pour les pros

qui es cette homme?
son histoire et l histoire qui l accompagne ?
sa peine ?

pour aider
car je pense que la ça va être dur
cette question est purement militaire
indice lui ne les pas

:x1: NELSON

Vu la difficulté,je commencerai par des questions.

Ce type est français,accusé de faire partie du réseau d'Al Quaida.

(Si c'est lui, j'ai lu son livre).

salut MICHAUX :x1:
non
je vais t aider laisse de coté le terrorisme islamique
et il n es pas francais
autre aide
il c est convertie a l islam
mais na rien avoir avec al quaida
autre aide ça a voir avec le siecle dernier
je te donne un indice primordial au quizz
ce que tu met au dessus de la porte a noel et qui porte bonheur
a le meme prononciation mais non rien a voir
ceci est dans cette histoire un objet primaire mais ravageur
je vais a la boxe dans 10 mn l ancien
si ta repondu une autre question j aurais le temps de te repondre sinon je reviens vers 21h l ancien

je te dis ce quizz va etre dur j en suis persuader
mais je serrai la pour aiguiller
si tu trouve cette homme tu decouvre toute l histoire de ce quizz
d ou il est militaire (le quizz dans sa généralité)

Je ne suis pas plus avancé.

Vu que je fête plus Noël depuis celui de 1953, j'ignore totalement

ce qui ce met au dessus de la porte.

Tu pales de peine, cet homme a donc été emprisonné.

Est'il de nationaluté " anglaise " ????

au dessus de la porte "du gui "

pour les pros 0011

pour les pros 110

:merc: NENESS

GUI ????

au siécle dernier, tu donc dans les années 1800

pour l'instant?????????

non neness
pas la meme chose

bon je donne cette indice
du houx
la feuille verte avec des petite boule rouge

l objet en question est des houes pour jardiner

le siecle dernier MICHAUX
c'est celui des année 1900 1999/2000 ou on es passer au 21 eme siecle
donc au 20 eme siecle l ancien

deuxiemes indice
les media on tenu une part entiere dans sa vie

la ta bon MICHAUX pour la peine
d ailleur il y es encore en ce moment
et il est pas anglais

Oui je voulais écrire les années 1900

comme tu n'y a pas répondu :

- n'est donc pas anglais

- n'a pas été emprisonné.

question : était'il un homme politique européen ???

Il s'est Fait égorger ??

Giant-kouka a écrit:: Il s'est Fait égorger ??

non giant
il est encore emprisonnée
d ailleurs il sort cette année

MICHAUX a écrit:: Oui je voulais écrire les années 1900

comme tu n'y a pas répondu :

- n'est donc pas anglais

- n'a pas été emprisonné.

question : était'il un homme politique européen ???

si l ancien je t es dis que tu as bon pour la peine je t'es repondu il est encore en prison

pour t'aider un peu
il c'est fait transféré durant l année 2008

e journaliste de la BBC Alan Johnston, ota

Ce ne serait pas : MANSON

celui qui a tué (avec sa clique) l'actrice Sharon TATE

Mais je ne crois pas qu'il va sortir, il a demandé oui,mais......

Il etait millitaire

non au trois réponses
la seule que je valide est JOURNALISTE plutôt ANIMATEUR RADIO mais pas a la BBC
bon pour aider car c'est chaud
il était en radio et non en TV

DONC

emprisonnée / il sort cette année
ANIMATEUR RADIO

sur cette voie il faut se diriger
je rappel lui n'est pas militaire mais le quizz lui les

Georges Ruggiu de Radio Mille Collines

En 2000, Georges Ruggiu avait été condamné à 12 ans de prison pour incitation à commettre le génocide. Depuis l'an dernier, il purgeait sa peine dans une prison italienne. La justice italienne l'a libéré le 21 avril, à la grande surprise du Tribunal Pénal International.
Georges Ruggiu, l'ancien animateur italo-belge de la radio télévision "Mille Collines" est libre alors qu'il ne devait être libéré que cet été.

Surprise à Arusha où ce n'est qu'indirectement que les magistrats du Tribunal Pénal International d'Arusha, l'instance de l'ONU qui l'avait condamné, ont appris sa libération.

Qui plus est, la justice italienne n'a pas répondu aux deux courriers du TPIR, le Tribunal Pénal International de l'ONU chargé de juger les crimes perpétrés dans le cadre du génocide de 1994 au Rwanda: extermination de masse systématique, traques et massacres à la machette, incendies de lieux de culte où s'étaient réfugiés des Tutsis, qui ont coûté la vie à 800 000 Tutsis et à des Hutus modérés. Radio Mille Collines où sévissait Georges Ruggiu avait joué un rôle accablant.

Dès l'attentat qui avait coûté la vie au président Habyarimana, le 6 avril 1994, la radio avait soutenu le zèle des exterminateurs par des appels à terminer les travail.

Arrêté en 1997 au Kenya, Georges Ruggiu a été jugé en 2000. Il avait plaidé coupable et chargé ses anciens confrères et patrons de Mille Collines. Repenti, il avait souligné le terrible rôle des médias de la haine.

En vertu d'un accord entre la juridiction onusienne et l'Italie, Georges Ruggiu avait été transféré l'an dernier en Italie, ce qui lui permettait aussi des contacts plus fréquents avec sa famille.

En le libérant deux ou trois mois plus tôt que prévu, la justice italienne a fait preuve de légèreté vis-à-vis du TPIR, qui a normalement le dernier mot pour l'application des peines.

pour les pros 0011

pour les pros 110

yes neness
je me disais bien je te voyais pas
perfect :oke: :baba:

Avril 94 : génocide au Rwanda

Le
Rwanda

Ancien protectorat allemand, le
Rwanda passa, à l'issue de la première guerre mondiale, sous mandat
colonial belge. Les réalités ethniques de la région furent alors, comme partout ailleurs, contrôlées par
l'autorité belge de l'époque, selon le concept colonialiste de “
diviser pour régner ”.

Les Hutus et les Tutsis parlent
la même langue, le Kinyarwanda, ont les mêmes coutumes, ont la même foi
ancestrale en un Dieu unique Imana, ont évolué vers les mêmes religions
apportées par la colonisation, et vivent ensemble sur tout le territoire du
Rwanda.
Avant la colonisation, ces
classifications correspondaient à des groupes socio-professionnels, auxquels des
fonctions politiques étaient associées. En tant qu'élément primordial de
l'économie, les vaches étaient un signe hiérarchique important. Le terme Tutsi
désignait les éleveurs possesseurs de nombreuses vaches tandis que les
agriculteurs, moins haut placés, étaient dénommés Hutus.
Pourtant, les colonisateurs, allemands puis belges
définirent des ethnies en se basant sur des critères physiques aujourd'hui
contestés . Les ethnologues belges, de l'époque du roi Albert Ier,
analysèrent des milliers de Rwandais sur des critères raciaux analogues à
ceux que les Nazis utiliseront plus tard.
On créa un stéréotype de chaque race
:Tutsis grands et minces, Hutus petits et trapus.. . En fait, comme le
remarquent des chercheurs, il n'y a pas plus de différence de taille entre les
Tutsis et les Hutus qu'entre les classes sociales d'Europe occidentale
durant les années cinquante. Le mode d'alimentation expliquerait en
grande partie ces différences fréquentes et non systématiques : les
Tutsis, éleveurs, boivent traditionnellement plus de lait que les Hutus,
cultivateurs.
En 1931, une identité ethnique fut officiellement
décrétée et des documents administratifs précisèrent systématiquement
la catégorie « ethnique » de chaque personne, comme les Nazis spécifieront
l'identité juive quelques années plus tard en Allemagne. Sous le
régime belge, chaque Rwandais porta ainsi une carte d'identité ethnique
obligatoire.

Soutenant tantôt les Tutsis contre
les Hutus, tantôt les seconds contre les premiers, le pouvoir colonial fut en
grande partie responsable des tensions ethniques qui diviseront ensuite le
Rwanda.
Pas plus
toutefois que l’ensemble des états occidentaux, qui seront très vite mis
au courant de ce qui allait se produire au printemps 1994 au pays des “ Grands
lacs ”, et qui ne jouèrent toutefois aucun rôle préventif pour empêcher les
premiers massacres.

Pire, le président
français, François Mitterrand, fit tout pour sauver
son ami , le président rwandais Juvénal Habyarimana et ses fascistes racistes du “
Hutu Power ”. En Belgique aussi, le roi Baudouin multiplia les témoignages de
soutien à son ami Habyarimana.

Les signaux d’alerte ne
manquèrent pas, mais ils ne déclenchèrent aucune véritable réaction de la part
des autres pays, qui préférèrent fermer les yeux.

Selon Paul Rusesabagina, directeur de
l'Hôtel des Mille Collines (et personnage principal du film "Hotel Rwanda")
:
« Avant le génocide, vivre entre
Hutu et Tutsi était tout à fait possible. Je suis né dans une famille mixte. Des
membres de ma famille étaient hutus, d'autres tutsi. Nous parlons tous la même
langue… Ce sont surtout les colons qui ont tenté de nous diviser pour mieux
régner. Les Allemands ont fait des Tutsi les dirigeants du Rwanda, suscitant la
colère des Hutu. Puis les Belges sont arrivés et ont créé des cartes d'identité
avec mention « Hutu » ou « Tutsi ». À l'indépendance, dans les années 60, les
Hutu ont pris le pouvoir et les Tutsi se sont enfuis à l'étranger, et dans les
années 90 ils ont monté une rébellion pour revenir. »

Ainsi donc, les Tutsis régnaient sur le
pays au moment de l'arrivée des colonisateurs allemands, puis survinrent les Belges qui organisèrent
la société rwandaise en l'organisant sur des rapports
hiérarchiques raciaux (Tutsi « supérieurs » contre Hutus « destinés à servir
»). Au moment de l'indépendance, un renversement d'alliance s'opèra contre
les Tutsis entre les colonisateurs et les Hutus, provoquant, l'exil d'une partie
des Tutsis pour l'Ouganda et le Burundi et leur désir légitime de
retour.

Les accords
d'Arusha

Dans une tentative de réconciliation
nationale, les accords d'Arusha furent conclus entre l'État Rwandais et le Front
patriotique rwandais (Tutsis en exil) de Paul Kagame en 1993.
Les négociations se déroulèrent en Tanzanie et furent
suivies d'une série d'accords signés en août 1993. Lesdits accords
prévoyaient l'intégration politique et militaire des deux ethnies de la
nation rwandaise (retour des exilés, intégration des soldats du FPR au sein de
l'armée rwandaise,...).
La mise en application de ces accords motiva la décision de
l'ONU d'envoyer une mission de paix au Rwanda : la Minuar.
Le démarrage de la politique d'intégration fut partiellement
retardé par le président Juvénal Habyarimana et certains de ses alliés
extrémistes. Madame Agathe Uwilingiyimana fut choisie comme premier
ministre.

"Abattez les grands arbres"

En
1994, une campagne médiatique échauffa l'opinion publique locale contre
les Tutsis, et ce durant plusieurs mois. Les médias, tenus par les
Hutus extrêmistes, jouèrent un élément essentiel dans la préparation
et la mise en oeuvre du génocide

Le 6 avril 1994, le président du Rwanda, Juvénal
Habyarimana, un Hutu qui avait pris le pouvoir par un coup d'État
en 1973, fut assassiné. Alors qu'il s'apprêtait à atterrir à Kigali,
son avion fut la cible de deux missiles et s'écrasa. Plusieurs enquêtes
ont depuis essayé de déterminer qui fut l'instigateur de
l'attentat. Aucune hypothèse n'a pu être confirmée. Dans un
premier temps, les Hutus extrémistes furent soupçonnés car ayant eu
besoin de la disparition du Président Habyarimana pour avoir les mains libres
et lancer le génocide. Mais le général Paul Kagame (chef du FPR,
pro tutsi) fut aussi largement soupçonné. L'avion transportait aussi le
président burundais Cyprien Ntaryamira, qui périt avec Juvénal
Habyarimana.

Durant la nuit du 6 avril, l'attentat fut
le signal du déclenchement du génocide planifié par les Hutus extrémistes. À la
RTLM (Radio Television Libre des Mille Collines, de propagande Hutu), le
signal du début des massacres fut la phrase "Abattez les grands
arbres".

Le massacre des
para-commandos belges

Présente en effectif réduit, la force de maintien de la paix des Nations-Unies
(MINUAR), sous le commandement du général canadien Roméo Dallaire, tenta de
stabiliser la situation.

Dans la nuit du 6 au 7 avril, l'état-major des
FAR (Forces armées rwandaises) s'opposa verbalement au général Dallaire,
commandant de la MINUAR, qui rappella l'autorité légale du premier ministre pour prendre
le contrôle de la situation. Le Colonel Bagosora contesta son autorité.
Le général Roméo Dallaire décida de donner une escorte de casques bleus à Madame
Agathe Uwilingiyimana pour la protéger et lui permettre de lancer un appel au
calme à la radio dès le lendemain matin.

Le 7 avril à 2h00, dix paras belges (Caporal Bruno Bassine,
Cpl Alain Debatty, Cpl Christophe Dupont, Cpl Stéphane Lhoir, Cpl Bruno Meaux,
Cpl Louis Plescia, Cpl Christophe Renwa, Cpl Marc Uyttebroeck, 1 Sergent Yannick
Leroy et Lieutenant Thierry Lotin), partirent du centre de Kigali, à bord de
deux jeeps, afin de rejoindre le domicile du Premier ministre. Vu la
présence de plusieurs barrages, les Belges n'atteignirent leur but qu'à 5h30, où
il rejoignirent cinq soldats ghanéens, également affectés à la sécurité du
Premier ministre à son domicile.
À 05 h 37, le Lt Lotin indiqua qu’il n’était plus question, vu
les barrages établis, de se rendre à Radio-Rwanda. Ordre lui fut donné de
prendre une position défensive
À 06 h 55, le Lt Lotin signala qu’il était encerclé par une
vingtaine de militaires rwandais, armés de fusils et de grenades, et que des
membres de la garde présidentielle lui demandaient de déposer les armes. Ses
supérieurs lui enjoignirent de ne pas rendre les armes et de maintenir le
dialogue.
A 8h34, le Premier ministre
tenta de fuir son domicile en compagnie de gendarmes, affectés à sa sécurité, qui la
cachèrent dans la maison d’un voisin . Elle y fut découverte par des membres de
la garde présidentielle qui la ramenèrent à son domicile où elle fut tuée vers 11
h 45 ainsi que son mari.

A 08 h 43, le groupe Lotin fut déchargé de sa mission de protection du
Premier ministre par le commandement mais prié de ne pas se laisser désarmer et de
négocier. Le Lt Lotin rétorqua qu’il était trop tard, ayant déjà quatre hommes désarmés à terre.
L'officier, dans ces circonstances, fut autorisé à rendre les armes s’il le
jugeait nécessaire: " Tu es sur place, c’est à toi d’apprécier la
situation ".
Les cinq Ghanéens et les
dix Belges furent désarmés sans résistance possible et conduits, sous la menace des armes,
vers un minibus VW qui attendait à l’extérieur.

En arrivant à destination, au camp militaire de Kigali, les
quinze militaires furent obligés de quitter le véhicule et de
s’asseoir sur le tarmac situé à l’entrée du camp.
Rapidement la rumeur circula
parmi les militaires FAR rassemblés dans le camp que les soldats
belges avaient abattu l’avion présidentiel . Ceci engendra vite un
soulèvement général en faveur du lynchage des militaires belges.
A 9h06, le Lt Lotin, utilisant la radio d'un observateur ONU togolais,
informa sa hiérarchie que son équipe avait été emmenée dans un
endroit inconnu et que deux de ses hommes se faisaient tabasser et
lyncher.
Des soldats rwandais se ruèrent sur les militaires de
l’ONU et les frappèrent à coups de crosses, béquilles, pierres, râteaux
et baïonnettes jusqu'au moment où quatre militaires belges succombèrent des
suites de leurs blessures .
Inexplicablement, le général Dallaire passa alors devant le Camp
Kigali et aperçu, au sol, plusieurs militaires belges. Si les
circonstances ne lui permirent pas d'intervenir immédiatement, il reste
incompréhensible, qu'une fois en sécurité, il ne prit aucune mesure afin
d'envoyer des secours aux Belges en difficulté.

Les magasins d’armement du camp, dont la Minuar avait la
responsabilité, furent entre-temps fracturés.
Le Col Nubaha, commandant du camp, accouru sur les lieux
en compagnie d’autres officiers, tenta d’empêcher les Rwandais de pénétrer dans un
local de permanence ONU où le Lt Lotin s’était finalement réfugié avec
quatre militaires belges qui l’avaient rejoint en profitant d’un moment de
confusion.
Un cinquième militaire belge parvint bientôt à rejoindre le
groupe Lotin en rampant sous un véhicule.
Le groupe Lotin était alors composé de six militaires belges et
des cinq ghanéens. Quelques instants plus tard, un militaire belge fut tué par
un tir d’arme à feu provenant de l’extérieur.

Le local où s'étaient réfugiés les militaires ONU fut pris
sous le tir des armes des Rwandais. Les Belges et les Ghanéens furent contraints
de se jeter sous les lits qui s’y trouvaient et de se protéger derrière le
cadavre du soldat belge décédé.

Ayant arrêté les tirs un moment, les Rwandais ordonnèrent aux
Ghanéens de quitter le local par une fenêtre cassée. Sous escorte, les cinq
Ghanéens furent ainsi expulsés du camp.
Vers 12h30, un caporal rwandais, voulant pénétrer dans le local
des Belges, se fait arracher son fusil Kalashnikov par le Lt Lotin qui le tua à
l’aide de son pistolet GP35,seule arme qui avait pu être dissimulée lors de
l'arrestation et du désarmement des Belges.
L’attaque redoubla de violence. Des
bombes lacrymogènes furent lancées dans le local tandis que les Belges
ripostaient avec la Kalashnikov.

Une fois les 45 cartouches contenues dans l'AK47
et le GP épuisées, ce fut la curée. Un Rwandais escalada le toit du local pour y lancer, d’un trou pratiqué,
des grenades défensives . D’après des témoins, la résistance belge s’arrêta
entre 12 h 30 et 13 h 30 (14h00??). Les cadavres furent retirés
du local de l'ONU et dévalisés (uniformes, chaussures) avant d'être mutilés (certains les
yeux arrachés, d'autres le sexe coupé et placé en
bouche,...)
Cet épisode dramatique plongea la Belgique dans la consternation
et entraîna son désengagement de la Minuar. Dans la foulée, la Belgique
entraîna à son tour l'ONU dans une spirale de désengagement.

Georges Ruggiu

Georges Omar Ruggiu (né Georges Henri Yvon Joseph Ruggiu le 12 octobre 1957 à Verviers en Belgique) était l'un des animateurs de la Radio des Mille Collines (RTLM), souvent considérée comme un instrument décisif de la planification et de l'exécution du génocide rwandais de 1994.

Au Rwanda

Belge d'origine italienne, proche de la mouvance démocrate-chrétienne, se décrivant lui-même comme un idéaliste, il embrasse la cause Hutu Power après une rencontre avec des étudiants rwandais de Liège.
Invité à Kigali pour participer au lancement de la RTLM, il est chargé d'y animer des émissions en français où, de janvier à juillet 1994, il se distingue par la violence de ses diatribes à l'encontre des Tutsi et de ses concitoyens belges.

Procès et détention

Arrêté le 23 juillet 1997 à Mombasa (au Kenya) par les enquêteurs du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), il est transféré à Arusha (en Tanzanie), siège de cette cour. Il y est le seul accusé non-rwandais.
Converti à l'Islam durant sa période de cavale, il se présente au tribunal sous le nom de Georges Omar Ruggiu.
Il est accusé d’« incitation directe et publique à commettre le génocide et de crimes contre l’humanité ». Selon la procureure en chef Louise Arbour, « les
émissions de Georges Ruggiu ont incité au meurtre ou à porter gravement
atteinte à l’intégrité physique ou mentale des Tutsis » et « ont constitué des actes de persécution envers les Tutsis, certains Hutus et des citoyens belges ».
Choisissant d'abord de plaider non-coupable, il accepte finalement de
collaborer avec le TPIR en passant aux aveux et en plaidant coupable à
toutes les charges pesant sur lui. Cette collaboration avec le TPIR, outre l'avantage qu'elle permet à l'accusé d'échapper au grand procès groupé des Médias du Génocide, sera considérée par la procureure Carla del Ponte comme une circonstance atténuante.
Le 1^er juin 2000, il est condamné à 12 ans de réclusion. Sa détention se poursuit à Arusha durant sept ans. Le 28 février 2008, Georges Ruggiu est transféré en Italie où des accords bilatéraux entre le TPIR et la justice italienne lui permettent de purger les 17 mois restants de sa peine

je vois même que tes source son plus complètes que les miennes
puisqu'ils disent
animateur radio télévision
et qu'il est déjà sortie le 21 avril

S'il est sorti, il a intérêt à bien se cacher, j'en connais du 2eme CODO et des anciens du Rwanda, qui ne demandent pas mieux de tomber dessus, notamment un de mon club de judo, un géant surnommé 'mambo' porteur de la .50 dans sa section du 2eme codo

» Tres dure (pour Pros )
» La c'est du pros
» Niveau pros
» Niveau Pros Superieur
» pour rattraper