giadinh,un beau faubourg colonial plein de
jardins,de parterre fleuris.C'est l'enfer et le paradis à la fois. On trouve la pèle-mèle,dans une extraordinaire oncentration,des paras,la Légion,les viets,des ordels,desflics. On n'a jamais arrêterde se battre en plein
Gadinh. Ls belles villas servent de cantonnement au troupes de choc. Dehors au crépuscule nsurtout,la haussée est aux viets,à leurs réguliers, leurs tueurs.Cela n'empêche nullement le troufions d'aller en bordée. La
nuit ils vont dans les bistrots,les boxons,chezles mères casse-croûte.Les
iets au dehors,viennent lâcer des rafales à l'aveuglette,à travers les fe-
nêtres et lesmur. Les Fançais ripostent de la même façon.
Giadinh est un endroit de repos pour les troupes e réserve générale: la
bonne vie.Un des Coloelsest maqué avec une des maquerelles.
Pour se distrire,les viets ne sufisent plus.Presque dans chaque bistrot c'
est la bagarre entre les paras (pas légionnaires) et lesléionnaires.A la sute d'une vieille tradition les Marins se rangent tpujours du côté de la
légion. Question :Qui a érit cela dans un de ses livres.