Qui est t'il ???

Quel est le nom du général à coté de SALAN.

c'est pas le general qui etait en indo
je me rapel plus du nom il y avait lui et celui qu on vois dans une doc qui parle de la DCA viet min
il passais bien a la tele lui d apres la doc
si Neness ne sort pas son nom je devrais le retrouver dans des suget ancien
tu en a parler
je sais qui sais mais j ai pas son nom de suite de suite

Je ne vois pas de quelle documentation il serait question

Lui, iln'avit absolument riens à voir avec l'aviation.

un indice: était légionnaire "honoraire "

MICHAUX a écrit:

Je ne vois pas de quelle documentation il serait question

Lui, iln'avit absolument riens à voir avec l'aviation.

un indice: était légionnaire "honoraire "

je vois qui sais mais j ai pas son nom
il vaut regarder dans les docs video sur le l indochine que le padre a mis il est dedans

voila Michaux
général Cogny

Allez i cela peut t'aider.

Il était aimé de certain et haï par d'autres

Vu qu'il n'était pas de l'infanterie, il nous a quelques fois mis dans

des situations extremes.

Quand SALAN arrivé très largement en fin de séjour, a été remplacé

par le général NAVARRE, tous les officier dans le même cas sont partis

sauf lui, qui était alors général de brigade.

un indice : ambulance.

René Cogny (25 avril 1904 – 11 septembre 1968) était un général de division français. Il prit part à la seconde guerre mondiale et fut à la tête des forces françaises au Tonkin (nord Viêt Nam) au cours de la guerre d'Indochine, notamment durant la Bataille de Điện Biên Phủ. Surnommé par ses hommes Le General Vitesse, René Cogny trouva la mort dans l'accident du vol 1611 Air France qui s'abîma en Mer Méditerranée, au large de Nice.
Biographie

René Cogny est né en Normandie le 25 avril 1904. Fils de gendarme, et élève doué, il se voit accorder une bourse pour étudier à l'École polytechnique, d'où il ressort avec un diplôme d'ingénieur. Il obtient également un diplôme d'études politiques et un doctorat en droit. Il est diplômé de l'École d'artillerie de Fontainebleau en 1929 et s'engage dans l'armée française avant que n'éclate la seconde guerre mondiale. Il est récompensé de la croix de guerre pour ses premières missions.
Seconde Guerre mondiale

En juin 1940, il fut l'un des 780 000 soldats capturés par l'armée allemande qui se démarquait de la ligne Maginot. Il resta près d'un an en captivité et s'échappa en mai 1941 en rampant nu dans des canalisations avec trois compagnons, poussant devant eux les habits qu'ils avaient confectionnés à partir de couvertures. René Cogny se rendit à Vichy en traversant la Bavière, et rejoint la Résistance française. En 1943, alors major, il fut de nouveau arrêté par la Gestapo et dut subir six mois d'interrogations et de tortures à la prison de Fresnes, avant d’être déporté dans les camps de concentration de Buchenwald puis de Mauthausen.

Il fut libéré en avril 1945 dans un état physique très faible. Il recouvra ses capacités physiques mais conserva des séquelles aux jambes qui allaient le contraindre à se servir d’une canne pour le reste de ses jours.
Après-guerre

Entre 1946 et 1947, Cogny, bien qu’étant officier d’artillerie, commanda une division d’infanterie près de Paris, puis fut nommé secrétaire exécutif au ministre de la Défense. Remarqué par le général de Lattre de Tassigny, il est de ceux qui l'accompagnent en Indochine quand il est nommé en décembre 1950 Haut Commissaire civil et militaire, avec Salan comme adjoint militaire. En janvier 1952 alors que Salan remplace de Lattre décédé comme commandant en chef, Cogny commande une division française au Tonkin et un groupe mobile dans le delta du fleuve Rouge.

En mai 1953, Navarre remplace Salan qui rentre en France, avec toute l'équipe du général de Lattre sauf Cogny, qui accepte de remplacer le général de Linarès au Tonkin, en échange d'une troisième étoile ; cette promotion fait de Cogny le plus jeune divisionnaire de l'armée (49 ans).
Ðiện Biên Phủ
Pour consulter un article plus général, voir : bataille de Điện Biên Phủ.

Le général Cogny fut celui qui proposa le site de Diên Biên Phu à Navarre. Cependant, alors que Cogny avait envisagé une base d’opération légère et mobile, Navarre y voyait une forteresse imprenable. Cogny fut l’un des nombreux officiers qui protesta contre cette nouvelle stratégie « nous courrons le risque d’un nouveau Na San, mais en pire ». Ces protestations restèrent cependant sans effet. Tout au long de la bataille, Cogny et son supérieur Navarre furent en désaccord à propos de la disposition des forces entre Ðiện Biên Phủ, le secteur de Cogny dans le delta du Tonkin, et l’opération Atlante de Navarre.

En réponse à une lettre de reproches de Navarre le 29 mars, Cogny informa son supérieur qu’il ne souhaitait plus continuer à servir sous ses ordres. Le calendrier de son départ ne fut pas discuté à ce moment-là. Cogny garda son commandement jusqu'à la fin de la bataille mais Navarre voulut le limoger sitôt après celle-ci. La relation entre les deux hommes se dégrada d'autant plus que Cogny depuis le début tenait des propos pessimistes voire défaitistes aux journalistes réputés qu’étaient alors Lucien Bodard (France-Soir) et Max Clos (Le Figaro) qui ne cessaient de critiquer Henri Navarre dans leurs articles. Le 2 mai, Navarre alla jusqu'à menacer Cogny d'une investigation sur ses déclarations.

Le 3 juin 1954, le remplacement de Navarre par Paul Ély, avec Raoul Salan comme adjoint militaire (Ély remplaçant aussi Dejean comme Haut commissaire en Indochine) permet à Cogny de rester à la tête des forces du Tonkin. De mai à juillet, Il organise une défense efficace de celui-ci contre les assauts du Việt Minh. Son commandement prend fin en mai 1955 avec le retrait des dernières forces françaises du Tonkin, conformément aux Accords de Genève du 20 juillet 1954.

Il devient commandant supérieur des troupes françaises au Maroc du 3 juillet 1956 au 29 mars 1958, alors que depuis mars 1956 le Maroc est devenu indépendant.

En mai 1958, il est sollicité par Pierre Pflimlin, président du Conseil désigné, pour remplacer Salan comme Commandant supérieur interarmées en Algérie. Après consultation de Jacques Soustelle, il décline cette proposition.
Fin de vie

Le 11 septembre 1968, la caravelle d'Air France qui transportait René Cogny s'abîma en Mer Méditerranée au large de Nice. Cogny fut l'une des 95 victimes de l'accident.
Style

Cogny se distingue d'après les historiens par son style particulier de commande au Viêt Nam. Bernard B. Fall salua le courage et la réactivité de Cogny durant le guerre d'Indochine. René Cogny était non seulement appelé "Le genéral Vitesse" par ses hommes, mais aussi "Coco la sirène" car il utilisait des side-car avec des sirènes pour se déplacer. Il était un commandant populaire parmi ses hommes, et auprès des journalistes. Malgré sa popularité, Cogny était décrit comme "sensible à la critique" et comme ayant une tendance à "ressasser des blessures réelles ou imiaginaires."

René Cogny
Surnom Le général Vitesse, Coco la sirène
Naissance 25 avril 1904
Décès 11 septembre 1968 (à 64 ans)
Mer Méditerranée
Origine France France
Allégeance Armée française
Grade Général de division
Conflits Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Indochine
Distinctions Croix de guerre


Tướng René Cogny (trái), Đại tá Christian de Castries
(đầu trần) và Tướng Henri Navarre (ngồi giữa)
thảo luận kế hoạch tại chiến trường

celui dont je te parlais est celui du millieu (de Castrie??)sans calot et sans kepi ni casque
il parlais de la DCA viet min en costard apres la guerre a des interviews d epoque
c'est dans les videos

Je venais d'envoyer, et entretemp tu répond.

OUI c'est COGNY, qui commandait le Tonkin, artilleur (commandant à

l'infanterie )

Le Général Gonzalés De LINARES adjoint de SALAN a dit de lui au

général NAVARRE, ne le prend pas, c'est un salaud. Mais comme NAVARRE

qui lui venait du "renseinements " pour commander TOUTES les troupes

de l'Indochine, n'avait personne d'autres ( les GAMBIEZ , VANUXEM, etc

partaient)l'a pris et l'a fait nommer générlal de division.

Lorsque Dien Bien Phu, acommencer à tourner au désastre, les DEUX

ne correspondaient plus entre eux que par des " notes ".

COGNY aurait même dit : Si vous n'étiez pas un généralà 4 étoiles, je

vous foutrait mamain sur la gueule .

PS : L'indice que j'indique : ambulance.

Lorsquy'il venait à son bureau, COGNY se faisait ouvrir la route par

des motards, qui avaient une sirène comme les ambulances.

d'ailleurs, nous l'avions surnommé : le général pin pon

BRAVO NELSON.

je sais que Neness a laisser la :862210: :135287:

faut bien que tout le monde joue ! :1rec_8:

bravo nelson

martine a écrit:

bravo nelson

:135287:
bonsoir Martine

Je rajoute, car tu a aussi raison dans ta réponse

COGNY mesurait près de 2 mètres, pour se déplacer, il n'aimait pas

la Jeep, donc moto avec side-car, et toujours la sirène (il était toujours

pressé) d'ou ses surnoms de : Coco la sirène et Gal vitesse.

Je ne sait pas ou elle se trouve sur le forum (car ce n'est pas moi qui

l'ai mise) mais il y en a une, ou lors d'ue prise d'armes à Nam Dinh, en

l'honneur (si je me souviens bien) de CHEVIGNE, secrétaire d'état à la

guerre, le 3/5 REI était présent, il est venu se placer à côté de nous

vu donc, qu'il était légionnaire honoraire.

MICHAUX a écrit:

Je rajoute, car tu a aussi raison dans ta réponse

COGNY mesurait près de 2 mètres, pour se déplacer, il n'aimait pas

la Jeep, donc moto avec side-car, et toujours la sirène (il était toujours

pressé) d'ou ses surnoms de : Coco la sirène et Gal vitesse.

Je ne sait pas ou elle se trouve sur le forum (car ce n'est pas moi qui

l'ai mise) mais il y en a une, ou lors d'ue prise d'armes à Nam Dinh, en

l'honneur (si je me souviens bien) de CHEVIGNE, secrétaire d'état à la

guerre, le 3/5 REI était présent, il est venu se placer à côté de nous

vu donc, qu'il était légionnaire honoraire.

dans la nuit je te la trouve
si le padre ou Neness son pas dessus deja
mais elle y est de cette année ressemant y amaxi 5 mois que ca été poster je crois bien c'est le padre qui l avais poser reportage guerre d indochine